Sentiment Dominant Soleil Couchant

comme Ulysse » - Pierre Ronsard « Quand vous serez bien vieille » - Pierre Marbeuf « Et la mer et l'amour ont l'amer pour partage » - Nicolas Boileau « L'art poétique » - Alfred de Musset « Tristesse » - Paul Verlaine « Mon rêve familier » et « Soleils couchants ». - Charles Baudelaire « Correspondances » + cours sur cet auteur. - Guillaume Apollinaire « Le Pont Mirabeau » - Tristan Tzara « Pour faire un poème dadaïste » - Louis Aragon « Les yeux d'Elsa » - Jacques Brel « Le plat pays » et « Jeff » -

large champ de vision bordé de part et d’autre d’arbre le délimitant. Changement d’ambiance par rapport au long boulevard des Etats-Unis. Au loin le boulevard continue toujours de manière rectiligne, jusqu’au carrefour Napoléon délimitant la forêt : sentiment d’étranglement. 3 Eléments du paysage urbain Continuation du Boulevard des Etats-Unis. Champ de vision limité par les arbres plantés des deux côtés de la voie. Cependant, ces arbres créent un effet de transparence variant en fonction des saisons

variable de deux plans” ; l’univers modéré et rassurant de la bourgeoisie qu’illustrent les leçons hebdomadaires de piano, est opposé à l’univers triste, voire misérable du prolétariat dont est issu Chauvin et que nous découvrons au coucher du soleil, avec le retour des ouvriers épuisés. Le drame indécent et tragique du désir et de la passion charnelle unissant le couple inconnu, donne plus de vigueur à l’expérience intime qui déchire les âmes des deux interlocuteurs, mais cette fois il a lieu

antithétique 35 2. 1. 2. L’ambivalence 38 2. 1. 2. 1. Le soleil bienfaisant 38 2. 1. 2. 2. La violence du soleil 40 2. 1. 2. 3. Le crépuscule du matin 41 2. 1.

ont des formes allongées, prostrées, alanguies. Les meubles ont l’air de rêver ; on les dirait doués d’une vie somnambulique, comme le végétal et le minéral. Les étoffes parlent une langue muette, comme les fleurs, comme les ciels, comme les soleils couchants. Sur les murs nulle abomination artistique. Relativement au rêve pur, à l’impression non analysée, l’art défini, l’art positif est un blasphème. Ici, tout a la suffisante clarté et la délicieuse obscurité de l’harmonie. Une senteur infinitésimale

ont des formes allongées, prostrées, alanguies. Les meubles ont l’air de rêver ; on les dirait doués d’une vie somnambulique, comme le végétal et le minéral. Les étoffes parlent une langue muette, comme les fleurs, comme les ciels, comme les soleils couchants. Sur les murs nulle abomination artistique. Relativement au rêve pur, à l’impression non analysée, l’art défini, l’art positif est un blasphème. Ici, tout a la suffisante clarté et la délicieuse obscurité de l’harmonie. Une senteur infinitésimale

miens, Elle a la forme de mes mains, Elle a la couleur de mes yeux, Elle s’engloutit dans mon ombre Comme une pierre sur le ciel. Elle a toujours les yeux ouverts Et ne me laisse pas dormir. Ses rêves en pleine lumière Font s’évaporer les soleils Me font rire, pleurer et rire, Parler sans avoir rien à dire. Paul ELUARD Présentation de l’auteur : Paul Eluard, pseudonyme littéraire d’Eugène Grindel. Né en 1895 à Saint-Denis, il meurt en 1952 à Charenton-le-Pont. Frappé très jeune par

ont des formes allongées, prostrées, alanguies. Les meubles ont l'air de rêver; on les dirait doués d'une vie somnambulique, comme le végétal et le minéral. Les étoffes parlent une langue muette, comme les fleurs, comme les ciels, comme les soleils couchants. Sur les murs nulle abomination artistique. Relativement au rêve pur, à l'impression non analysée, l'art défini, l'art positif est un blasphème. Ici, tout a la suffisante clarté et la délicieuse obscurité de l’harmonie. Une senteur infinitésimale

ont des formes allongées, prostrées, alanguies. Les meubles ont l'air de rêver; on les dirait doués d'une vie somnambulique, comme le végétal et le minéral. Les étoffes parlent une langue muette, comme les fleurs, comme les ciels, comme les soleils couchants. Sur les murs nulle abomination artistique. Relativement au rêve pur, à l'impression non analysée, l'art défini, l'art positif est un blasphème. Ici, tout a la suffisante clarté et la délicieuse obscurité de l’harmonie. Une senteur infinitésimale

Curiosphère Après un temps de relecture silencieuse, confronter collectivement les points de vue. 1 Définir le type d’écrit. • Relevez la phrase qui prouve qu’il s’agit bien d’une lettre. « C’est là que je vous écris, ma porte grande ouverte, au bon soleil. » • Rechercher à qui est destinée cette lettre. Elle s’adresse à un Parisien qu’il vouvoie ou aux Parisiens dans leur ensemble. Préciser aux élèves que cette « lettre », parue dans le journal Le Figaro en octobre 1868, s’adresse bien aux lecteurs