Sentiment National Italien

 1 LE MODÈLE D’HOFSTEDE Geert Hofsede : psychologue néerlandais né en 1928. En 1982, il a décrit les différences et les similitudes de cultures nationales de plus de 50 pays situés sur les 5 continents. (les échantillons étaient composés d’employés de l’entreprise IBM. La première vague a été réalisée de 1967 à 1969 sur 60 000 personnes dans 53 pays, la seconde de 1971 à 1973 sur 60 000 personnes dans 71 pays dont 30 000 avaient déjà répondu lors de la première vague). ►La culture d’un pays

franco-allemande 11 L'élargissement et l'apogée du système bismarckien 12 2. L'hégémonie européenne 13 CAUSES DE L’EXPANSION EUROPEENNE 13 La poussée démographique 13 Les préoccupations économiques 13 Le développement du sentiment national 13 Les préoccupations stratégiques 14 Les oppositions 14 EFFACEMENT DES CONCURRENTS DE L’EUROPE 14 Les États-Unis 14 Le Japon 14 L’ESSOR ET LE HEURT DES IMPERIALISMES 15 L’affaire tunisienne 15

Lasserre et Mélanie Leymarie Fondateur du mouvement fasciste italien, Benito Mussolini, dit « Le Duce », exerce le pouvoir en Italie de 1922 à 1943. Comment et pourquoi a-t-il accédé au pouvoir et s’y est-il maintenu pendant tant d’années ? Qu’a-t-il apporté au peuple italien pendant ces années au pouvoir ? Dans une Italie traumatisée et stigmatisée par la Première guerre mondiale, le mouvement fasciste naît, promettant unité italienne et amélioration économique. C’est dans les années 1920 que

A) Population et nation L’État est une création humaine, ce n'est pas un produit qui existe à l'état naturel. Il n'y a d’État que là où vivent des populations. Tout individu est, en principe, rattaché à une communauté nationale, éventuellement à plusieurs. Chacun a une nationalité. Quelle est la quantité de population pertinente pour former un État ? Y-a-t-il un minimum ou bien un maximum ? Exemple : On a la Chine avec une grande population ou encore le Vatican avec

LE MASSACRE DES ITALIENS A AIGUES-MORTES, 1893 Introduction « Aquae Mortuae », qui signifie les « eaux mortes » est le terme donné à la cité d’Aigues-Mortes dans l’antiquité ; une appellation qui semble correspondre à son histoire. Beaucoup on dit de celle-ci, « que là-bas plus qu’ailleurs le mort saisi le vif ». Cette ville de bord de mer, au cœur de la Camargue est emprisonnée par les étangs et les marécages. Isolée du reste du royaume par cette barrière naturelle, elle garde contact

parfaits de style et quelquefois de sentiment de Virgile qui n’a pris, le plus souvent, de la poésie pastorale que le cadre pour y placer toutes sortes d’idées relatives à la politique, à la religion, à ses intérêts, à ses affections, etc., car on n’y voit pas de peinture de la vie des champs, et ses bergers n’ont ni le langage, ni les mœurs des bergers réels. Chez Calpurnius Siculus, imitateur de Virgile, l’églogue devient déclamatoire et, malgré quelques traits de sentiment, quelques touches élégantes

lorsque Parti national fasciste est déclaré parti unique, à 1945, avec la dissolution de la République sociale italienne (RSI). Chronologie (1918 - 1922) 1. La situation italienne à la fin de la Première Guerre mondiale On remarque les tension entre la Yougoslavie et l'Italie à propos de l'Istrie et de la Dalmatie. Au lendemain de la Première Guerre mondiale la situation interne est précaire: le traité de Versailles n'a pas donné les bénéfices escomptés à l'État italien (l'Italie obtient

démocratie) en « Italie ». D'où l'importance d'avoir une unité italienne. Mais le sentiment d'appartenance à l'Italie n'existe pas vraiment. Il va se développer après cette révolution (notamment chez la bourgeoisie et les artisans). Cependant, le taux d'analphabétisme est encore très important. Un pays empêche l'unification : l'Autriche. Cette opposition va augmenter le processus d'unification. Le concept de Nation italienne précède la Nation italienne même. Il existe 2 possibilités à l'unification :

d’en faire partie. 3. En Europe centrale, aucune des revendications nationalistes manifestées à l’époque des conquêtes françaises n’est prise en compte : l’Autriche, la Prusse et la Russie s’octroient des territoires sans tenir compte des sentiments nationaux de leur population. 2. LES PAYS BAS AUTRICHIENS Les principautés et villes qui composent le Pays-Bas autrichien ont beaucoup de privilèges ou franchises qui leur accordent une autonomie. Ils sont hérités du Moyen-Age. Les principautés

Se repose le problème de la démocratie parlementaire, qui est le plus puissant ? Les communes issues de la nation ou les lords (élu par Dieu ^^). 2 ans de conflits. Le programme électoral, c’est un vrai contrat, c’est l’expression de la volonté nationale. B) les régimes autoritaires Leurs gros problèmes (Allemagne Autriche Russie) c’est de tenir, c'est à dire donné le compromis pour satisfaire la population mais garder tout le pouvoir au souverain. 1) Allemagne Il y a 2niveaux, empire = reichstag