Sentons Nous Le Bonheur

bien même d'autres seraient mauvaises. Que dis-je ? C'est peut-être là une conséquence nécessaire, du moment qu'il y a pour chaque disposition des activités non entravées, que l'activité de toutes ces dispositions ou de l'une d'entre elles soit le bonheur. Il est nécessaire, dis-je, que cette activité, si elle est libre, soit la plus souhaitable. » Aristote, Éthique à Nicomaque Pour Platon, Le Bien est l’Idée suprême qui est au-delà de l’être et source de l’existence et de l’essence de tous les

contenté d’une vie plus que modeste. Sans ce changement coulant dans nos veines siècle après siècle, notre vie se résumerait à survivre dans un monde sans piété, faisant de nous des hommes dénués d’Humanité, de réflexion et de recherche véritable de bonheur, qu’elle soit individuelle ou collective. Par cette évolution, nous tentons de nous améliorer, de nous façonner une image et une pensée dont nous serions fiers ; une attitude qui nous permettrait de vivre comme nous l’entendons, d’avoir le droit

voyons le temps passer, chaque seconde pèse aussi lourd qu'une minute. Peut-on dire que nous somme soumis a l'expérience du temps? Ne pas faire l’expérience du temps serait s’en affranchir même pour peu de temps. Lorsque nous somme dans un instant de bonheur, nous n'avons plus la notion du temps, nous voulons seulement que ce moment dure toujours. Voir le temps passer, c'est s'ennuyer, et tenter de combler ce temps qui passe. Nombreuse sont les activités auxquelles Emma Bovary a couru éperdument: «

personne n’est juste et seul Dieu est bon. La conscience morale est conscience malheureuse. La loi morale ne peut procurer que souffrance et humiliation.     Ce qui sauve l’homme qui tente de la pratiquer, c‘est qu’elle le rend digne de «mériter »   le bonheur, (texte) mais pas de le réaliser ici bas (texte). Le salut de la morale est dans la religion. La foi morale conduit à l’espérance d’un autre monde, où la contradiction entre la pratique de la morale et la recherche du plaisir sera surmontée. En désespoir

chroniques -""je me révolte, donc je suis" L'été -"l'héroïsme est peu de chose, le bonheur est plus difficile" lettres à mon ami allemand -"l'absurde, c'est la raison lucide qui constate ses limites" mythe de Sisyphe Chateaubriand : -"le goût est le bon sens de génie" Essai sur la littérature anglaise -"la mort ne révèle point les secrets de la vie" Mémoires d'outre-tombe Claudel Paul : -"le bonheur n'est pas le but mais le moyen de la vie" Journal -"tout le monde n'est pas fait pour

section Spleen et Idéal, il existe 4 poèmes nommés Spleen, de plus en plus nous voyons le poète se plonger dans la mélancolie. Celui ci est le dernier des poèmes Spleen mais certainement le plus connu, il s'agit du poème LXXVIII : Tout d'abord, nous sentons un montée en puissance le l'angoisse, le ciel bas et lourd pèse sur l'âme, il y a la un sentiment de pesanteur de l’âme traduit par les sonorités et l'allongement des vers, on s'en que l'auteur se sent de plus en plus épris, étouffé par ce ciel, on

mâts, ni fertiles îlots Mais, ô mon coeur, entends le chant des matelots ! Analyse du texte Problématique : En quoi le voyage est-il la métaphore de la création poétique ? Lecture du texte 1. Les raisons du départ Dés le 1° vers, nous sentons la déception du poète, son ennui face au monde connu. « La chair est triste » marque le désintérêt pour le sensible, la sensualité. L’usage du présent de l’auxiliaire « est » fait de ce constat une vérité générale. Et l’interjection « hélas » vient

personnes avec qui cela ce produit. Il s'agit plus de comprendre dans quelle situation nous nous sentons abandonné que à cause de qui ou pourquoi. La séparation d'un bébé de un an au moment de son entrée en crèche peut avoir été vécu comme un abandon à part entière: c'est vrai qu'il retrouve ses parents le soir, mais la souffrance de la séparation a été telle, que le sentiment d'abandon a surpassé celui de bonheur de les retrouver le soir. L'angoisse de l'abandon peut être très puissant quand les

ramène à un Moment de bonheur que l'on a laissé derrière soi. «La gourmandise» de Muriel Barbery et «la Madeleine » de Marcel Proust illustrent ce sentiment. Et vous, quel est cette fameuse saveur oubliée ? Pour nous rappeler notre enfance, c’est dans notre mémoire qu'il va falloir creuser, nous devrons passer à travers chaque chemin que nous avons emprunté auparavant pour y trouver les multiples saveurs qui nous évoque un passage de notre vie, un moment de pur bonheur qui nous fera tout oublié

sur lui. L’univers n’en sait rien. (S231-L200) Ce passage, l’un des plus connus des Pensées, pourrait s’interpréter comme un hommage à l’homme, la seule créature dotée de raison, de la même façon que l’Éthique à Nicomaque, qui définit le suprême bonheur humain par la vie contemplative relevant de l’exercice de son intelligence, ou que le Discours de la méthode, qui considère l’esprit humain comme le moyen universel pour atteindre la vérité. En effet Pascal déclare par la suite : « Toute notre dignité