Sentons Nous Le Bonheur

de l’acte - mise en situation de la scène/ des scènes - thèmes - personnages (attitude, rôle) - style - justifier votre contenu Résumé des Actes : Acte I - Arnolphe, aussi appelé « M. de La Souche », est un homme d’âge mûr qui aimerait jouir du bonheur conjugal ; mais il est hanté par la crainte d’être trompé par une femme. Aussi a-t-il décidé d’épouser sa pupille Agnès, élevée dans l’ignorance, recluse dans un couvent. Il fait part de ses projets à son ami Chrysalde, qui désapprouve la façon dont

mais à la reconnaissance du fait que nous sommes un corps et que, ce faisant, c’est nous que nous reconnaissons en prenant soin de notre corps. Car l’exercice nous permet de nous ressentir, en connaissant l’existence de muscles que nous activons et sentons à l’œuvre en nous. Ici le corps rejoint l’organisme, et le sport semble bien permettre une reconnaissance du corps au double sens du terme dans la mesure où il en permet tout simplement la connaissance. Travailler le corps serait en ce sens faire

d’abord affection, se retrouve d’ailleurs dans le mot français agapes, représentant à l’origine les repas pris, en évocation de la Cène et des apôtres. C’est ce terme que, nous Frères, nous utilisons pour désigner un repas fraternel où nous nous sentons unis par un lien spirituel commun. Agapè est avant tout un amour désintéressé et altruiste semblable à un don de soi, qui n’attend rien en retour. L’Agapè s’oppose fortement au désir, à l’Eros. La tradition chrétienne reprendra ce concept qui s’apparente

2010 LA LOI DE LA « DILATATION-RETRACTION » : Toutes les cellules de tous les êtres vivants sont régies par cette loi universelle, par ce mouvement basique qui nous permet de nous ouvrir lorsque nous nous sentons en confiance, éprouvons du plaisir, ou nous fermer, lorsque nous nous sentons en danger, pour nous protéger Ces deux mouvements essentiels : dilatation-rétraction sont régis par le système nerveux neurovégétatif ou Autonome, qui est celui qui nous maintient en vie en dirigeant nos fonctions

encore dans les bénéfices qu'elle apporte. En effet, la vérité libère celui qui la révèle. Une situation inconfortable peut facilement devenir pesante, si nous sommes seuls à la porter, mais, à partir du moment où l'on s'ouvre à autrui, nous nous sentons allégé, et la vision nouvelle que cette personne nous apporte, nous aide et nous permet de prendre du recul. Ainsi, Mme de Lafayette, dans son célèbre roman, La Princesse de Clèves , pousse son héroïne à révéler ses sentiments

humaine est foncièrement bonne et créatrice, et qu’il importe de reconnaître cette réalité. Si nous examinons notre vie, nous constatons que de la naissance à la mort les rapports affectifs jouent un rôle prépondérant qui affecte non seulement notre bonheur, mais aussi notre survie. Certes, en tant que créatures sociales, nous, êtres humains, dépendons les uns des autres pour vivre, mais nous sommes aussi animés d’un désir profond de communiquer entre nous, d’exprimer ce que nous ressentons et de partager

| | | |IMAGES DU BONHEUR A TRAVERS LES AGES EN LITTERATURE | |

Quoi! vous ne verrez plus ni le ciel ni les arbres! Vous allez dormir sous les marbres! Vous aller tomber dans la nuit! - Ceux qui passent à ceux qui restent Disent: - Vous n'avez rien à vous ! vos pleurs l'attestent! Pour vous,gloire et bonheur sont des mots décevants, Dieu donne aux morts les biens réels, les vrais royaumes. Vivants! vous êtes des fantômes; C'est nous qui sommes les vivants ! - Quia pulvis es, littéralement «Car tu es poussière» en latin

condition de survie. La souffrance des autres nous fait souffrir, nous nous portons secours, nous nous sentons responsables les uns des autres. La solitude absolue serait même selon David Hume la pire des solutions que l’on puisse infliger à un être humain. Même les plus riches et les plus puissants seraient misérables (ou au moins malheureux) s’ils ne pouvaient partager avec d’autres le bonheur d’être riches et puissants. 3.2 – Une même humanité On peut cependant être moins optimiste que Nicolas

salades, les fruits N'attendent que la cueillette ; Mais l'araignée de la haie Ne mange que des violettes . Que je dorme ! que je bouille Aux autels de Salomon. Le bouillon court sur la rouille, Et se mêle au Cédron. Enfin, ô bonheur, ô raison, j'écartai du ciel l'azur, qui est du noir, et je vécus, étincelle d'or de la lumière nature. De joie, je prenais une expression bouffonne et égarée au possible : Elle est retrouvée ! Quoi? l'éternité. C'est la mer mêlée