Septime Sévère

« ancienne ville » par opposition à Carthage qui signifie « ville nouvelle ». Elle est en concurrence avec Carthage (qui est fondée 3 siècles après elle). Auguste lui accorde le titre de municipe et Hadrien, sur sa demande, le titre de colonie (sous Septime Sévère, elle aura le droit italique). Hadrien est connu comme un des empereurs étant au plus près des réalités de l’Empire. Avant lui (et après lui) les empereurs sortent généralement peu de l’Italie et leurs déplacements sont surtout dus à des

amis, de vaincre par force ou par ruse, de se faire aimer et craindre des peuples, suivre et respecter par les soldats, de détruire ceux qui peuvent et doivent lui nuire, de remplacer les anciennes institutions par de nouvelles, d'être à la fois sévère et gracieux, magnanime et libéral, de former une milice nouvelle et dissoudre l'ancienne, de ménager l'amitié des rois et des princes, de telle manière que tous doivent aimer à l'obliger et craindre de lui faire injure : celui-là, dis-je, ne peut

des amis, de vaincre par force ou par ruse, de se faire aimer et craindre des peuples, suivre et respecter par les soldats, de détruire ceux qui peuvent et doivent lui nuire, de remplacer les anciennes institutions par de nouvelles, d'être à la fois sévère et gracieux, magnanime et libéral, de former une milice nouvelle et dissoudre l'ancienne, de ménager l'amitié des rois et des princes, de telle manière que tous doivent aimer à l'obliger et craindre de lui faire injure : celui-là, dis-je, ne peut

des amis, de vaincre par force ou par ruse, de se faire aimer et craindre des peuples, suivre et respecter par les soldats, de détruire ceux qui peuvent et doivent lui nuire, de remplacer les anciennes institutions par de nouvelles, d'être à la fois sévère et gracieux, magnanime et libéral, de former une milice nouvelle et dissoudre l'ancienne, de ménager l'amitié des rois et des princes, de telle manière que tous doivent aimer à l'obliger et craindre de lui faire injure : celui-là, dis-je, ne peut

des amis, de vaincre par force ou par ruse, de se faire aimer et craindre des peuples, suivre et respecter par les soldats, de détruire ceux qui peuvent et doivent lui nuire, de remplacer les anciennes institutions par de nouvelles, d'être à la fois sévère et gracieux, magnanime et libéral, de former une milice nouvelle et dissoudre l'ancienne, de ménager l'amitié des rois et des princes, de telle manière que tous doivent aimer à l'obliger et craindre de lui faire injure : celui-là, dis-je, ne peut

des amis, de vaincre par force ou par ruse, de se faire aimer et craindre des peuples, suivre et respecter par les soldats, de détruire ceux qui peuvent et doivent lui nuire, de remplacer les anciennes institutions par de nouvelles, d’être à la fois sévère et gracieux, magnanime et libéral, de former une milice nouvelle et dissoudre l’ancienne, de ménager l’amitié des rois et des princes, de telle manière que tous doivent aimer à l’obliger et craindre de lui faire injure : celui-là, dis-je, ne peut

grec de la médecine Asclépios (Esculape des Romains) lui était apparu quand Galien avait 17 ans pour lui indiquer que son fils serait un très grand médecin ! Galien, formé à Smyrne et Alexandrie (médecin des empereurs romains Marc-Aurèle et Septime Sévère) disséqua des animaux, et fut un précurseur en physiologie. Pour lui, le sommeil était le retour de l’âme (avec « de petits esprits animaux »…) dans le cerveau… avec une accumulation de bile jaune dans ce même cerveau. Il pensait que l’âme

triomphe. On a retrouvé lors de la construction d'une maison dans la médina actuelle, une statue de marbre blanc de plus de 2 mètres de haut et de plus de 500 Kg de poids nommée La Diosa Vesta. A partir de la cité, deux routes furent tracées sous Septime Sévère : Tingis-Sala (Chella) et Tingis-Volubilis. L'origine africaine de l'empereur (Tripoli) n'était sans doute pas étrangère à son action urbanisatrice en Maurétanie. [pic]   Tingis : Carte romaine de l'Afrique du Nord (793 Ko) Les traces d'activités

plus ramassées comme celles des guides touristiques, que l'histoire de la ville se compose uniquement de catastrophes. Au début du XIX° siècle, N.F Cochard fait la liste des calamités qui ont frappé Lyon: incendie de la ville sous Néron, sac par Septime Sévère, décadence sous les barbares, pillages sarrasins, destructions protestantes, Siège de 1793, autant de maux impitoyables auxquels sont venus s'ajouter de nombreuses catastrophes naturelles, inondations ou épidémies 3. Si cette vision cataclysmique

des amis, de vaincre par force ou par ruse, de se faire aimer et craindre des peuples, suivre et respecter par les soldats, de détruire ceux qui peuvent et doivent lui nuire, de remplacer les anciennes institutions par de nouvelles, d'être à la fois sévère et gracieux, magnanime et libéral, de former une milice nouvelle et dissoudre l'ancienne, de ménager l'amitié des rois et des princes, de telle manière que tous doivent aimer à l'obliger et craindre de lui faire injure : celui-là, dis-je, ne peut