Sérères

notamment malinké, sarakhollé et sérère qui se sont succédé de la chute de l’empire du Ghana jusqu’à l’arrivée du guerrier conquérant d’origine Peulh et mandingue, Koli Tenguella. Sous son règne, le royaume prend le nom du Fuuta Tooro. Dans cette espace il faut aussi souligner le phénomène migratoire des peuls qui s’intensifie au XVème siècle. Les pasteurs peuls allaient toujours plus loin à la recherche de pâturage plus abondant. Au XVème siècle les pays Wolofs Sérères et le Tékrour furent conquis

l’indépendance est le bilinguisme. En effet, la loi constitutionnelle n° 78-60 du 28 décembre 1978 stipule que la langue officielle de la République du Sénégal est le français et que les langues nationales sont le diola, le malinké, le pulaar, le sérère, le soninké et le wolof (Article premier de la Constitution). En dépit de sa position privilégiée, le français, langue d’administration et d’enseignement public, n’est bien pratiqué au Sénégal que par une minorité biculturelle (le français n’est

maritime : 500 km sur l’océan atlantique Capitale : Dakar Langue officielle : français. Langues nationales : wolof, serere, diola, puular, soninké, mandingue Président : Abdoulaye Wade Premier ministre : Souleymane Ndéné Ndiaye 2. Ethnies Les wolofs : représente 40 % de la population Les peuls et toucouleurs : 25 % de la population (peuple nomade) Les sérères : 14% de la population Les diolas : 5% de la population (au Sud du Sénégal) Les mandingues : 4% de la population (à l’Est

 Novembre 2014 EDI101 : PHILOSOPHIE, HISTOIRE ET SOCIOLOGIE DE L’EDUCATION RESUME DU SUPPORT DE COURS Le document soumis à notre étude peut être subdivisé en deux parties, une qui traite de l’histoire de l’éducation et ses rapports avec la philosophie et une autre qui analyse les notions sociologiques liées à l’éducation. L’éducation est étymologiquement l’action de guider, c’est-à-dire développer, faire produire. Elle signifie plus couramment l’apprentissage et le développement des facultés

des lions car leur destinée les attend. Un diola et un sérère entrent dans une tangana.  Le diola vole trois œufs et les mets dans sa poche ni vu ni connu. ; Il dit au sérère "T'as vu comment je suis fort !! Le sérère répond " je vais te montrer qu'il n'y a pas plus fort qu'un diola " ;  Il va voir le borom tangana (un peul bon teint ) :  "Donne-moi un œuf je vais faire un tour de magie " . Le peul intrigué le lui donne. Le sérère prend l'œuf et le mange : "donne m'en un autre " ; le peul

marqueurs temperéis revét une grande importance dans le texte car le nombre sept n'est pas neutre dans un pays de culture musulmane. 66 MARIE-CLAIRE DURAND GUIZIOU culer et Temporter dans une passion sauvage pour un paysan polygame, de l'ethnie sérére. Le Collier de paule est largement construit sur le mode de la répétition. Or la répétition- itération ^, a pour effet de retarder la progression du récit. Elle apparaít dans le marquage obsessif du temps deja palpable dans les ligues introductrices

catholique aisé appartenant à l'aristocratie sérère du Sénégal. Originaire de Djilor, sa mère, Gnilane Ndiémé Bakhoum (?-1948), que Senghor appelle dans Élégies « Nyilane la douce », appartient à l'ethnie sérére et à la lignée Tabor mais a des origines Peules. C'est la troisième épouse de Basile Diogoye Senghor, dont elle aura six enfants dont deux garçons. Les deux branches de sa famille appartiennent à la noblesse Sérère, les Guelwar. Le prénom sérère Sédar signifie « qu’on ne peut humilier ». Son

III. Les arts Cependant, d’autres pratiques sont plus spécifiques à chaque tribu. 4 tribus ont été choisies pour montrer la multitude de rites présents chez les animistes: Les Dogons (Mali ) Les Bassaris (Sénégal Mali ) Les Diolas (Sénégal ) Les Sereres (Sénégal Mali ) I. L’animisme II. Rîtes et croyances III. Les arts Les dogons Pays d’origine: Mali Population: 700 000 Danse dogon Le togouma, lieu de réunion des anciens du village I. L’animisme LES RITES II. Rîtes et croyances

catholique aisé appartenant à l'aristocratie sérère du Sénégal. Originaire de Djilor, sa mère, Gnilane Ndiémé Bakhoum (?-1948), que Senghor appelle dans Élégies « Nyilane la douce », appartient à l'ethnie sérère et à la lignée Tabor mais a des origines Peules. C'est la troisième épouse de Basile Diogoye Senghor, dont elle aura six enfants dont deux garçons. Les deux branches de sa famille appartiennent à la noblesse Sérère, les Guelwar. Le prénom sérère Sédar signifie « qu’on ne peut humilier ». Son

catholique aisé appartenant à l'aristocratie sérère du Sénégal. Originaire de Djilor, sa mère, Gnilane Ndiémé Bakhoum (?-1948), que Senghor appelle dans Élégies « Nyilane la douce », appartient à l'ethnie sérère et à la lignée Tabor mais a des origines Peules. C'est la troisième épouse de Basile Diogoye Senghor, dont elle aura six enfants dont deux garçons. Les deux branches de sa famille appartiennent à la noblesse Sérère, les Guelwar. Le prénom sérère Sédar signifie « qu’on ne peut humilier ». Son