Sérologie

métrorragies et écoulement purulent venant du col. A l’examen clinique, on retrouve des douleurs à la palpation. Au toucher vaginal, on retrouve la douleur avec une mobilisation de l’utérus. III / Examens complémentaires ◘ NFS ( ↑ GB, VS, et CRP) ◘ Sérologie des chlamydiae ◘ Recherche d’autres MST (syphilis, Sida) ◘ Examens bactériologiques (prélèvement des écoulements, hémoculture ◘ Cœlioscopie pour affirmer le diagnostic, voir l’état de l’utérus et des ovaires, et prélever le pus qui sort des trompes

en première intention) dans le virus respiratoire en période épidémique par prélèvement naso-pharyngé (Grippe, VRS, adenovirus – traitement des pneumonies aiguës communautaires : céphalosporines orales, cyclines, milieu de transport nécessaire), sérologies bactériennes si contexte particulier. Pas de prélèvements cotrimoxazole, macrolides seuls en l’absence d’orientation étiologique. invasifs en dehors de la réanimation, mais fibroscopie bronchique devant toute pneumopathie excavée ou abcédée. Eléments

Elle est de groupe 0 et de rhésus positif. Son électrophorèse de l’hémoglobine est AA. La recherche d’agglutinines irrégulières était négative au dernier bilan. Elle est immunisée contre la rubéole et non immunisée contre la toxoplasmose. Ses sérologies pour la syphilis, la myélite tropicale, l’hépatite B et C, le virus de l’immunodéficience humaine sont négatives. Son hyperglycémie par voie orale ne révèle pas diabète gestationnel, ni d’intolérance au glucose. Sa dernière NFS ne révèle pas d’anémie

irritabilité ou anxiété > amaigrissement par hypercatabolisme aboutissant à une altération de l'état général et une dénutrition. Examens : Spirométrie radiographie pulmonaire gaz du sang Examen complémentaire : Bilan biologique, radio du thorax, sérologie, angioscanner thoracique, echo doppler veineux Complications : L'hypoventilation alvéolaire chronique peut engendrer une insuffisance respiratoire aiguë. L'HTA pulmonaire peut provoquer une insuffisance cardiaque droite avec une tachycardie. L'hypoxie

donner son accord. • Le donneur ne doit pas être porteur de maladies génétiques ou de maladies infectieuses transmissibles par le sperme. Des tests sont effectués et le sperme doit être conservé 6 mois avant d'être donné afin de vérifier que les sérologies du donneurs sont bien négatives. • Le don est anonyme, c’est-à-dire que le donneur ne connaît pas la destination du sperme et le couple receveur n'en connaît pas l'origine. • Le don s'adresse à un couple hétérosexuel en âge de procréer et ne pouvant

AVC hemiplégie droit apraxie céphalée avec naussé constante a l entré temperature 36° tension arteriel 226/109 (éleve ) fréquence cardiaque 100 les examin doppler resultat normal arter souple analyse de sang hematologie serologie hemostase enzymologie normal scan cerebrale normal pas de saignement pas ishémie visible l'hospitalisation date d arrivé dans le service le 17/10 le 18 legé febricule traiter par une poche de glace date de sorti du service 19/10

activités, à l'aide de techniques appropriées et selon les modes opératoires prédéfinis : o Biochimie : analyses sur automates ou techniques manuelles o Hématologie, hémostase o Microbiologie : bactériologie, virologie, parasito-mycologie o Sérologie o Immunologie, radio-immunologie : Compétences spécifiques Les compétences nécessaires sont : • esprit de rigueur pour se conformer à des processus méthodologiques contraignants • savoir traduire des orientations de recherche en procédures

CLINIQUE 1 –Toxoplasmose du sujet immunocompétent: -Asymptomatique dans plus de 80% des cas. -Formes symptomatiques: Asthénie, fièvre, adénopathies cervicales, douleurs musculaires -Biologie: Syndrome mononucléosique, VS accélérée -Diagnostic: Sérologie: la recherche d'anticorps spécifiques (IgG et IgM). * IgM apparaissent les premières, au plus tard à la fin de la première semaine après contamination. * IgG apparaissent habituellement à partir du huitième jour et s’élèvent progressivement

cela est possible, la mise en quarantaine des tissus ou cellules provenant de donneurs vivants ou d’un prélèvement multi-organes (le « témoin » donneur vivant ou receveur d’organes est re-testé 4 mois plus tard et le greffon est « libéré » si les sérologies sont négatives). Le rejet du greffon reste le risque majeur. 3. Quels sont les différents types de greffes ? L’autogreffe consiste à transférer un greffon prélevé chez le receveur lui-même. Il s’agit, par exemple, du transfert, chez

Imagerie : - Echographie rénale. - Urographie intraveineuse (UIV). - Uroscanner. - Pyélo-urétérographie descendante (PUD). - IRM. b. Biologie : - FNS. - Ionogramme sanguin. - Fonction rénale. - ECBU. - Hémocultures. - Recherche de BK. - Sérologie hydatique. - Marqueurs tumoraux. VI. Diagnostic différentiel : 1. Les tumeurs du flanc. 2. Les tumeurs rétro-péritonéales. 3. Cas particuliers : - Enfant. - Femme enceinte. - Rein malformé. VII. Diagnostic étiologique : 1. Pyélonéphrite