Servantes Et Valets Dans La Comedie

On appelle « comédie » une pièce de théâtre en un ou plusieurs actes dont le but est de faire rire, d’amuser un public ou un lecteur (Musset écrivait pour que la pièce soit lu et non joué). Depuis l’Antiquité, des pièces des comédies ont été écrites et jouées pour faire rire. Différentes formes de comique sont utilisées: comique de geste, comique de mots ou encore de situation. Mais c’est surtout l’étude des mœurs d’une époque, leur satyre et l’intrigue autour du thème choisi par l’auteur comique

siècle, le genre théâtral trouve un nouveau souffle avec Marivaux qui écrit des comédies en prose pour les Italiens. Le 23 janvier 1730, il fait représenté pour la première fois à l’hôtel de Bourgogne « Le Jeu de l’amour et du hasard », une comédie dont le thème est le mariage: « Comment épouser la bonne personne ? » Pour trouver la réponse, les personnages vont bouleverser l’ordre établie et inverser les rapports maîtres-valets dans un jeu plein de surprises. Le rideau se lève sur un échange animé entre

de la sincérité, développée tout au long de sa carrière. Il renouvela profondément le registre de la comédie, approfondissant sa réflexion sur les motifs de l'amour-propre, de la tromperie ou de l'imposture, dont il analysa les innombrables variations dans ses pièces de théâtre où la subtilité et la légèreté cachent, le plus souvent, une extrême gravité. Marivaux a renouvelé le genre de la comédie en la fondant sur l’amour naissant traduit en un langage délicat, un jeu de séduction par le langage

aux raisons qui peuvent pousser à aller voir une pièce de théâtre. Au XVIIème siècle, le genre comique s'affirme et trouve ses lettres de noblesses. Pour beaucoup, le théâtre est devenu un lieu de réflexion et de distraction. Si le rôle de la comédie se retrouve dans la phrase "castigat ridendo mores", c'est à dire, "châtier les moeurs par le rire", il convient pourtant de souligner que les premières représentations théâtrales, en l'honneur de Dionysos, détenaient déjà une autre fonction, dites

prose sur un sujet à la mode : entre 1658 et 1661, on trouve pas moins de trois pièces traitant d’un personnage libertin, séducteur et impie précipité dans la mort par une statue de pierre - une farce italienne montée à Paris en 16583 - la tragi-comédie Le Festin de Pierre ou le fils criminel de Dorimon (Lyon, 1658-Paris, 1661) et Le Festin de Pierrenote 3 de Villiers (Paris, 1659) inspirées toutes deux de la pièce de l’italien Giliberto aujourd’hui disparue4. Ce thème trouve son origine en Espagne

* La mise en scène de personnages issus de la bourgeoises employant un langage familier ou courant est caractéristique de la comédie. La comédie a pour but de dénoncer les défauts des Hommes à travers un humour satirique et de corriger les moeurs (castigat ridendo mores en latin). Elle doit divertir le public par le rire grâce aux différents procédés du comique (comique de situation, comique de gestes, comique de mots et comique de caractère). La tragédie (le genre noble) met en scène des personnages

Corneille, les farces et comédies empruntées aux Italiens (La commedia dell’arte). Molière commence à écrire ses propres pièces, dont la  Jalousie du Barbouillé (1646),L’Étourdi (1654), Le Dépit amoureux (1656) .Revenue à Paris, la troupe de Molière connaît un succès croissant. Les chefs-d’œuvres’enchaînent. La troupe devient la Troupe du Roi en 1665. Dans ses dernières années, Molière organise les fêtes royales avec des musiciens. Il écrit encore des comédies et des comédies ballets. Molière analyse

Cependant les costumes ne respecte pas la mode du XVIIIe siècle. En effet on voit la servante Lisette porté des collants bleu turquoise ou encore la marquise porté une robe du XVIIIe mais version mini avec des bas également bleu turquoise, couleur assez voyante, assez flashe. De plus la plupart des costumes comportent des motifs très moderne. La marquise Lisette Scène comique La pièce, s'agissant d'une comédie, comporte de nombreuses scènes comiques. En autre, a la fin de celle-ci on a une

intention : il s'agit de marquer leur déchéance par la privation de la parole, qui a été jusque là signe de leur pouvoir ; leur éviction du champ "à dix pas" fait aussi d'eux des spectateurs et accentue le caractère théâtral de l'entretien qu'auront les valets. Ceux-ci, d'ailleurs, donnent l'impression de préparer une représentation : Cléanthis conseille le jeu d'Arlequin, sur le plan du langage ("n'épargnez ni compliments, ni révérences") comme sur celui du jeu scénique ("promenons-nous plutôt de cette

Le Marc Léo 2nd 6 Théâtre Analyse de L’école des femmes vue au Quartz le 03/02/09 Introduction L’Ecole des femmes mise en scène par Jean-Pierre Vincent est une comédie écrite par Molière en 1622. Elle respecte les règles du théâtre classique. L’intrigue La pièce met en scène un personnage, Arnolphe, prétentieux, qui se refuse à écouter les conseils des autres, et qui se plaît à rire des hommes qui sont cocufiés par leur femme. Ayant prévu lui-même de se