Service Traiteur

I Le service et ses spécificités A. Définition de l'activité de service Une activité de service se caractérise essentiellement par la mise à disposition d’une capacité technique ou intellectuelle. À la différence d’une activité industrielle, elle ne peut pas être décrite par les seules caractéristiques d’un bien tangible acquis par le client. Compris dans leur sens le plus large, les services regroupent un vaste champ d’activité allant des transports à l’administration en passant par le commerce

| |La certification est une procédure par laquelle une tierce partie donne une assurance écrite qu’un produit, un processus ou un service est | |conforme à des exigences spécifiées. La certification est un acte volontaire qui peut procurer aux entreprises un avantage concurrentiel. | |Elle est délivrée par des organismes certificateurs indépendants des entreprises certifiées

désormais principalement dans le secteur tertiaire (plus de 66 % des actifs immigrés en 2002) : dans l’hôtellerie et la restauration, dans les services aux entreprises qui ont externalisé certaines tâches comme le secteur du gardiennage, du nettoyage et de la sécurité (plus de 16 % des actifs immigrés) ou dans les services aux particuliers (dont les services domestiques) où ils sont plus de 15 % des actifs contre 7,8 % des actifs non immigrés en 2002. Leur présence augmente également dans les secteurs

patronne. Les mentalités sont-elles en train d'évoluer? «Sans nul doute, estime André Letowski. Auparavant majoritaires dans le commerce, les femmes qui créent sont aujourd'hui plus diplômées et investissent des métiers business to business, comme les services aux entreprises.»

dont les intérêts sont, de toute façon, très liés aux économies étrangères dominantes. Face à ce grand pouvoir d'origine étrangère, la puissance publique dans les pays d'économie dominée représente l'autre volet des activités de commandement. Les services de l'Etat qui contrôlent l'ensemble de l'économie et de la vie sociale sont un facteur important de cohésion pour l'espace national et dans le cas, fréquent, d'une organisation central iséerenforcent le rôle de la capitale. Un système complexe d'interrelations

Le secteur tertiaire confirme sa prépondérance dans l’économie française. Les métiers de services constituent en 2010 le plus gros potentiel de recrutements sur le marché du travail. Parmi eux, les secteurs du tourisme, des services aux entreprises, les soins médicaux et les nouvelles technologies sont les plus en attente de main-d'œuvre. En France, l’industrie du tourisme a pris une telle importance que les zones  les plus touristiques sont naturellement celles dans lesquelles les entreprises

confrontée à d’énormes faiblesses dans son commerce extérieur malgré la présence d’avantages certains. Quelles sont les forces et les faiblesses du commerce extérieur français ? Le commerce extérieur français correspond aux échanges de biens et services qui existent entre la France et les autres pays. Pour répondre à cette problématique, dans une première partie nous développerons les forces du commerce extérieur français, pour ensuite nous attacher, dans une seconde partie à analyser ses faiblesses

| |et qui ont permis de mettre en œuvre le projet |service proposé (malgré une meilleure rentabilité de ce type d’activité), il est alors question d’étudier les| | |besoins des clients, leurs habitudes et rythme d’utilisation du service. De façon a démarcher si possible, ou| | |faciliter l’accès de l’entreprise au client ponctuel nécessitant le service proposé. | |

Numéro 2010/01 – Juin 2010 La désindustrialisation en France Lilas DEMMOU LA DÉSINDUSTRIALISATION EN FRANCE Une analyse des déterminants intérieurs (évolution de la structure de la demande et externalisation auprès du secteur des services) et extérieur (concurrence internationale) du recul de l’emploi dans l’industrie entre 1980 et 2007 Lilas DEMMOU* Ce document de travail n’engage que son auteur. L’objet de sa diffusion est de stimuler le débat et d’appeler commentaires et critiques

encaissé au cours de la période retenue. Le montant de ces cotisations sera égal à : • Pour les BIC* : o 12 % du chiffre d’affaires pour une activité d’achat-revente, o et 21,3 % du chiffre d’affaires pour les prestations de services. • Pour les BNC relevant du RSI* : 21,3 % du chiffre d’affaires. • Pour les BNC relevant de la CIPAV* : 18,3 % du chiffre d’affaires. *voir ci-dessous les activités relevant des BIC et des BNC, et la distinction entre BNC relevant du RSI