Servus

appartenant à un maître (en général un seigneur.) Les serfs sont dans une position juridique très particulière. §1) Les origines du servage : Le servage s’est formé pendant une très longue période au début du Moyen-Age. En latin l’esclave : « Servus » puis « Sclavus. » A) Les origines romaines : 1) L’évolution de l’esclavage : Au début du 2ème siècle la situation des esclaves évoluera suite à la philosophie du stoïcisme. On prendra donc les esclaves comme des humains en tant que

animer les esprits. Nécessité de procéder à des adoucissements des situations juridiques qui pouvaient conduire à l'esclavage. Même les esclaves se sont vus reconnaître certains droits qui vont progressivement transformer leur condition. On parlera de servus, serviteur de condition juridique inférieur qui ont un certain statut. Le maitre ne joui plus d'un droit de propriété sur l'esclave mais d'une simple potestas (pouvoir) qui permet d'exiger des services. Cela signifie que le maitre ne pouvait plus

heurtant toujours à l’attachement des populations pour leur droit local. Ainsi, les ordonnances royales ont des fortunes bien diverses. Un serf est une personne travaillant la terre pour le compte d’un seigneur. Le mot « servage » vient du latin servus, qui veut dire « esclave ». Toutefois, le serf a bel et bien une existence réelle. Il peut témoigner en justice, détenir des biens, se marier, effectuer des ventes plus ou moins librement. Le lien entre le serf et son seigneur est issu de la vassalité

A partir de Constantin, il y a des empereurs chrétiens qui vont modifier peu à peu la législation. Par exemple tuer un esclave est considéré comme un meurtre et l’affranchissement se répand.   L’esclavage va se dissoudre dans le servage (serf = servus = esclave), mais le serf du Moyen Âge est un être humain (sujet de droit) contrairement au passé où il était considéré comme une chose. Ainsi, il peut désormais se marier, laisser une succession. Cependant il subit des incapacités juridiques. Notons

plus loin, il va préciser quels sont les devoirs qui incombent au roi. En effet l’Eglise rappelle que selon l’évangile celui qui exerce une domination a pour premier devoir de servir, d’ailleurs le pape, le chef du pouvoir spirituel a pour titre : SERVUS SERVORUM DEI, c’est le serviteur des serviteurs des dieux. Le roi doit veiller sur son peuple dont il est moins le maître que son serviteur. Le roi est d’abord protecteur et justicier de la chrétienté contre les païens qu’il faut convertir. Et c’est

Quis annuntiavit ab exordio ut sciamus et a principio ut dicamus: justus es. Is. 41. 26. Operabor et quis avertet illud. Is. 43. 13. Neque dicet forte mendacium est in dextera mea Is. 44. 20. Memento horum Jacob et Israel quoniam servus meus es tu. Formavi te, servus meus es tu Israel, ne obliviscaris mei. Delevi ut nubem iniquitates tuas et quasi nebulam peccata tua, revertere ad me quoniam redemi te. 44. 21. etc. Laudate caeli quoniam misericordiant fecit dominus... quoniam redemit dominus

Quis annuntiavit ab exordio ut sciamus et a principio ut dicamus: justus es. Is. 41. 26. Operabor et quis avertet illud. Is. 43. 13. Neque dicet forte mendacium est in dextera mea Is. 44. 20. Memento horum Jacob et Israel quoniam servus meus es tu. Formavi te, servus meus es tu Israel, ne obliviscaris mei. Delevi ut nubem iniquitates tuas et quasi nebulam peccata tua, revertere ad me quoniam redemi te. 44. 21. etc. Laudate caeli quoniam misericordiant fecit dominus... quoniam redemit dominus Jacob

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Russes. A partir du XVe siècle, explosion territoriale de la Russie pour dominer les peuples non russes. On peut parler d’Empire à ce moment là. Les grandes étapes de l’histoire de l’empire russe Pour certains, les Slaves sont des esclaves (« servus » en latin = esclave). Autre étymologie que préfèrent les Russes : « slava » = « gloire à ». Quand aux Russes, leur origine est aussi obscure. Quand on lit les descriptions des peuples « rus », on s’aperçoit qu’ils ressemblent beaucoup à des Scandinaves

Quis annuntiavit ab exordio ut sciamus et a principio ut dicamus: justus es. Is. 41. 26. Operabor et quis avertet illud. Is. 43. 13. Neque dicet forte mendacium est in dextera mea Is. 44. 20. Memento horum Jacob et Israel quoniam servus meus es tu. Formavi te, servus meus es tu Israel, ne obliviscaris mei. Delevi ut nubem iniquitates tuas et quasi nebulam peccata tua, revertere ad me quoniam redemi te. 44. 21. etc. Laudate caeli quoniam misericordiant fecit dominus... quoniam redemit dominus Jacob