Seuil de rentabilité

5 : Calcul du chiffre d’affaires potentiel du magasin par an CA pour l'ensemble de la zone - CA pour les concurrents = 16 251 840 - 6 000 000 = 10 251 840 € AUTEUR : KARINE PETIT 15 TSTT ACC – OUTILS DE GESTION COMMERCIALE FICHE 8 : LE SEUIL DE RENTABILITE 1. DÉFINITION C’est le chiffre d’affaires pour lequel le résultat est nul. C’est le chiffre d’affaires qui permet de couvrir toutes les charges fixes (CF) et charges variables (CV). C’est le chiffre d’affaires à partir duquel on pourra réaliser

risque par la variance de rentabilité des portefeuilles. Le modèle de Markowitz repose cependant sur des hypothèses fortes, relatives aux préférences des agents (utilité quadratique1) ou à la distribution de probabilité des rentabilités (déterminée par ses deux premiers moments2). Markowitz lui-même avait déjà mentionné que cette mesure (la variance) n’était peut-être pas la meilleure en suggérant une alternative, la semi-variance, qui tient uniquement compte des rentabilités inférieures à la moyenne

de financement : Modigliani et Miller, avec leur théorème, ont sans doute raison. 1 – L’effet de levier de l’endettement L’effet de levier est avant tout une identité comptable : la rentabilité financière (notée rf) des seuls capitaux propres (notés C) apparaît comme une variable dépendante de la rentabilité économique (notée re) de tous les capitaux économiques engagés (notés Ke), du taux d'intérêt de l’endettement (r) et de la structure de l'endettement mesurée par le levier (L), le rapport

seulement de la qualité de l’information utilisée, mais aussi de la prise en compte du temps et du risque. Notions à aborder : actualité et pérennité de l’information, veille informationnelle prospective en matière d’activités (enquêtes, seuil de rentabilité). A partir de l’étude de situations d’organisations concrètes et variées et d’outils de simulation et de résultats d’enquête, vous devrez être capable : d’expliquer en quoi le temps est source d’incertitude, de repérer l’importance

(graphique page 5) Le client est prêt a payer plus. Il prescrit. Il est beaucoup moins coûteux de fidéliser que de recruter un nouveau client, en particulier si les clients sont rares et valent très chers. 2. Analyse des entraves à la rentabilité des programmes de GRC. (page 6 et suivantes). 2.1 Écart entre le promesse et la réalité Promesse = technologie performante qui permet beaucoup de choses. Ex : ciblage automatique Réalité= usine informatique qui peut être compliquée et coûteuse

Informer L'un des tous premiers rôles de la comptabilité de gestion est d'informer les responsables sur les coûts des différentes fonctions qui structurent l'entreprise et le coût des produits qu'elle fabrique ou commercialise, afin d'en estimer la rentabilité. Elle influence ainsi directement le comportement des dirigeants et responsables. Elle permet également de déterminer les bases d'évaluation de certains éléments du bilan de l'entreprise, tels que la valeur des stocks ou de la production immobilisée

>transformation >vente >argent Achat M P > stockage (produits en cours, produits finis)> Vente Phase approvisionnement> Phase production >phase commercialisation -Elaborer le bilan fonctionnel -risque /rentabilité Bilan économique BILAN FINANCIER La notion de patrimoine -Dresse l’état des avoirs (ce que possède l’entreprise) et des engagements de l’entreprise. -Est construit dans une optique de liquidation. -Permet de juger la solvabilité de l’entreprise

financier. Les notions fondamentales. L'appréciation de la solvabilité : la solvabilité d'une entreprise c'est sa capacité à assurer le règlement de ses dettes lorsque celles-ci arrivent à échéance. Ceci est important pour les banquiers. La rentabilité : mesure de la performance de l'entreprise. On compare les moyens financiers qui ont été engagé par rapport au résultat obtenu. On regarde aussi par rapport aux autres entreprises, surtout pour les actionnaires. La croissance, c'est l'évolution

concurrentiels Collège de Saint-Jérôme Objectifs d’apprentissage 1. Définir les caractéristiques d’un marché parfaitement concurrentiel 2. Déterminer le niveau de production qui maximise le profit (= équilibre à CT) 3. Déterminer les seuils de rentabilité et de fermeture & différencier les types de profits 4. Expliquer les conditions de cessation temporaire des activités à court terme Collège de Saint-Jérôme Objectif 1.- Définir les caractéristiques d’un marché en concurrence pure

à améliorer la rentabilité. Ici, c’est la logique d’efficience qui prédomine. 2. En recherchant la taille critique La taille critique est la dimension minimale que doit atteindre une entreprise pour s’introduire, survivre ou se développer sur un marché. On parle aussi de « masse critique » ou de « seuil dimensionnel ». Si cette taille n’est pas atteinte, l’entreprise n’a pratiquement aucune chance de succès sur ce marché. Plusieurs types de seuils peuvent exister : – un seuil technologique,