Seuilly

la croix) et les formidables blessures infligées à l'ennemi ; o entre la cause (le saccage d'un clos de vigne) et la conséquence (une colère quasi cosmique) o entre la dimension du clos (et plus généralement du lieu, Seuillé ou Seuilly, un bourg à quelques kilomètres de Chinon) et l'ampleur du massacre, de plusieurs dizaines de milliers d'hommes. (13622 P.233) o Ce jeu s'exprime par un langage proliférant : douze verbes à la suite (p. 228) &2 pour désigner les blessures

double nature de Socrate L’éducation des sophistes :Prob : Comment la dose des activités matinales permet a Rabelais de formuler une sattire ?1er mvt : le temps du levé2nd mvt : l’art d’argumenter 3eme mvt : le temps de l’étude L’attaque du clos de Seuilly : Prob : Comment Rabelais arrive-t-il à rester fidèle au pacte du prologue qui est de susciter la réflexion derrière le rire ?1er mvt : les préparations du moine 2nd mvt : les exploits du moine Pouvoir des fables, La fontaine Intro : esthétique classique

et les formidables blessures infligées à l'ennemi ; o disproportion entre la cause (le saccage d'un clos de vigne) et la conséquence (une colère quasi cosmique) o disproportion entre la dimension du clos (et plus généralement du lieu, Seuillé ou Seuilly, un bourg à quelques kilomètres de Chinon) et l'ampleur du massacre (Bilan du combat : 13 622 morts ennemis, et pas un seul blessé chez les moines !). Humour scatologique signalé par l'insistance sur le « bas corporel » car beaucoup de blessures

Inquisition, Jésuites?). 3/ Parodie de certains genres littéraires : Rabelais :- titre : clin d'œil à Gargantua que l'on pense que VOLTAIRE a lu peu avant de commencer à écrire Candide. - RABELAIS utilisait des précisions chiffrées ("le moine de Seuilly tua 13622 soldats, sans compter les femmes et les enfants, bien entendu !"), VOLTAIRE l'imite : "71 quartiers", "350 livres" Conte : "il y avait [...] on le nommait Candide" = début de conte, mise en place d'un cadre spatio-temporel. Leibniz :

Dissertation sur GARGANTUA François Rabelais était un écrivain humaniste de la Renaissance, né à Seuilly. Rabelais était considéré comme un libre-penseur, médecin ayant l'image d'un bon vivant. L’œuvre GARGANTUA de Rabelais, était considérée comme une œuvre polémique, il traite sur le mode burlesque avec son humour de tous les jours, les travers de la société, grâce à un géant, pour pouvoir amplifier ses critiques.

1553. 1. Sa vie et les personnes célèbres côtoyées : On peut répartir sa vie en quatre périodes. a) de 1510 à 1530 : une vie religieuse - Autour de 1510, le jeune François commence ses études à l’abbaye des Bénédictins de Seuilly. - Vers 1520, il devient novice au couvent de La Baumette près d’Angers, puis prêtre et frère Franciscain (moine). Il va se livrer à l’étude approfondie du grec et du latin. Rabelais constitue un petit groupe d’humanistes avec quelques érudits

autre qui paraissent ainsi inférieurs à Frère Jean. - Le comportement de frère Jean : il apparait comme un moine bravant les rçgles et principes religieux pourtant il va témoigner de son attachement et de sa loyauté en sauvant les moines de l’abbaye Seuilly. P 223 il est vu comme un homme « courageux » pour être ensuite décrit comme un « beau débiteur d'heures, beau débrideur de messes, beau décrotteur de vigiles ». Rabelais, grâce à cette antiphrase met en avant les caractéristiques qui font de

l’œuvre et la dénonciation de ce qui écrase l’homme : qui est visée dans la portée polémique de l’œuvre a) Les représentants de la religion : dénonciation des moines par exemples avec le portrait de Frère Jean et l’épisode de l’attaque de l’abbaye de Seuilly b) Le pouvoir avec l’opposition de Grandgousier et de Picrochole, comme deux souverains différents : l’un éclairé, l’autre despote et inculte. c) Les tenants du savoir avec l’opposition de l’éducation des Sophistes et celle de Ponocrates

menace que faisait peser Puits-Herbault ; ses interrogations sur la valeur démesurée que l'on accordait aux choses rares et le trop peu d'intérêt que l'on portait à ce qui était courant ; les critiques du meunier ; sa discussion avec Armand ; et Seuilly, où il ne voulait plus retourner. Toutes ces petites choses de sa journée, Rabelais les aurait éclairées d'une lumière différente. Il aurait trouvé une interprétation valable. Il l'aurait aidé à lire ces anecdotes « en sens agile ». Et pourtant Justus

qu'un ensemble de parties. La maladie du corps est un thème également présent dans Gargantua. La vérole est évoquée dans le prologue lorsque Rabelais nomme ses lecteurs de «vérolés très précieux». La peste est également présente lors de l'attaque de Seuilly et aussi lorsque Gargantua évoque les sophistes «la peste ne tue pas que le corps, mais de tels imposteurs empoisonnent les âmes» (p318) Rabelais nous donne alors l'image d'un corps vulnérable et malade. C'est à dire une image négative du corps