Seul L Incipit Compte

Pas un seul sentiment exprimé. (les 3premières phrases n’ont pour but que la recherche de la date exacte). Elle ne bouleverse pas les habitudes du narrateur :  « J’ai mangé chez Céleste, comme d’habitude ». On ne relève aucun modalisateur qui révèle la tristesse. On peut croire que sa mère est surtout un bon prétexte pour avoir 2jours de congés « il ne pouvait pas me les refuser avec une excuse pareille » - Sentiments uniquement perceptibles chez les autres personnages Les seules réactions

homme que des circonstances extérieures vont amener à commettre un crime et qui assiste, indifférent, à son procès et à sa condamnation à mort. L'action a lieu dans un contexte géographique précis puisqu'il s'agit de l'Algérie. LECTURE En quoi cet incipit ne repond-t-il pas aux attentes traditionnelle du genre romanesque ? ANNONCE DES AXES I/ le récit, une énonciation ambiguëII/ Le personnage romanesque surprenantIII/ Une explication de son attitude ( construction d'un univers indéchiffrable)ETUDE

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 14 16 17 20 q Rédiger la fiche biographique d’un auteur q Étudier un incipit de nouvelle q Apprécier l’écriture de Maupassant q Étudier une nouvelle : un récit complexe un récit réaliste • Contes de la Bécasse, Guy de Maupassant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 24 FICHE-MÉTHODE : Rendre compte d’une lecture sous forme d’interview L’ÉCHO DU POÈTE q Étudier un recueil de nouvelles • Promenades et Intérieurs, François Coppée

boule de matière concentrée qui explose dans un grand éclair de lumière et emplit tout l’espace. Ceci nous présente 2 espaces, l’un plein de matière et de lumière qui envahirait progressivement un second espace, vide et froid. Le Big Bang n’a qu’un seul espace, uniformément rempli de lumière et de matière qui est en expansion partout. = explosion d’énergie il y a 12 milliards d’années. Difficile à imaginer. Quelle représentation visuelle peut-on avoir du Big Bang alors ? Difficile à imaginer,

Entreprend l’histoire de ses idées + de ses idées. Chez chateaubriand => envie d’écrire sa mort => finit son oeuvre avant de mourir => mort mise en scène très théâtrale => voit l’arrivée d’un nouveau monde. Georges Sand => incipit => pr elle pas besoin d’avoir honte d’écrire sur soi, pr elle c un devoir et un devoir même pénible . Rapport à la religion de G.Sand => reprend à travers son livre une relation avec dieu. Stendhal => se

pas vraiment de caractéristiques propres. Il est à un seul moment défini de manière positive à la fin de l’extrait (« Oui, Jean Dézert est un résigné ») mais alors la caractéristique soulignée reste négative (la résignation). La première phrase, « Jean Dézert ne parle jamais de sa famille », donne l’impression d’un personnage sans passé et sans origines, sorti de nulle part. Or, un personnage sans passé manque de fondements (un incipit donne généralement l’histoire de la généalogie du héros)

roman Préparation à la lecture analytique du texte 1 : →Lire les p 51-52 de Tristram Shandy de STERNE (édition GF) ; identifier les points communs avec l’incipit de JLF → Analysez la situation d’énonciation (qui parle ? à qui ?...) → En quoi cet incipit est –il à la fois traditionnel (il respecte ses engagements) et original ? Eléments d’introduction (à compléter) - CONTEXTE : prévoir qqs mots sur l’époque (les Lumières + le roman au XVIIIè) - AUTEUR : sélectionnez les éléments biographiques

contraste fort avec le début proprement dit des Confessions (Je suis né à Genève en 1712). Rousseau fait preuve ici d’une volonté de mise en scène de lui-même comme de son écriture. On est d’abord frappé par l’apologie, le manque otal d’humilité. On compte ainsi vingt-trois occurrences de « je », lus les adjectifs possessifs et les pronoms personnels à a première persone. Le phrasé, le rythme du début est aussi remarquable. Il s’agit d’un rythme binaire qui souligne les oppositions. « Je forme une

source de malaise. Ou plutôt l’absence de descriptions. Cet incipit fait apparaître un certain nombre de personnages, dont aucun n’est décrit. Ainsi, la mère du « maman est morte » n’est-elle jamais l’objet d’une description, alors même qu’elle est au centre de la narration de cet extrait. De la même manière, Le patron, Céleste, Emmanuel, Le concierge, le militaire sont réduits à leurs simples prénoms ou fonction, ainsi qu’à leurs propos. Seul le directeur de l’asile a droit à un semblant de description :

sentiments les plus raffinés, dits avec les mots les plus soignés. Mais, de plus, l’hyperbole se substitue à la description. L’écriture se fait donc encore une fois art de la suggestion et non de la précision. Par exemple, « La liberté de se retrouver seules la nuit dans le plus beau lieu du monde » (p 186) : c’est ainsi que Mme de Lafayette décrit le pavillon de Coulommiers avant l’épisode de la féerie sentimentale de Coulommiers ou deuxième aveu du roman. Et l’expression sera reprise plus loin quand