Severine La Bete Humaine

Résumé la bête humaine CHAPITRE I (p. 27-p. 62) Roubaud, sous-chef de gare au Havre, en déplacement à Paris est dans une chambre que lui prête la mère Victoire, près de la gare du quartier de l'Europe. Il attend sa jeune femme Séverine qui doit le rejoindre après avoir profité des magasins de la capitale. Celle-ci finit par arriver et le couple se met à table, joyeux de se retrouver là. Roubaud

I – UNE BETE HUMAINE A – Une métamorphose 1 – un personnage en crise 2 – la transformation physique en bête B – un conflit intérieur 1 – Jacques et « les autres » 2 – la « bête » contre l’ « homme » II – UNE CREATURE ZOLIENNE A – Une énonciation ambiguë B – Jacques, personnage « dominé par son sang » C – La « fêlure héréditaire » 1 – Jacques, un « cas d’école » 2

La Bête humaine Roman appartenant au mouvement naturaliste publié en 1890. C'est le 17ème volume du cycle des Rougon-Macquart, (qui en comprend 20). Chapitre 1 : (p. 35-p. 72) On est en février 1869 au début du roman Roubaud, sous-chef de gare au Havre, en déplacement à Paris est dans une chambre que lui prête la mère Victoire, près de la gare du quartier de l'Europe. Il s’impatient d’attendre sa jeune femme Séverine qui doit le rejoindre après avoir profité des magasins de la capitale,

vouloir ruiner l'idée même de tragédie. Il s'en prend en particulier à l'un des fondements tragique : le mythe. » Vous discuterez ce jugement en vous appuyant sur le roman naturaliste que vous avez lu. Le naturalisme est l'étude de la nature humaine ; Pour Zola, « la société, comme la nature, obéit à des lois de lutte et de sélection. », il observe «  les faits sociaux comme des phénomènes cliniques, expérimentaux ». Il s'intéresse de prés aux maladies héréditaires ; le naturalisme est pour lui

inéluctable, soit celui de l'accident ferroviaire, soit celui de la guerre. Dans le roman, le chant à la gloire du progrès fondé sur l'organisation et la technique tourne au désastre, qui remet tout en question : la locomotive symbole du progrès est un bête affolée à la puissance incontrôlable ; la vitessse est une course insensée vers la mort collective. D'un monde stable au mouvement réglé (Roubaud est immobile, dans un appartement et contemple d'en haut les déplacements autour de la gare) on passe

vieux Maréchal ». La bête humaine La Bête humaine est un roman naturaliste d'Émile Zola publié en 1890, le dix-septième volume de la série Les Rougon-Macquart. L'histoire évoque le monde du chemin de fer et se déroule tout au long de la ligne Paris-Le Havre. On a coutume de dire qu'elle comporte deux héros : d'une part le mécanicien Jacques Lantier et de l'autre sa locomotive, la Lison, que Lantier aime plus qu'une femme. Outre son aspect documentaire, La Bête humaine est un roman noir, sorte

EPREUVE D’HISTOIRE DES ARTS Objet d’étude : L’homme et l’espace Etude comparée Arts Plastiques / Lettres Autour du thème de la gare Corpus : La gare Saint-Lazare, Claude Monet, 1877 La Bête humaine, Emile Zola, 1890 I. INTRODUCTION Présenter chaque œuvre (titre, auteur, date, courant éventuel, enjeu disciplinaireIsabelle2012-02-16T23:58:00 Présenter les deux artistes successivement ) Claude Monet (1840-1926) est un peintre impressionniste. Quand il peint ce tableau La

s'ils avaient voulu bondir hors des orbites, son front et tout son visage était ridé et déformés par la dernière convulsion. TEXTE B - Emile Zola, La Bête humaine. 1890, chapitre 11 Jacques Lantier, conducteur de trains, est obsédé depuis longtemps par l'envie de tuer. Un soir, il finit par passer à l'acte et assassine sa mattresse, Séverine]. Immobile, Jacques maintenant la regardait, allongée à ses pieds, devant le l i t Le train se perdait au loin, i l la regardait dans le lourd silence

raconte l’histoire de Mary, une jeune fille vivant des siècles après nous, après le jugement dernier. Elle vit dans un village limité par des clôtures. Derrière ces clôtures ce trouvent des damnés, des morts-vivants cherchant à se nourrir de chaire humaine. Son père est parti, lors d’une mission, à l’extérieur des clôtures voir si un autre village se trouvait aux alentours. Quelques années plus tard, il n’est toujours pas revenu. Et la mère de Mary cherche encire et toujours, à travers le grillage,

du personnage crée des péripéties et donc éviter une certaine lassitude de l'histoire. Dans la bête humaine de Emile zola un personnage qui se nomme Jacques. Personnage trop sérieux a des tendances meurtrière. Il cherche a l'oublier par un passion qui est sa locomotive. Avec son assistant qui s'appelle pacqueux forme un espèce de triangle amoureux. Il devient presque malgré lui l'amant de séverine puis il devient son complice et son meurtrier. Ce personnage malheureux nous apporte des rebondissements