Sganarelle Aspect Comique

drames amoureux. Molière s'inspirait souvent des histoires d'amour compliquées dans ses comédies, et Corneille faisait de même dans ses tragédies. En effet, la comédie et la tragédie sont deux remèdes efficaces pour persuader le public de différents aspects de la vie, le premier genre grâce à l'humour et le second grâce à la pitié et l'horreur. L’art est en effet, conçu par l’artiste mais aussi par le spectateur grâce à sa perception unique qui donne à l’œuvre un caractère qui est toujours à redécouvrir

Les Liaisons dangereuses Laclos, Frears I- L’aspect comique On peut isoler dans le roman plusieurs procédés qui évoquent le genre comique. - Maîtres et valets : le couple formé par Valmont et Azolan rappelle avec certaines nuances celui formé par Sganarelle et Don Juan. L’entreprise de séduction que mène Valmont est constamment secondée par son fidèle serviteur, qui apparaît ici comme le double burlesque du vicomte. - Les quiproquo : Dans le roman, le narrateur met en scène la naïveté de

s’impose aujourd’hui comme un acquis nécessaire. Socialement, elle a régressé progressivement au stade du passe-temps, tant nos sociétés se sont médiatisées et urbanisées. Lire paraît sympathique, divertissant, intéressant. Mais elle a perdu son aspect politique, qui faisait indéniablement partie de son ADN. Loin l’époque où Voltaire affrontait à coup de plumes le fanatisme religieux pour réhabiliter la voix du protestant Calas, accusé sans preuve pour motif religieux. « Abattons l’infâme », telle

très courageux, n'hésitant pas à porter secours à un homme seul attaqué par plusieurs bandits ; en outre, il va jusqu'au bout de ses convictions, et, bien que personnage central d'une comédie véritable, où l'on rit beaucoup, il n'est lui-même jamais comique et fait rire aux dépens des autres.Le mythe de don Juan se répand alors de plus en plus, et des auteurs anglais, allemands, hollandais, espagnols, italiens, reprennent le personnage, tout au long de la fin du XVIIe siècle et au XVIIIe. Puis des musiciens

Misanthrope amoureux, que je trouve d'autant plus admirable, que le héros en est le plaisant sans être trop ridicule, et qu'il fait rire les honnêtes gens sans dire des plaisanteries fades et basses, comme l'on a accoutumé de voir dans les pièces comiques. Celles de cette nature me semblent plus divertissantes, encore que l'on y rie moins haut, et je crois qu'elles divertissent davantage, qu'elles attachent, et qu'elles font continuellement rire dans l'âme. Le Misanthrope, malgré sa folie, si l'on

D’ÉTUDE : LE THEATRE NOTIONS ET REPÈRES CULTURELS Les procédés du comique : * Le comique de situation repose sur des quiproquos , des rencontres inopinées et des coups de théâtre. * Le comique de geste se retrouve dans les coups de bâton , les poursuites , les pantomimes ( imitations par gestes , sans paroles ) * Le comique de mots joue sur les calembours , les sonorités , les niveaux de langue * Le comique de caractère fit rire des ridicule d’un personnage Les formes de

Dimanche arrive sur les planches vêtu d'une chemise, assortie d'une cravate, le tout habillé d'une tunique protégée par une redingote noire. Il porte plusieurs accessoires comme la kippa ou encore une paire de lunettes rondes, ce qui accentue son aspect judaïque. On peut également formuler l'hypothèse que les torches enflammées présentes dans la mise en scène de ce passage symbolisent les futurs fours crématoires, en rappel à la Seconde Guerre mondiale. En plus d'être un anachronisme, puisque cette

Corneille, Le Cid, p. 108 – Hugo, Hernani, p. 115 – Koltès, Roberto Zucco, p. 130 • Objet d’étude : le théâtre dans le théâtre Œuvre intégrale : Corneille, L’Illusion comique ou Anouilh, La Répétition ou l’Amour puni ou Genet, Les Bonnes (Lire une œuvre, p. 155) Groupement de textes extraits du manuel : – Corneille, L’Illusion comique, p. 147 – Marivaux, Le Jeu de l’amour et du hasard, p. 145 – Pirandello, Six Personnages en quête d’auteur, p. 150 – Genet, Les Bonnes, p. 152 • Objet d’étude : les héroïnes

tragédie, a tout de même beaucoup de caractéristiques de la comédie. Il y a tout d'abord le dialogue en langage patois entre Pierrot et Charlotte, puis la course poursuite entre Pierrot et Dom Juan autour de Charlotte, et enfin les déguisements de Sganarelle et Dom Juan. De plus, on peut retenir que la comédie permet d'aborder toutes sortes de sujet sans pour autant être péjorative (le ton reste ironique et humoristique). Ce fait permet de réunir les défauts, les faiblesses, les folies ou les vices

d’œuvres littéraires. Le théâtre est tout d’abord un genre offrant de multiples possibilités dans la découverte d’une œuvre. Dans la pratique, il se lit souvent comme un roman, s’analyse dans le cadre des études. Certains auteurs accentuent cet aspect du genre théâtral, allant même jusqu’à négliger la représentation, comme Musset et son Spectacle dans un fauteuil, pièce destinée seulement à la lecture. Il veut par cela s’adresser à l’imagination du lecteur, encourageant « l’abandon » de soi-même