Sganarelle Et Arlequin

--------------------------------------------- Le personnage de Sganarelle dans Dom Juan : Sganarelle, le valet de Dom Juan est un personnage grotesque voire ridicule mais il sait aussi se montrer rusé dans certains cas. Il est le contraire de son maître et soumis à lui mais est parfois capable de le défier. Il est le représentant du peuple dans la pièce.Il est totalement opposé à Dom Juan, Sganarelle préfère la sécurité, le maître, lui, la liberté. Sganarelle est lâche, son maitre est courageux.http://www.larousse

Juan le serviteur est représenté par Sganarelle et le maître par l’intitulé de la pièce. Sganarelle est le valet de Dom Juan. Néanmoins on ne le voit jamais faire de travail généralement destiné au valet (ménage, corvées). On peut le considéré comme l’homme de confiance de Dom Juan. Il lui doit tout de même l’obéissance. En fait, Dom Juan possède d’autres valets (Ragotin, La Violette et La Ramée) à qui il confie les diverses besognes serviles. Mais Sganarelle a peur de Dom Juan, son maître (par

«Lettres sur les habitants de Paris», dans le Nouveau Mercure. 1719 «Pensées sur différents sujets» (le Nouveau Mercure). «Lettres contenant une aventure» (le Nouveau Mercure). 1720 L’Amour et la Vérité, comédie jouée à la Comédie-Italienne. Arlequin poli par l’amour, comédie (Com.-Ital.). Annibal, tragédie jouée à la Comédie-Française. 1721 Début de la publication du Spectateur français, sur le modèle du Spectator anglais. Le journal paraîtra jusqu’en 1734. 1722 La Surprise de l’amour

spadassin » (scéne 2 ) au lieu de dire un assassin , « à la vonne hure »(scène 2) à la place de la bonne heure . *Le comique de geste qui est constamment souligné par les didascalies : Ce comique vient de l’excès comme dans l’iles des esclaves ou Arlequin " saute de joie ", fait de " grandes révérences à Cléanthis ", " danse ", " rit de toute sa force " Ou encore comme dans l’avare de Molière ou Harpagon nous donne l’impression d’être schizophrène « il se prend lui-même la main » (scène 7) *le comique

« Que diable allait t-il faire dans cette galère ? » (l.49,65,78,94,111,129, 170) lorsque Géronte s’aperçoit qu'il devra débourser une grosse somme. Dans les quatre textes, on observe un comique de situation et un comique de geste. Dans Dom Juan, Sganarelle s'embrouille avec ses idées, il commence à gesticuler et finit par tomber à terre, ce qui le rend ridicule. « Bon ! Voilà ton raisonnement qui a le nez cassé »(l.114). Dans les Fourberies de Scapin, la scène commence pas une course entre Géronte

Molière, Dom Juan l’auteur donne le ton de la relation entre maître et valet. En effet Dom Juan, le maître mène une vie immoral aux yeux de son valet Sganarelle qui ne supporte pas son attitude provocateur, arrogant et orgueilleux. Dans l’extrait étudié on apprend que Don Juan est un libertin, qui aime collectionner des conquêtes d’où son prénom. Sganarelle quand a lui, n’hésite pas à dire à son maître ce qu’il pense de sa conduite. Mais Dom Juan s’amuse de celui-ci qui défend la moral traditionnel.

Don Juan, III, 1 SGANARELLE.- Mais laissons là la médecine, où vous ne croyez point, et parlons des autres choses : car cet habit me donne de l’esprit, et je me sens en humeur de disputer contre vous. Vous savez bien que vous me permettez les disputes, et que vous ne me défendez que les remontrances. DOM JUAN.- Eh bien ?  SGANARELLE.- Je veux savoir un peu vos pensées à fond. Est-il possible que vous ne croyiez point du tout au Ciel ? DOM JUAN.- Laissons cela. SGANARELLE.- C’est-à-dire que

rapports de complicité avec Sganarelle, qu’il provoque par divertissement mais dont il ne peut se passer. S’il représente un modèle pour Sganarelle, qui s’épuise à l’imiter, il cherche souvent l’appui de ses contestations. Evidemment, Sganarelle se fourvoie la plupart du temps quand il fait la morale au libertin, mais il peut aussi triompher quand il détrompe son maître. On observe que dans Dom Juan tout au long des scènes le maitre (Dom Juan) et le valet (Sganarelle) sont les personnages principaux

la rejoindre. Ils conviennent ensemble que ce sera le valet de Valère, Sganarelle. Celui-ci va donc chez Gorgibus, « ausculte » Lucile en buvant son urine (avec un très bon comique de mots) et lui déclare qu'un peu d'air lui ferait du bien. Le père décide donc de l'emmener vivre dans le pavillon de son jardin. Lorsque Sganarelle revient rendre compte à Valère, Gorgibus arrive : Valère parvient à se cacher, mais pas Sganarelle... Le valet raconte qu'il est Narcisse, le jumeau du « fort savant médecin »

sur le théâtre avec Arlequin. Iphicrate Cela est vrai. Iphicrate, après avoir soupiré. Arlequin ! Arlequin Eh ! encore vit-on. Arlequin, avec une bouteille de vin qu'il a à sa ceinture. Mon patron ! Iphicrate Mais je suis en danger de perdre la liberté, et peut-être la vie : Arlequin, cela ne te suffit-il pas pour me plaindre ? Iphicrate Que deviendrons-nous dans cette île ? Arlequin, prenant sa bouteille pour boire. Ah ! je vous plains de tout mon cœur, cela est juste. Arlequin Nous deviendrons maigres