Shivaïsme

Bouddhisme vajrayāna Le vajrayāna est une forme de bouddhisme, nommée aussi bouddhisme tantrique, dont la compréhension nécessite la maîtrise du mahāyāna et du hīnayāna. Il contient des éléments qui l'apparentent à l'hindouisme et particulièrement au shivaïsme cachemirien. Au Tibet, le vajrayāna et le bön, religion locale, se sont influencés réciproquement. Son nom sanskrit signifie « véhicule », yāna, de vajra, c'est-à-dire de « diamant » (indestructible et brillant comme l'ultime réalité), et de « foudre »

religieuses que l'on voit le plus les lettrés et les artistes de cette période officier, faisant des temples et monastères des foyers de création de premier plan. La situation religieuse : cohabitation de croyances, essor du vishnuïsme et du shivaïsme La période Gupta est du point de vue religieux l'héritière des développements antérieurs des religions issues de la tradition indienne ancienne. Trois religions cohabitent : le brahmanisme, l'hindouisme ancien ; le bouddhisme, qui a connu un certain

universel (atman-brahman) et par la foi en un panthéon qui lui est subordonné (Indra, Brahma, Vishnou, Shiva), ainsi que par une organisation sociale spécifique, le système des castes. L'hindouisme est subdivisé en différentes tendances (vishnouisme, shivaïsme, krishnaïsme, tantrisme) et a donné naissance à de nombreuses sectes. brahmanisme nom masculin Système religieux et social de l'Inde, apparu à la suite du védisme et avant l'hindouisme, caractérisé par la division de la société en quatre castes

restreinte, le croyant populaire mélangeant souvent tous ces courants de pensée. Toutefois, trois grands courants théistes de l'hindouisme se démarquent de façon relativement importante dans toutes les couches de la population : le vishnouisme, le shivaïsme et le shaktisme37. À l'intérieur de ces courants, de nombreuses écoles se sont développées, qui se différencient surtout par leur interprétation des rapports existant entre Être suprême, conscience individuelle et monde, ainsi que des conceptions

pouvoirs attachés à des aspects de la féminité. Saraswati est la déesse de la sagesse. Lakhsmi incarne la beauté. Parvati est la puissance d’engendrement immanente de la Nature associée à Shiva le divin en tant que transcendant au monde etc. Dans le shivaïsme, il est expliqué que la nature du principe masculin est caractérisé par les nombres impairs, tandis que le principe féminin est caractérisé par les nombres pairs, c’est pourquoi la féminité est double : humble, soumise et exaltée, esclave et déesse

devient religion d’Etat. 2/ Le démembrement Dès sa mort, l’Empire se démembre et ouvre la voie à de nouveaux envahisseurs et à de nouvelles dynasties qui donnent la prépondérance à l’Hindouisme, au zoroastrisme, au Bouddhisme au Jaïnisme, au Shivaïsme ou au Vishnouisme. 3/ L’Empire Gupta (320-535 ap. JC) Les maharajas de Gupta sont une dynastie qui règne sur d’abord sur le Nord de l’Inde, avant de s’étendre dans le Sud. Le vishnouisme est la religion officielle, mais Chandragupta Ier (puis

Bouddhisme vajrayāna.Le vajrayāna est une forme de bouddhisme, nommée aussi bouddhisme tantrique, dont la compréhension nécessite la maîtrise du mahāyāna et du hīnayāna. Il contient des éléments qui l'apparentent à l'hindouisme et particulièrement au shivaïsme cachemirien. Au Tibet, le vajrayāna et le bön, religion locale, se sont influencés réciproquement. Son nom sanskrit signifie « véhicule », yāna, de vajra, c'est-à-dire de « diamant » (indestructible et brillant comme l'ultime réalité), et de «

contre-notes, p. 309. 11 Ibid., p. 268. " Fin de partie, p. 53. This idea of a little 'plenum' in the middle of the void recalls in an interesting fashion one of the stages in the spiritual life towards the extinction of self as taught by Kashmiri Shivaism. The experience is described as 'Lc vide superieur qui apparatt au moment ou le Je . . . purifie va recouvrer la conscience du Je universel, [et qui] met fin a la servitude, c'est-a-dire aux limites individuelles, et le Soi s'y revile en tout son

puis approfondir la notion de transgression qui implique une remise en question des valeurs sociales et morales. Suivra un commentaire sur l’extase laïc et sur le phénomène de la transe.   À l’hiver 2007, nous entendons approfondir le shivaïsme et la notion d’ascétisme tantrique afin de préparer nos observations en Inde, en mai prochain. Afin de rendre compte efficacement des observations faites sur le terrain, nous allons utiliser les méthodes d’observation élaborées par Georges Lapassade

répandre l’hindouisme dans le monde. ------------------------------------------------- Hindouisme contemporain[modifier] L’ hindouisme moderne est le reflet des changements apparus au xixe siècle. Ces divisions principales sont le Vaishnavismele Shivaïsme, le Shaktisme et le Smartisme. L’hindouisme s’est principalement exporté par le biais de personnalités commeSwami Prabhupada (fondateur de ISKCON), Sri Aurobindo, Meher Baba, Jiddu Krishnamurti, Osho, Maharishi Mahesh Yogi ,Sathya Sai Baba, Mère