Shoah

rafle. Avec son mari et sa fille elle doit emménager dans un appartement du Marais mais Julia apprends que les grands parents de son mari s’y sont installés fin juillet 1942, et elle recherche qui habitait là auparavant. Elle se rend au mémorial de la Shoah et apprend qu’une famille vivait là. Ses recherches vont l’amener sur la trace de Sarah, qui a été emmenée au camp de Beaune la Rolande. La petite fille à pu s’enfuir et a été recueillie par des fermiers, Les Dufaure Sur cette image, on peut voir

concept de répétition marques des œuvres de Steve Reich. Les interviews, enregistrées dans les années 1980, sont composées de ceux de la propre gouvernante de Steve Reich, d'un porteur de bagages de la ligne New York-Los Angeles et de survivants de la shoah. Caractéristiques sonores de l’œuvre (effectif instrumental, caractère, tempo, nuance, forme…) : Un des principes de base de la composition est l'imitation par le quatuor à cordes du mouvement du train (en jouant un motif rythmique extrêmement

terme hébreu de « Shoah » pour désigner le génocide catastrophique dont a été victime ce peuple. Au bilan humain de ce génocide s’ajoute aussi le bilan psychologique. Le sommet de l'horreur a été atteint pendant la Seconde Guerre mondiale. Les nazis ont mis un soin méticuleux à exterminer ceux qu'ils désignaient comme les « sous-hommes ». La révélation à l'opinion publique de ces horreurs lors de l'ouverture des camps a provoqué un profond traumatisme moral. La Shoah marque un tournant

d’ailleurs le solo de violon au cœur du chant, un solo constitué de sonorités slaves traditionnelles. Jean-Jacques Goldman précise dans une interview du 20 novembre 1999 sur TV5 que cette chanson n’était pas spécialement écrite sur le thème de la Shoah. Elle lui a été inspirée en regardant l’album de famille de sa mère où il y a vu le visage d’une petite fille qui l’a particulièrement touché. Lors de la sortie de l’album « Minoritaire », Goldman interprète seul Comme toi. On la retrouvera plus tard

film et ses différentes affiches. I- Le contexte historique Durant la 2ème guerre mondiale, les nazis exercent une politique raciste. A leurs yeux, les juifs sont une race impure et ils décident alors de les exterminer. Ce génocide est appelé « Shoah ». En 1939, l’armée allemande attaque puis occupe la Pologne. Les Nazis obligent les juifs à porter un brassard blanc avec l’étoile de David bleue, puis les rassemblent dans des ghettos. Celui de Varsovie, qui est évoqué dans le film Le Pianiste,

« associales »: les juifs et les tziganes, ces derniers sont victimes discriminations et d'émigrations forcées ou encore de pogroms. Les nazis mettent ainsi en place plusieurs technique afin de les éradiquer, ce qui va mener au génocide juifs, la SHOAH. La ghettoïsation fut une des première étape qui ont menées au génocide. Ceci consiste à regrouper les populations dans des quartiers emmurés et isolés du reste de la ville, appelés ghettos, dans lesquels les conditions de vie sont déplorables, on

millions de Juifs. En 1945, le génocide perpétré contre les Juifs a causé la mort de 6 millions d’hommes, de femmes et d’enfants. Le meurtre de millions de Juifs et d’autres “ non Aryens “ pendant la shoah est le plus grand crime contre l’humanité jamais connu. Il fut rendu possible par un certain nombre de facteurs : □ Un antisémitisme commun à tous les pays chrétiens d’Europe, □ Le contrôle total exercé sur un état moderne par le régime

même ordre pour finir comme ça avait commencé. La chanson est émouvante car Jean Ferrat exprime son émotion personnelle et un timbre de baryton ; Conclusion Même si c'est une chanson populaire, elle a permis à rendre hommage aux victimes de la Shoah (génocide des juifs par les nazis, 2tiers de la pop. Juive européenne totale.) pour qu'elles ne soient jamais oubliées.

gaz mortels. Leurs corps sont brûlés dans des fours crématoires. En 1944, un juriste américain Raphaël Lemkin, crée le mot génocide (l'assassinat d'un peuple) pour désigner ce massacre à grande échelle. Les juifs préfèrent l'appeler la Shoah (la catastrophe). Pour condamner ces actes barbares et ceux qui les ont commis, les juges du Tribunal de Nuremberg créent l'accusation de crime contre l'humanité défini comme l'assassinat, l'extermination, la réduction en esclavage, la déportation

recherche : L'auteure de l'article, Annick Cojean, est une journaliste. Grand reporter au journal « Le Monde » depuis 1993, lauréate du prix Albert-Londres (dont elle préside aujourd'hui le jury) en 1996 pour sa série de reportages « Les mémoires de la Shoah » ; Annick Cojean s'intéresse principalement à la politique mondiale, au centre de la plupart de ses articles de presse, à l'Histoire et aux voyages, sujets phares de plusieurs de ses ouvrages comme Les Hommes aussi s'en souviennent. Une loi pour