Si La Technique Est Libératrice De Quoi Nous Libère Telle

ou s’engager sur cette voie, un nombre important de gouvernements qui revendiquaient la qualification de “fédéraux”. Ce n’est cependant que huit ans plus tard, en 1953, que Max Beloff pouvait affirmer que l’idée fédérale jouissait d’“une popularité telle qu’elle était sans précédent3”. Une raison de ce succès a été la grande prospérité qu’ont connu dans l’après-guerre les fédérations les plus anciennes telles que les États-Unis, la Suisse, le Canada et l’Australie. Le succès de l’idée fédérale après

d'Alain Bentolila - Actes V L'école du Sujet Alain TOURAINE, Sociologue Introduction Peut-on encore proposer une conception de l'école ? Ou faut-il se contenter de chercher des remèdes à l'échec scolaire et donc à l'inégalité des chances, comme si l'école n'était qu'un lieu de passage, commandé en amont par les inégalités sociales qu'elle transmet et en aval par l'état du marché du travail dans lequel entreront ses élèves ? L'école n'est-elle qu'une boîte noire ? Et faut-il se contenter de modifier

..................................... 259 > Tout événement est-il historique ? ................................................................................................... 291 > La technique n’est-elle que l’application de la science ? > Les progrès scientifique et technique dépendent-ils seulement de l’expérience ? ........................................ 299 .........................................................................................................

2011 I. Introduction « L’argent est le plus significatif des phénomènes de notre temps dans la mesure où sa dynamique a envahi le sens de toute théorie et de toute pratique » Georg Simmel L’omniprésence du thème de l’argent dans l’actualité est telle que l’intérêt et l’urgence d’étudier la signification et les enjeux de ce « fait social total » n’est pas à démontrer. La première tâche qui s’impose est celle d’examiner les divers sens et fonctions de ce que la langue française désigne sous ce vocable

A quoi bon penser ? 1. Les réflexions présentées sur ces pages sont issues d’une question, aussi simple que naïve, qui s’est imposée à mon esprit au fur et à mesure de lectures aléatoires d’ouvrages qu’il convient de qualifier de « philosophiques », à la suite d’études dites approfondies, réalisées tardivement et se rapportant plus précisément à des questions de logique et de communication. Les hasards de l’existence, provoqués parfois par des volontés insoupçonnées, autant des intentions personnelles

en plus souvent à nos oreilles, le temps d’un article, d’un livre, du récit d’un ami qui médite. Cela dit, soyons honnêtes : la méditation reste une drôle de pratique, vue de loin, ici (en France) et aujourd’hui (au XXIe siècle). Méditer ? Pour quoi ? Comment ? Ce livre tente de répondre à ces questions, pour accompagner une démarche de méditant(e). La vôtre, la nôtre. Méditer, ici et aujourd’hui. Précisément. À l’époque de la technologie wi-fi, de l’information continue, de l’interactif et

.................................................................................. 4 I. Introduction................................................................................................................... 4 II. Annoncer, informer pour quoi faire ? (1) ......................................................................... 4 III. Retentissement de l’annonce .................................................................................... 5 III.1. Un effet traumatique........

élèves en état de croissance. C’est une gym d’autant plus indispensable que ce multiplient dans notre société les malingres et les déficients. Ils ajoutent que « cette gym est une technique de base, la partie noble et fondamentale du savoir d’un prof d’EPS ». Auj, tournée sur la didactique. Les bases de la technique : * Connaissances anatomiques précises * Connaissances précises de la physiologie musculaire * Connaissances de la morphostatique idéale Points fondamentaux de son

verrons, leur influence sur la présidence. D’une part, comme dit précédemment, la lutte pour l’indépendance conditionne la méfiance à l’encontre du pouvoir central, en même temps qu’une répulsion pour la colonisation dont ils ont eux-mêmes du se libérer. Par ailleurs, ils éprouvent un grand attachement aux libertés individuelles, qui ne sauraient être entravées par un pouvoir trop fort. Par ailleurs, la «Frontière » et la « conquête de l’Ouest » restent dans la conscience américaine : dans ce pays

2. L’œuvre de Colette, entre autobiographie et roman, une autofiction ? 60 • Entre genre romanesque et nouvelles à caractère autobiographique 60 • Pacte autobiographique ou pacte d’intimité ? 62 • L’espace identitaire de l’auteur 64 3. Libérer son inconscient, se rassembler en s’éparpillant 67 • Personnages aux identités défaillantes 67 • Désir de Colette 69 • La quête identitaire d’une vagabonde… 71 Conclusion 76 Bibliographie 78 Introduction « Le soleil descend et étire sur