Sifflement

devient une matière agréable au toucher mais aussi à la vue (plaisir visuel) → « bête » Vision animiste qui révèle le côté vivant de la mer. Mais aussi son côté dur, indomptable.             Lignes 10 à 15 : Allitération en « s » qui rappelle le sifflement.             Le verbe « apparut » (l12) montre que la redécouverte de la mer est soudaine (idée de surprise).             Ligne 16 : « respiration calme de la mer »: Métaphore pour exprimer les vagues et rappel son côté vivant. « calme » : vide

affirme-t-elle ligne 8. "Je suis stupide", ajoute-t-elle plus loin (ligne 13). Elle n'est guère aidée par le manque de contrôle évident de sa force : "ce pauvre monstre voulut Copyright © Lycées de Fécamp Page 2/4 La belle et la bête soupirer, et il fit un sifflement si épouvantable que tout le palais en retentit" (lignes 21 et 22). Il s'agit là d'une nouvelle hyperbole, et - bien entendu - d'une nouvelle preuve de monstruosité. Quels éléments sauvent donc l'humanité du personnage ? L'humanité Trois choses

suite les yeux et on écoute. Alors, on entend une chose sourde qui roule comme une source de tombereau et c'est le bruit du rayon qui a frappé sur la terre, ou bien une esclapade d'eau, et c'est qu'il est tombé dans quelque mer, ou bien alors un sifflement long, long, long, et qui s'éloigne, et c'est que le rayon a frappé en plein ciel. Là, alors d'habitude, ça a fait un trou et on peut s'attendre à du vent dans l'après-midi. Donc, c'est pour te dire la force de ce premier rayon.
 Ce premier rayon

grâce aux ondes comme avec des rayons X. Parler : Pour parler les dauphins utilisent des ultrasons. Lorsque l’on écoute un dauphin, on entend toutes sortes de cliquetis, claquements, piaulement, couinements, grincements, crissements, sifflements et gémissements. Mais la plupart des sons nous échappent : ce sont des ultrasons que notre oreille ne peut pas percevoir. De plus les dauphins parlent beaucoup par gestes. Si les dauphins se parlent, c’est qu’ils sont intelligents

spasme des muscles bronchiques, ce qui entraine une difficulté à inspirer et à expirer l’air des poumons qui apporte au sang l’oxygène qui nous est vital. Cette obstruction est responsable des crises, qui se manifestent par une gêne respiratoire, de sifflements lors de l’expiration, une toux irritante… Elles peuvent être déclenchées par différents facteurs comme l’effort, l’humidité, la poussière, la fumée de cigarette, les pollens… Environ 235 millions de personnes en souffrent actuellement. C’est la

oreille et joue au-dessus de la bouche et du nez de la victime, regard tourné vers son abdomen, et rechercher des signes de respiration: avec la joue, la présence d’un souffle - avec l’oreille, celle de bruits normaux ou anormaux de la respiration (sifflement, ronflement, gargouillement) avec les yeux, le soulèvement du ventre et/ou de la poitrine, pendant 10 s maximum • si pas de respiration module 6METTRE LA VICTIME EN POSITION LATÉRALE DE SÉCURITÉ (PLS)• retirer les lunettes de la victime si elle

le réalisme. "Crachat rouge" évoque le sang, opposition entre le ciel bleu…, l'or, le vert. Le canon crache du feu en 1870. Le mal a la couleur du feu, du sang, et de la haine. Nous avons un enjambement entre le vers 1 et 2 qui met en valeur le sifflement. Pour évoquer la vision et l'ouïe avec des sensations visuelles et auditives. Trajectoire du crachat du canon. Le rouge du vers 1 est repris par écarlate v.3, c'est plus pathétique. Sonorités dures : Allitération en - "r", "crachat, raille,

avec son air froid. Soudain, le stress monta, lorsque «  Mademoiselle Justine Depierre » résonna dans la salle. Justine s’avança sur la scène, prit son souffle et se laissa guider par le son de la musique. Il y eu une vague d’applaudissement et de sifflement. Ensuite, c’était au tour de Mathilde. A la fin du concours, le président pris la parole «  Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs ». Tout le public se leva. « Toutes les présentations d’aujourd’hui étaient magnifiques et du talent se cache en chacune

la réaction du lecteur pour défendre la cause de ces enfants. Ainsi, l'apostrophe « Ô servitude infâme imposée à l'enfant ! » dénonce l'exploitation des enfants. Victor Hugo accuse : « Rachitisme ! » et l'allitération en « f » fait penser au sifflement des machines qui prend la vie des enfants alors que c'est Dieu qui les a créés : « travail dont le souffle étouffant / Défait ce qu'a fait Dieu » (vers 18). Nous pouvons lire l'attachement de l'auteur pour des enfants par le vocabulaire qu'il utilise :

oublier non plus que le rire d’Arlequin confère à cette comédie de la revanche sociale un caractère très visuel, une partie essentielle de la mise en spectacle repose sur les pitreries et le contentement comique du « petit homme » : son rire, ses sifflement, la chanson provocatrice qu’il chante, voire ses acrobaties impriment un rythme joyeux à la scène (et à la pièce) et lui communiquent une fantaisie permanente. Son vêtement, tunique bariolée de losanges rouges, jeunes et verts, qui a popularisé