Signifiant

du formulaire Zone de recherche Saisir un mot clef[pic] [pic] Bas du formulaire [pic][pic][pic] SÉMIOLOGIE Page précédente [pic]Page suivante 3.  Les travaux contemporains •  La typologie des systèmes signifiants C'est dans cette perspective d'étude concrète des systèmes signifiants opérant dans le champ social, étude permise par les analogies existant entre ces systèmes et le système du langage mais s'éloignant de la linguistique pour chercher les règles propres aux systèmes de signes concrètement

peut toujours esquisser ses formes rhétoriques. Il faut entendre ici par rhétorique un ensemble de figures fixes, réglées, insistantes, dans lesquelles viennent se ranger les formes variées du signifiant mythique. Ces figures sont trasparentes, en ceci qu'elles ne troublent pas la plasticité du signifiant ; mais elles sont déjà suffisamment conceptualisées pour s'adapter à une représentation historique du monde (tout comme la rhétorique classique peut rendre compte d'une représentation de type aristotélicien)

place par un locuteur pour s’adresser à (minimum) un récepteur. C. Signe/signifiant/signifié : La langue est un système de signes Chez Saussure, le signe linguistique est une entité psychique qui unit non une chose et un nom, mais un concept et une image acoustique. - signifié : Il s’agit du concept, une représentation mentale d’une chose. - signifiant : L’image acoustique d’un mot. L’importance du signifiant réside dans la différence phonique qui le distingue des autres signes.

négative. Celle-ci témoigne d'un sentiment de culpabilité inconscient qui, ne voulant renoncer à la maladie, s'oppose à la guérison. L'oxymore "sentiment de culpabilité inconscient" posant quelque problème, Freud lui préféra le terme de Strafbedarf, signifiant mot à mot "besoin de contravention" mais traduit par "besoin de punition". La souffrance névrotique est donc précieuse pour la tendance masochiste. La culpabilité relève d'une tension entre le moi et le surmoi. Le moi, par l'angoisse, réagit

unités que livre la première articulation, avec leur signifié et leur signifiant, sont des signes, et des signes minima puisque chacun d’entre eux ne saurait être analysé en une succession de signes. Il n’existe pas de terme universellement admis pour désigner ces unités. Nous emploierons ici celui de monème. Comme tout signe, le monème est une unité à deux faces, une face signifiée, son sens ou sa valeur, et une face signifiante qui la manifeste sous sa forme phonique et qui est composée d’unités

acoustique signifiant. Le signifiant est l’empreinte psychique du son : c’est ce que l’on va entendre. Il relève donc de la sensibilité. Le signifié, lui, est ce que l’on va penser, l’intelligible. Le signifiant et le signifié sont unis : dans le signe, nous ne pouvons pas séparer ces deux derniers. Par exemple, lorsque nous entendons «amour», nous pensons au concept d’amour. De plus, nous pouvons aussi sentir cette union avec des signes ayant une charge affective. Quand quelqu’un dit le signifiant « je

partie d’un jargon technique par une personne s’adressant à quelqu’un qui ne connaît pas ce vocabulaire. Tout signe est décomposé en signifiant (c’est l’expression du signe) et en signifié (c’est le contenu du signe). Un même signifiant peut avoir plusieurs sens et il peut donc lui correspondre plusieurs signifiés. La prise de conscience de la différence entre signifiant et signifié permet de percevoir les lectures multiples pouvant être faite d’un même message (signe). 2.1 DEFINITION DE

psychique à deux faces» qui «unit un concept et une image acoustique». Le signe se décompose en signifiant, la partie perceptible du signe (par exemple, les lettres v-a-i-s-s-e-a-u) et signifié, la partie intelligible du signe. 2 M. Joly, Introduction à l'analyse de l'image, Editions Nathan, Paris, 1993, p.25. Le signifiant et le signifié sont indissociables : ils ne peuvent pas être séparés. Le signifiant est une association de lettres formant des sons. C’est, en quelque sorte, le contenant. Le

Très | | Banal | | | | | | | | Original | Chaud | | | | | | | | Froid | Ordonné | | | | | | | | Désordonné | Masculin | | | | | | | | Féminin | Plaisant | | | | | | | | Déplaisant | Signifiant | | | | | | | | Non Signifiant | Décontracté | | | | | | | | Tendu | Beau | | | | | | | | Laid | Plein | | | | | | | | Vide | Réaliste | | | | | | | | Abstrait | Erotique | | | | | | | | Austère | Vieux | | |

rapport à la folie : la folie est la compagne de l’homme, elle est son ombre. Mais évidemment par ces affirmations, selon Lacan l’être parlant est fou, tout homme est fou. Il le dit aussi dans d’autres termes : tout homme est aliéné dans les signifiants dans lesquels il s’identifie. L’identification, donc, est la cause de la folie humaine. Thèse que Lacan développe dans son texte sur la causalité psychique. Je me permets ici d’ouvrir une petite parenthèse. Une