Signification Antigone Sophocle Sens

Chapitre 1 : Les fondements : conceptions et concepts. Section 1 : La notion de théocratie Théocratie est un mot d’emploi assez courant. Le terme est d’origine grec, theos signifie D. et cratos signifie pouvoir. Théocratie a donc pour signification le pouvoir, la souveraineté de D. Selon un système polythéiste ou monothéiste. Ce sont eux qui sont à l’origine de cet ordre juridique et politique. Ici-bas nous ne sommes que des exécutants, des sujets et les vrais rois, ce sont les D. L’ordre

aspect indissociables et indispensables du Droit qui serait à la fois ce qui est « fort » et « juste ». On retrouve cette notion dans les symbols du Droit : Le Glaive et la Balance, que signifient ces symbols ? Chapitre I : Le Sens des Symboles et des Mots Section I : Le Sens des Symboles Le Droit est habituellement représenté par une femme tenant un glaive et une balance. On ne parle pas du glaive sans balance et inversement.. Pourquoi ? A – Le Glaive : Symbol de la Force Le Glaive à double

____________________________________________________________ _____________________ “La Thébaïde ou les frères ennemis” (1664) Tragédie Les deux fils d'Oedipe, Étéocle et Polynice, se combattent jusqu'à la mort. Commentaire La pièce fut inspirée de l'”Antigone” de Rotrou (1637). ____________________________________________________________ _____________________ “Alexandre le grand” (1665) Tragédie Commentaire Cette deuxième pièce donna de la notoriété à Racine. ____________________________________________________________

Introduction au droit privé Matière a Td (plan du cours sur espace numérique) Qu'est- ce que le droit? Le droit à de nombreux sens: --> Matière d'étude --> série d'articles, codes, formules, articles de loi --> Constructions intellectuelles --> relève aussi de la vie, de l'action (achat d'un livre, code de la route...) "Le droit est complexe, car la vie est complexe" Dès lors que plus pers ne se côtoient il faut des règles qui organisent la société, guident la conduite des

seul n’est pas dans une relation sociale donc il n’a pas besoin de normes juridiques (Robinson Cruosée). Dès lors que l’individu est en interaction avec d’autres individus, le droit est nécessaire pour régir leurs relations. Il instaure un ordre au sens d’ordonnancement, il organise la société. La vie en société est organisée par les règles de droit. La norme juridique est le produit de la vie en société, elle est issue des valeurs qui sont portées par le groupe social (le respect de la parole donnée

historique dont le scénario a été écrit par les autres. Les rituels du progrès aussi bien que le langage de la crise qui sont les siens, dans la modernité qui m’écartèle, me demeurent largement étrangers. Et cependant, bizarrement, mystérieusement, je me sens impliqué, profondément lié aux destins de ce drame moderne, pressentant qu’en cette dernière décennie du XXe siècle le sort de ma culture est indissolublement lié au rôle que se donnera la civilisation occidentale à l’avenir. Mais ce n’est pas tout

le sens éprouver des émotions mais aussi se mettre à l'épreuve. L'objet du cours et de comprendre ce qui émane de la psychanalyse et qui tente d'aborder une conception de sens de ce que nous sommes. Qu'est-ce que le psychisme? La réalité psychique? C'est ce qui permet à chacun de donner du sens aux rapports cité ci-dessus. C'est aussi ce qui caractérise le fonctionnement de l'humain par rapport aux autres espèces. Le psychisme donne sens, produit du sens. Le mot sens a ici deux significations. Sens:

thème de la « mère infanticide », par exemple, on s’attache à présent au « mythe de Médée », en cherchant 1 A. Eissen, Les Mythes grecs, p. 5. 9 comment la structure du mythe antique est reprise, transposée, métamorphosée, investie d’un sens nouveau par les écrivains modernes. Il s’agit non plus seulement de thèmes, mais bien de structures, de relations entre les personnages, de jeux d’oppositions, de fonctionnement du récit. Les études littéraires, en cela, ont été très influencées par

est un mot flou. L’œuvre qui finit bien serait d’abord celle qui s’achève entièrement, qui est « bien terminée ». A opposer donc aux œuvres inachevée, comme Le Château. Dans son sens de « happy end », la notion appelle aussi à une subjectivité du lecteur, seul à même décider ce qu’est une « œuvre qui finit bien ». En ce sens, n’y a-t-il pas des topoï de l’œuvre qui finit bien, comme il y a des topoï de l’œuvre qui finit mal, notamment pour l’aventure amoureuse (Roméo et Juliette, Tristan et Iseult)

en art », in Mélanges de phihophie relativiste, pp. 96- 109. « Eros, Platonic and Modern », in D. Levine ( ed ), Georg Simmel, on Individuality and Social Forms, Chicago, University of Chicago Press, 1971, pp. 235-248« Essai sur la socioIogie des sens », in Sociologie et épistémologie, pp. 223-238. « Esthétique et sociologie P, in La tragédie de la culture et autres essais, pp. 129-138. « Florence », in Rome, Florence, Venise, pp. 3 1-38. « La crise de la culture », in Philosophie de la modernité