Simone Gbagbo

Lettre genevoise 23 Oligarques de tous les pays… Mikhaïl Khodokorvski et Allassane Ouatara ont les faveurs des médias et de la « communauté internationale ». Symétriquement, Vladinir Poutine et Laurent Gbagbo sont voués aux gémonies. Les sourires charmeurs de Mikhaïl et d’ADA (diminutif d’Alassane Dramane Ouattara) dissimilent leurs rôles dans des enjeux qui les dépassent. Ils appartiennent à cette élite mondialisée décrite par Zygmunt Bauman, qui mériterait plus rigoureusement l’appellation

pas la première fois que la Cote d'Ivoire connait une politique aussi mouvementée. Ce fut déjà le cas en 1995 mais aussi en 2000. Laurent Gbagbo avait remporté les élections présidentielles contre le général Guéi Robert, mais le pouvoir change les résultats en faveur du militaire. Le peuple descend dans la rue afin de contester ces frauderies et Laurent Gbagbo est reconnu président. Avant modèle de stabilité en Afrique de l'Ouest, la Côte d'Ivoire connait une forte crise depuis le coup d'État de

un pouvoir « autocratique » * Communiqué de presse SOS journalistes ou reporters en danger ! * Carnet de Bord Étonnants voyageurs 1 Dongala et Bassila s'en vont au lycéeAnne Bocandé 8e jour à la Haye: Voici le discours intégral de Laurent Gbagbo à la CPI et aux africains Publié le samedi 2 mars 2013 02:24 Écrit par Saïdou Nour Bokoum Madame la Présidente, Madame, Messieurs les juges  J'ai suivi ces débats, J'ai entendu beaucoup de choses.  Certaines fois je me suis retrouvé en Côte

DEFENSE DU PRESIDENT LAURENT GBAGBO CONTESTE LA LEGITIMITE DE LA CPI »: LES ECLAIRAGES DU Pr ALAIN CAPPEAU « La défense de Gbagbo conteste la légitimité de la CPI »: Les éclairages d’Alain Cappeau Conseiller Spécial du Président Laurent Gbagbo Alain CAPPEAU, Conseiller Spécial du Président Laurent Gbagbo – Procès Laurent Gbagbo : sur l’abandon des charges et la non compétence de la CPI ! Comme suite à l’audience que j’ai eue le 14 avril 2012 avec le Président L...aurent GBAGBO, je vous communique ci

Le coup d’Etat du 24 décembre 1999, intervenu dans une crise identitaire profonde relative au concept d’ « ivoirité » n’a malheureusement pas favorisé la stabilité de la Côte d’Ivoire. L’élection présidentielle de 2000 a été remportée par Laurent GBAGBO (Front Populaire Ivoirien – FPI) avec 59,36 % des suffrages exprimés contre 32,72 % pour son adversaire le Général Robert NGUEI (Union pour la Démocratie et la Paix en Côte d’Ivoire – UDPCI). Il faut noter que ces les deux poids lourds de la politique

Lyon Plus, qui met l’accent sur les tensions dues à l’attente des résultats, le journal 20 minutes insiste sur l’accusation de manipulation des scrutins du président sortant Laurent Gbagbo sur son rival Alassane Ouattara. Effectivement, une phrase tient lieu de premier titre : « Le président sortant, Laurent Gbagbo, accuse son rival d’avoir truqué le scrutin » et le titre principal est plus court afin d’être plus marquant : « ABIDJAN ATTEND ENCORE SON PRESIDENT ». L’article détaille précisément

l'opinion : tout n'est peut-être pas aussi simple qu'on l'a cru dans cette affaire. Jusqu'alors, nous pensions tous la même chose : vaincu par les urnes, désavoué par une majorité d'électeurs, condamné par la communauté internationale unanime, Laurent Gbagbo s'accrochait coupablement au pouvoir, au risque de provoquer un carnage dans le pays. Tout cela relevait, en somme, d'une figure classique : celle du satrape exotique prêt, faute de mieux, à lancer ses « escadrons de la mort » à la trousse des opposants

comme en a, par exemple, le Cap-Vert. Pour les Ivoiriens, un droit public externe excellent vaut moins qu’un droit public interne défectueux. Evidemment, ces contradictions expliquent sans les justifier les changements de position du président Laurent Gbagbo (lire Poker menteur en Côte d’Ivoire). L’incurie des élites africaines achève par ailleurs de réduire à néant les souverainetés. Un délégué au Dialogue national centrafricain, organisé après le putsch du printemps 2003, a pu faire le raisonnement

turbulence aux plans social et politique. Ces problèmes connaissent une exacerbation à la mort de Félix Houphouët-Boigny en 1993. L’adoption d’une nouvelle Constitution4 et l’organisation de l’élection présidentielle qui, en 2000, porte au pouvoir Laurent Gbagbo, n’apaisent pas les tensions sociales et politiques, qui conduisent au déclenchement d’une crise politico-militaire le 19 septembre 2002. Après plusieurs accords de paix, le pays s’engage le 4 mars 2007, dans un nouveau processus de sortie de crise

façon la plus inélégante qui soit. Allant jusqu’à l’affronter par albums interposés. Ernesto Djédjé, Martino Zog, Martial Droubli en font partie. Conscient de la fragilité des ressources financières de l’artiste, Amédée Pierre épaulé par Laurent Gbagbo et avec comme secrétaire, Aicha Koné, se battront pour créer le Bureau ivoirien du droit d’auteur (Burida), un organe de défense et protection des intérêts amplement menacés des artistes. Mais le conflit avec sa progéniture artistique aura tué la