Simple Soldat Lacheté

démonstration simple des mecanismes qui permettent d'aboutir à l'installation d'une dictature politique. Le message passé est alors efficace. Enfin , il généralise son propos en effet il ne cite aucun lieux , aucune dates. En conséquent la réflexion s'étend à tous les régimes totalitaires , tous son concernés ce qui permet de plus marquer le lecteur. Problématique: La problématique soulevée par cette oeuvre est : Sait-on assez où risquent de nous mener collectivement les petites lâchetés de chacun

sur ses propres troupes pour les forcer à attaquer. Devant cet échec, le général Mureau décide alors de faire passer le régiment en conseil de guerre pour « lâcheté ». Le colonel Dax demande alors l'autorisation de défendre les trois hommes qui seront désignés. Malgré sa défense, il ne parvient pas à faire fléchir les juges : les soldats seront fusillés. Fiche technique : Le film est projeté à Munich le 18 septembre 1957. Il est perçu comme une critique directe de l'armée

2. La déshumanisation des hommes de guerre - soldats déshumanisés, réduits à la bestialité * hommes comparés à des bêtes ou à de la "chair à canon" : §2 "troupeaux, viande humaine, brutes, plaines de chair pilée, crever" * abrutissement des conditions de guerre "coucher dans la fange, vivre comme des brutes dans un hébètement continu" - dualité des hommes de guerre : à la fois victimes (soldats "chair à canon") et coupables des atrocités : * simples exécutants qui agissent mécaniquement aux ordres

FICHE DE PRESENTATION AUTEUR MORPURGO, Michael TITRE Soldat Peaceful EDITEUR, ANNEE Gallimard jeunesse, 2004 COLLECTION RESUME De 10h05 à 5h59, Tommo, le narrateur (engagé volontaire anglais de 15 ans lors de la 1ère Guerre mondiale), rédige un journal désespéré qui se terminera avec l'exécution de son frère Charlie pour désobéissance aux ordres. Au fil des heures de cette nuit blanche, Tommo évoque tantôt le présent avec l'horreur des tranchées éclairée par ses relations avec Charlie, tantôt

Voltaire. *Voltaire a un regard ironique sur la religion → « Les deux rois faisaient chanter des Te Deum » Les Te Deum étant des chants religieux, Voltaire critique la religion qui reste indifférente aux morts et au massacre, elle « bénit » même les soldats pour aller mourir. Mais Voltaire ne pose pas uniquement un regard ironique sur l’armée. En effet, il porte aussi un regard crue et authentique sur la guerre. II. Un regard crue et authentique sur la guerre A) Description des horreurs de la guerre

et cherchent à séduire, chacun à leur tour, Emélia, la femme de Brodeck. O font croire que ce sont eux qui ont rédigé le rapport de Brodeck. 12-Sur le monument aux morts figure une anomalie : O le nom d’un soldat de la précédente guerre O un nom de femme parmi ceux des soldats morts pendant la guerre, parce qu’elle était résistante. O le nom d'un villageois qui n'est pas encore mort, Brodeck 13- Diodème, l’instituteur ami de Brodeck : O est envoyé au camp en même temps que Brodeck

témoignage vécu fait l'objet de notre première étude. Il présente divers avantages, comme celui d'une proximité avec le témoin . En effet quand le témoignant relate ce qu'il a vécu au cours de ses années de guerre, il ne raconte pas seulement de simples faits mais il y a dans ses paroles une grande part de son ressenti personnel, ce qui permet au lecteur de se rapprocher du témoin car le témoin partage ses sentiments et les lui transmet . Il en ressortira de nombreuses émotions chez le lecteur, qui

de la nouvelle, elle est nommée par son surnom « Boule de Suif » qui fait : allusion à son physique rond et gras : « suif » signifie graisse. Il faut attendre plusieurs pages : (p.23) avant d’apprendre son vrai nom qui est Elisabeth Rousset. Ce simple détail indique : qu’elle n’a pas sa place parmi la société « honnête » car le nom est une marque de respect. Le : sien n’est prononcé que trois fois au cours de l’histoire, et en plus dans un contexte : déshonorant, puisque c’est lorsqu’on lui

[…], et se saisit […]. Il sortit ainsi […], mit son froc en écharpe, […], il frappa ainsi brusquement […]. […] Il chargea donc si rudement sur eux sans crier gare qu’il les renversa […]. » · Série de verbes d’action au passé simple = actions subites et de premier plan · + dans diverses énumérations · effet de rapidité des actions · Gradation au fil du passage = préparatifs du chevalier : ·

structure du texte. La Mort et le Bûcheron de Jean de La Fontaine, est un apologue sous forme de fable. Elle met en scène un Bûcheron et la Mort personnifié, qui au fil d’une histoire nous amène a une morale. Ce texte a une structure narrative simple avec une situation initial (Vers 1-6), un élément perturbateur (L’introspection du bûcheron Vers 7-12), les péripéties (la rencontre avec la mort Vers 13-16) et enfin la conclusion qui dans le cas de cette fable est la moral (Vers 17-20). 2.