Simple Soldat Lacheté

plus lâche, le plus efféminé de la nation, qui n’a jamais flairé la poudre des batailles ni guère foulé le sable des tournois, qui n’est pas seulement inapte à commander aux hommes, mais encore à satisfaire la moindre femmelette. Nommerons-nous cela lâcheté ? Appellerons-nous vils et couards ces hommes soumis ? Si deux, si trois, si quatre cèdent à un seul, c’est étrange, mais toutefois possible ; on pourrait peut-être dire avec raison : c’est faute de coeur. Mais si cent, si mille souffrent l’oppression

que les deux armées. » L’accumulation des qualités, renforcée par le recours à l’intensif « si », met en avant cet éloge. Les qualités de ces armées sont ainsi avant tout esthétiques. L’aspect « brillant » des armées évoquerait presque une armée de soldats de plombs, idée confirmée par le fait qu’ils soient « renvers[és] » par les canons en grand nombre un peu plus loin. La réalité de la guerre est ainsi écartée. C’est à la place un véritable spectacle pour les yeux de Candide, mais aussi pour ses oreilles :

Barblin. Barblin, 19 ans, est la fille du professeur et est fiancée à Andri. Elle ne le sait pas au départ mais elle est en réalité la sœur d’Andri. Il semblerait qu’elle ait eue une relation intime avec le soldat. Le professeur est le père de Barblin et d’Andri. Il est alcoolique. Le soldat fait des avances à Barblin jusqu’à parvenir à son but. Il n’aime pas du tout les juifs. Le menuisier n’aime pas non plus les juifs. Il comptait prendre Andri comme apprenti mais finira par refuser. Le révérend

De la constance L’auteur s’interroge sur la lâcheté. Il relate plusieurs histoires de lâches qui ont été punis. Les punitions qui semblent les plus efficaces sont les situations de honte. Il prétend que ce caractère peut cacher à la fois une peur, une défaillance de l’Homme et une ruse d’évitement. Il discute alors des limites de la défaillance et de la ruse. Il évoque une punition plus forte pour les malins qui se cache derrière une fausse lâcheté. CHAPITRE XVI Un trait de quelques Ambassadeurs

expression populaire, dénuée de philosophie. - Sa famille est une charge, il ne peut la nourrir convenablement => cela fait partie de son malheur (à la différence d'autres personnes qui voient la famille comme quelquechose d'agréable), de même que les soldats qui dorment chez lui car il ne peut pas payer ses impôts. - Les 4 mots du v.10 portent un accent qui représente autant de coups assénés sur le pauvre homme. - Vers en octosyllabe (4/4) => point culminant de ses malheurs : le créancier et la corvée

maison et sa nouvelle vie. La comparaison est faite avec les Tuileries qui est la résidence impériale de Napoléon 1er puis de Napoléon III. Cette comparaison est ironique et se moque des rêves de grandeur de Félicité qui voit des Tuileries dans une simple maison d’une petite ville de Province. Elle considère le triomphe criminel de leurs manigances comme un sacre impérial.Malgré la bonne ambiance du dîner où tous les convives semblent s’amuser et discuter avec verve, « le bruit des voix devenait assourdissant »

punition de la couardise L’auteur s’interroge sur la lâcheté. Il relate plusieurs histoires de lâches qui ont été punis. Les punitions qui semblent les plus efficaces sont les situations de honte. Il prétend que ce caractère peut cacher à la fois une peur, une défaillance de l’Homme et une ruse d’évitement. Il discute alors des limites de la défaillance et de la ruse. Il évoque une punition plus forte pour les malins qui se cachent derrière une fausse lâcheté. 1.16) Chapitre XVI : Un trait de quelques Ambassadeurs

le samurai est-il différent du soldat d'aujourd'hui" En premier lieu, je donnerai la définition du samurai. ensuite, je parlerai de l'éducation du jeune samurai puis des armes, du bushido, de l'armure, du casque du samurai et du seppuku et je terminerai avec la bibliographie. Et pour répondre à ma problématique le samurai est différent du soldat sur le coté spirituelle cette a dire que le samurai suit un code "le code du bushido" ce code différencie le soldat de base en même temps l'armure

confèrent un honneur dans la Cité et les distinguent des autres citoyens. Être citoyen c’est donc pourvoir prendre des décisions et assurer le fonctionnement de la cité. Paragraphe 2 : Des conditions de base d’acquisition Devenir citoyen n’est pas simple. C’est le résultat d’un parcours dont les conditions de départ sont très rigoureuses. D’abord, seuls les hommes peuvent devenir citoyens, les femmes en sont exclues. Ensuite, le père doit être lui-même citoyen et la mère femme et fille de citoyens

charogne » est considérée comme une « bonne nouvelle ». La profession de foi de lâcheté de Bardamu qui, en compagnie de Robinson, cherche à se faire faire prisonnier ; de plus, loin de démentir les reproches de Lola : « Vous êtes donc tout à fait lâche, Ferdinand ! Vous êtes répugnant comme un rat... », il les confirme : « oui, tout à fait lâche, Lola, je refuse la guerre et tout ce qu'il y a dedans ». Les soldats « sont morts pour rien ». « La guerre, c'est la mort et une mort inutile » : idée