Sinopec

celui des puissances émergentes comme la Chine, le Brésil, l’Inde et l’Afrique du Sud, auxquelles une myriade de multinationales a emboîté le pas. Depuis 2002, la China National Petroleum Corporation (CNPC) et la China Petrochemical Corporation (SINOPEC) sont implantées au Gabon, au Nigeria, en Angola et en Guinée équatoriale, et la compagnie brésilienne PETROBRAS est présente en Angola, au Nigeria, au Bénin et au Gabon39. En une décennie, le golfe de Guinée est ainsi devenu le lieu d’investissements

Ghana National Petroleum Corp (GNPC) viennent de soumettre une offre de 5 milliards de dollars sur les actifs ghanéens du pétrolier texan Kosmos Energy, a déclaré vendredi une source proche du dossier à l’agence Reuters. CNOOC et ses concurrents Sinopec et PetroChina sont tous en quête d’actifs énergétiques de par le monde pour alimenter la rapide croissance de l’économie chinoise. Cela fait plus d’un an que Kosmos, appuyé par les fonds de capital investissement Blackstone Group et Warburg Pincus

ouvertures de capital. En mars 2009, sept d'entre elles figuraient parmi les vingt premières du monde. Il s'agit des les banques ICBC, CCB et BoC évoquées précédemment, de l'opérateur téléphonique China Mobile ainsi des groupes pétroliers Petrochina et Sinopec[51]. La Chine dans le PIB mondial | Pays |  % PIB mondial | | 2005 | 2006 | 2007 |  Union européenne | 30,30 | 29,89 | 30,82 |  États-Unis | 28,06 | 27,16 | 25,41 |  Japon | 10,15 | 9,01 | 8,05 |  Chine | 5,02 | 5,46 | 6,04 | source:

exploitation (gazoducs par exemple). En 2013, seulement 60 puits étaient implantés. ​ Deux appels d'offres ont été lancés : le premier, lancé en 2011, a donné lieu à des licences d'exploitation pour les trois compagnies pétrolières nationales, CNPC, Sinopec et CNOOC tandis que le second, achevé en janvier 2013, était octroyé ​ à des entreprises chinoises de moindre ampleur​ . Ainsi, les Chinois tendent à rattraper leur retard sur les Américains, et entendent bien exploiter leurs réserves qui pourraient

Total en Mauritanie, Exxon au Tchad, au Cameroun et au Niger, auxquelles s’ajoutent des compagnies pétrolières chinoises. La CNPC (China National Petroleum Corporation) conclut ainsi des contrats d’exploration au Tchad, en Mauritanie et au Niger, la SINOPEC (China Petroleum & Chemical Corporation) au Mali et en Côte d’Ivoire13 et la CNOOC (China National Off-shore Oil Corporation) au Nigeria. Dans les autres pays côtiers (Sénégal, Gambie, Guinée-Bissau, Guinée, Liberia, Sierra Leone, Ghana et Togo)

à celui offert par China National Petroleum à 10 $ canadien l’action. Libye : sinopec veut renouveler le contrat d’approvisionnement de brut La compagnie pétrolière chinoise China Petroleum and Chemical Corporation (Sinopec Corp) devrait renouveler l’accord signé avec la Libye pour l’achat de près de 6 millions de barils de brut chaque mois en 2010, soit un volume nettement en hausse par rapport à celui de 2009. Sinopec a déjà commencé à élever ses importations de pétrole brut en provenance de Libye

et l’ouzbèk Uzbekneftegaz signent un contrat de coopération dans les domaines pétrolier et gazier. Depuis que les Etats-Unis ont quitté l’Ouzbékistan72, la relation entre Tachkent et Pékin n’a fait que se renforcer : accord entre Uzbekneftgaz et Sinopec en août 2005 pour l’exploration de gisements dans la vallée de Ferghana ; accord entre CNPC et Uzbekneftgaz en juin 2006 pour l’exploration de blocs de champs de gaz dans la région de la Mer d’Aral73. Pékin est également intéressé par le Turkménistan

ouvertures de capital. En mars 2009, sept d'entre elles figuraient parmi les vingt premières du monde. Il s'agit des les banques ICBC, CCB et BoC évoquées précédemment, de l'opérateur téléphonique China Mobile ainsi des groupes pétroliers Petrochina et Sinopec. Le rôle de la Chine dans l'économie mondiale : La forte croissance économique et l'essor commercial donnent à la République populaire une place croissante dans le système économique mondial et renforcent considérablement sont poids

comme les chaebols (ou jaebeols) coréens (Samsung, Hyundai, LG, SK, etc.), les géants hongkongais (CK Hutchison) et taïwanais (par exemple, Foxconn), ou celle des puissants groupes publics ou privés chinois (par exemple, ICBC dans la banque, Sinopec et CNP dans le pétrole, China State Construction Engineering dans l’ingénierie et la construction) qui marquent le recul de la domination des pays du Nord. Hors Hong Kong, le stock d’IDE chinois à l’étranger était de 2 352 milliards de dollars

la pression occidentale. Ceci conduit par exemple au développement d’un axe Pékin-Téhéran, dont les implications sont fortes dans le conflit autour de la non-prolifération en Iran, et à un rapprochement de l’Arabie Saoudite, la compagnie chinoise Sinopec ayant par exemple remporté un contrat d’exploitation en Arabie Saoudite en 2004 (cette coopération ayant été renforcée en avril 2006 par un accord cadre de coopération avec la Saudi Aramco, qui comprend la construction de deux raffineries en Chine)