Sinopec

seront aussi des facteurs importants. Les investissements chinois se sont même concrétisés en Alberta, en avril dernier, alors que le plus important raffineur d’Asie, Sinopec, a racheté la participation de 9% de ConocoPhillips dans Syncrude Canada, le plus grand exploitant de sables bitumineux de la planète[17]. Sinopec est une filiale du grand raffineur chinois qui compte parmi les entreprises de l’état, China Petroleum & Chemical Corp. De plus, la filiale a fait ses preuves dernièrement

 Chine – Afrique  sont  les  entreprises  chinoises, mais  aussi et  en synergie avec elles, l'Eximbank  (banque publique d'export‐import chinoise). Un millier d'entreprises chinoises opèrent en Afrique dans tous les secteurs : hydrocarbures (CNPC, Sinopec), telécom (ZTE), BTP  .     Le  principe  dit  « gagnant  - gagnant  » qui  régit les  investissements  chinois  en Afrique  est simple : en échange de concessions minières ou pétrolières, les entreprises proposent d'investir dans des   infrastructures

dans le but de permettre au pays d’obtenir une force de frappe suffisante pour lui permettre une insertion dans le marché mondial des hydrocarbures: la China National Offshore Oil Corporation (CNOOC), la China Petroleum and Chemical Corporation (SINOPEC) et la China National Petroleum Corporation (CNPC) qui a eux seuls emploient des dizaines de milliers de personnes dans le monde et des centaines de traders venant de Singapore à New York pour acquérir les quantités nécessaires en pétrole au pays

d'investissement qui connaît la compagnie. La CNOOC doit aussi surmonter des obstacles d'un autre type. Ses deux plus grands concurrents chinois sont en train de mettre la main sur l'approvisionnement en pétrole et en gaz naturel en Chine et à l'étranger. Sinopec a pris une participation dans du gaz naturel en Arabie saoudite. PetroChina, qui a investi dans des champs gaziers en Indonésie et au Kazakhstan, construit un gazoduc sur 4 000 kilomètres d'ouest en est pour acheminer le gaz naturel des déserts du

premier importateur mondial, et la consommation devrait augmenter de 1000% d’ici 2030. 5 à 6 M de barils par jour. China National Petroleum : filiales chargées d’aller acheter aux quatre coins du monde (secteurs, droits d’exploitation ou barrils) [Sinopec, China National Offshore Oil Corporation…] Effort à court et long terme colossal, pose des problèmes dans les relations de la Chine avec d’autres pays… Moyen Orient : Surtout Arabie Saoudite, mais aussi Iran (la Chine à elle seule achète près

une accusation de cartel déposée par les principales Sur les 10 premiers groupes chimiques mondiaux par le chiffre d’affaires en 2005, 5 sont européens (BASF, Shell, Total, Bayer, BP), 3 américains (Dow Chemical, Exxon Mobil, DuPont), 1 chinois (Sinopec) et 1 saoudien (Sabic). 8 Les armements chimiquiers et de produits raffinés français se sont retrouvés au cœur du mouvement de concentration européen : Navale Française a été repris par Eitzen Chemical tandis que Fouquet Sacop et Petromarine ont finalement

et a promis d'investir un montant supplémentaire de 2,25 milliards dans le développement sur le terrain. [11]  l'industrie pétrolière du Gabon a également vu la baisse des investissements massifs de la China National Petrochemical Corporation (SINOPEC), qui envisage d'explorer les réserves du Gabon pétrolière onshore et offshore.  Afrique du Sud et le Zimbabwe restent les principales sources de Pékin pour le platine et du minerai de fer.  En 2004, il y avait plus d'une douzaine de visites d'échange

producteurs, tout particulièrement au Moyen Orient et à partir de la deuxième moitié des années 1990 dans les trois producteurs du golfe, l’Irak, l’Iran et l’Arabie Saoudite. Les trois principales compagnies pétrolières d’Etat chinoises, la CNPC et SINOPEC pour la production onshore et la CNOOC pour la production offshore, sont l’instrument de cette politique d’investissements directs dans l’amont pétrolier et gazier international qui lui permet de devenir propriétaire d’une part de la production issue

820 entreprises chinoises[20] installées en Afrique. Les investissements chinois ont fortement augmenté au point de dépasser ceux consacrés à l'Asie du Sud-Est. Les échanges commerciaux se montent à 29 milliards d'euros[20]. La compagnie chinoise Sinopec cherche du pétrole au Gabon. Le 3 novembre 2006 a lieu le Forum sino-africain de Pékin qui réunit les chefs d'État du continent noir. La Chine est devenue le deuxième partenaire commercial de l'Afrique, avec 39,7 milliards de dollars en 2005[21].

importations chinoises de coton proviennent du continent africain. Et bien sûre du pétrole. Le pétrole représente a lui seule 70% de la valeur des importations chinoises sur le continent. En effet les entreprises pétrolières chinoises comme la CNOOC, la SINOPEC ou encore la CNPC Petrochina sont présentes dans de très nombreux pays africains (cf carte ci dessous) et font l’objet de partenariats commerciaux avec ces pays. L’Angola est devenu le premier fournisseur de pétrole brute de la chine, suivi de la