Société d'Ancien Régime

Thème 1 Le rapports des sociétés a leurs passé Introduction : La France n’a pas joué dans la 2nd Guerre mondiale le même rôle que dans la première. Entre 1914 et 1918 les français était unit dans l’adversité et elle est clairement dans le camp des vainqueurs. Au contraire la France subit en juin 1940 une humiliante défaites et elle signe l’armistice le 22 juin 1940. Biensur certains français ont refusé et sont entré en résistance mais il était peu la plupart des français était attentistes face

territoire de cet Etat-nation et appartenant au groupe national bénéficie des mêmes droits. Il y a donc une adéquation parfaite entre un peuple et l’Etat. La consolidation de l’Etat-nation a même fait de l’idée de souveraineté une notion clef des régimes démocratiques. L’Etat contrôle la violence légitime sur un territoire donné et devient libre d’y régner comme le gouvernement l’entend, et à travers lui, comme le peuple l’entend. Le mythe de la souveraineté populaire renvoie à l’idée d’un peuple

révolution menée par un groupe dominant abolis la monarchie au profit d’un système politique, le pouvoir est confi au publicus c’est ce qu’on appelle la res publica. Un système où il n’y a plus de roi et où le pouvoir est en principe confié au peuple. Ce régime dit républicain se perpétue jusqu’en -27 lorsque se met en place l’empire politique fondé sur de nouveaux concepts et institutions. Il va être caractérisé par la période du principat et le prince est finalement le premier des citoyens. Durant cette

La faute dans la responsabilité du fait personnel Une politique d'unification du droit avait déjà été tentée depuis longtemps dans la société d'Ancien Régime, mais comme les rois de France ne possédaient pas le pouvoir de changer les lois civiles, ce travail se faisait lentement par l'unification de la jurisprudence et des travaux de doctrine. Avant le Code Civile, la France repose sur l'existence de lois particulières, les privilèges qui sont les statuts dont disposent non seulement les corps

de l’existence », à rester dans une sphère supérieure afin d’accomplir l’« obligation de leur existence » : diriger la France. Cette tâche est indispensable à la stabilité de la France : « Une aristocratie est en quelque sorte la pensée d’une société, comme la bourgeoisie et les prolétaires en sont l’organisme et l’action. » (925) Ainsi, pour assumer cette charge, toute la logique aristocratique consiste à donner aux nobles « des forces sociales que ses adversaires compensent à peine par des études

malaise et d'insatisfaction par rapport à la société où ils vivent. Ils se sentent rejetés par la société et ont donc un sentiment d'inadaptation. Il n'est pas d'accord avec la société et se place en marge de cette dernière. Dans les écrits ou même les peinture on lit sa révolte et parfois même on dégout du monde dans lequel il vit. En France, le romantisme se développe beaucoup au XIXe siècle se révoltant contre cette nouvelle société, il s’exprimera de manière révolutionnaire

uns, privée et familiale pour les autres.Dans ce contexte, et au sein d’une République démocratique et libérale telle que la nôtre, l’Etat de droit est de toute évidence appelé à jouer un rôle primordial, visant à donner à chaque membre de la société une égalité des chances pour parvenir à cette réussite. Dès lors, si le rôle du hasard quant à la réussite individuelle ne saurait être éradiqué totalement, celui-ci tend toutefois à se réduire à mesure que l’Etat se donne pour objet de favoriser

« Droit pénal spécial », Litec, n°2). Le premier souci du législateur, quel qu'il soit, est d'établir une liste des comportements méritant répression, en raison de leur caractère dangereux pour la cohésion sociale. Les traités de droit pénal d'Ancien régime font ainsi la part belle au droit pénal spécial, les dispositions de droit pénal général étant quant à elles résiduelles (J.Pradel et M.Danti-Juan, Droit pénal spécial, n°2 ; J.M.Carbasse,Histoire du droit pénal et de la justice criminelle,PUF

de la société française sous le second empire. 1. définir le sujet La société : État de vie collective; mode d'existence caractérisé par la vie en groupe; milieu dans lequel se développent la culture et la civilisation. Ensemble de relations éphémères ou durables, de rapports organisés ou fortuits que les êtres humains entretiennent entre eux. Dynamisme : Capacité de réagir, de s'adapter aux choses et aux événements, Capacité de se mettre en mouvement. Second empire : régime impérial

Chiffre erroné = estimation d’anciens détenus 1930 200’000 1934 500’000 1935 1’000’000 1941 2’000’000 1953 2’700’000 Moyenne 2’000’000 par an Total Environ 15’000’000 Manque d’information sur le nombre de morts Estimation 2’700’000 Prisonniers 1/3 Contre-révolutionnaires 2/3 Droits communs Non-respect des lois de discipline en URSS Catégories systématiquement envoyées au goulag Paysans dékoulagisés Paysans « riches » = propriétaires qui ne se sont pas soumis au régime communiste Spécialistes