Société des droits de l'homme

ELAGRI La problématique : « Qui garantit mieux les droits de l’homme, le droit positif ou la religion (l’islam) ». Le plan : -L’introduction -Partie I : les ressemblances et les points de convergences entre le droit positif dit universel et l’islam. -Partie II : les divergences entre le droit positif et la religion (l’islam). -Conclusion -Ouverture Depuis son existence, l’homme tend vers la vie en société. Au début de l’histoire il vivait en petite famille

A. IDÉES GÉNÉRALES La Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen est destinée en grande partie à fixer par écrit les droits acquis lors de la nuit du 4 août 1789. C’est ce texte qui dessine à l’avance les points généraux qui seront abordés par la première Constitution française. Aujourd’hui encore, la Déclaration figure à l’entête de la Constitution de la Vème République. Quelques traits généraux et caractéristiques de ce document seront analysés ici. La Déclaration marque tout d’abord la

du travail mécanisé, la société de consommation, la dégradation des milieux écologiques, l'égoïsme et la vanité liés aux valeurs de l'argent et du prestige social, l'exploitation de l'homme par l'homme : tous ces thèmes inspirent souvent une certaine nostalgie de la nature, c'est-à-dire le regret vague d'un état où l'homme vivait heureux, en harmonie tant avec la nature qu'avec ses semblables. Pourtant est-il bien sûr que l'état de nature soit aussi bénéfique pour l'homme ? Ne sommes-nous pas ici

JURIDIQUE Introduction Le mot « droit » vient du latin « directus » et « ius ». « Directus » signifie droit, droite en tant que direction, tout comme le mot Allemand « recht ». « ius », quand à lui, signifie la formule, le droit au sens juridique. Le mot droit nous donne un idéal. Le droit est un direction (la droite ligne). Mais le droit n’est pas forcément « droit » ! exemple : les lois antisémites du gouvernement de Pétain. Dans l’antiquité, le droit est une formule rituelle et soumis à

de la société, de ne pas être implanté et investi dans celle-ci. La société étant ici le lieu de vie des hommes, un environnement codé avec des conventions, des règles plus ou moins contraignantes. Il est du devoir de l’individu, de « l’animal social et politique» (Aristote) de respecter les codes, afin de vivre dans la société, d’en être un constituant comme le suppose la nature sociale de l’homme. Cependant, des hommes se placent par choix ou par contrainte à l’extérieur de cette société. On peut

territoire déterminé, […] revendique avec succès pour son propre compte le monopole de la violence physique légitime." Max Weber (1864-1920) * "Si l’État est fort, il nous écrase. S’il est faible, nous périssons." Paul Valéry (1871-1945) * "Le droit, l’ordre éthique, l’État constituent la seule réalité positive et la seule satisfaction de la liberté." Hegel (1770-1831) * "Tant que l’État existe, pas de liberté ; quand régnera la liberté, il n’y aura plus d’État." Lénine (1870-1924)

fondements des droits de l’homme Introduction Partie 1 : les fondements historiques des droits de l’homme Chapitre 1 : le droit naturel et droit divin Section 1 : droit naturel Section 2 : droit divin Chapitre 2 : les principes philosophiques Section 1 : la philosophie CLASSIQUE Section 2 : la philosophie des lumières Partie 2 : les fondements modernes des droits de l’homme Chapitre 1 :l’action de la communauté internationale en matière des droits de l’homme. Section 1

Protection des Droits de l'Homme IBRAHIM FALL, sous secrétaire général des Nations Unies aux Droits de l'Homme La Protection des Droits de l'homme à l'Horizon du 21ème siècle. Plus que tout autre élément de droit international public, les Droits de l'Homme dépendent fortement de variables dont il est difficile, en un moment donné de cerner tant la nature que l'étendue. L'état de la société internationale, les tendances qui la traverseront, les tiraillements voire déchirements qui la sous-tendront

différentes façons, il peut désigner une autorité souveraine, généralement conçue comme transcendante et d’où émanent les droits et les devoirs du citoyen. Il aura ainsi une fonction morale et coercitive puisqu’il définit ce qui est légitime et interdit, en punissant, ce qui ne l’est pas. On peut aussi dire que l'État est la chose publique, ce sont les intérêts, le bien collectif et le droit de tout le monde, opposés à l’action dissolvante des intérêts et des égoïsmes de chacun. C’est la justice et la réalisation

Mardi 20 Mai 2008 Terminale Littéraire DM de Philosophie Le légal est-il toujours juste ? Le nom justice est hérité du latin justitia (même sens), dérivé de justus, « conforme au droit », lui-même de jus / juris, « (le) droit ». La justice concept et principe désignant le respect du droit et de l’équité ; en morale, la justice désigne le respect et l’équité à l’égard d'autrui. D'un point de vue moral, la justice est parfois définie comme le fait de donner à chacun ce qui lui revient