Sociologie pragmatique

théoriques et expérience).  la compétence est structurée (combinant savoirs, savoir-faire, raisonnement…). 1  la compétence est abstraite (on ne voit que ses manifestations, comportements …). ». Grégoire ÉVEQUOZ propose, lui, une définition plus pragmatique : « la compétence est la capacité d’une personne à agir avec initiative et responsabilité dans une situation donnée, en fonction d’une performance attendue, et en mobilisant ses ressources2 ». Enfin, pour Philippe ZARIFIA situations 3». « La compétence

confucéenne en Chine essaye de déterminer les raisons pour lesquelles le capitalisme ne s'est pas développé dans le pays comme cela a été le cas en Europe par exemple. Quels aspects de la société chinoise diffèrent de la société occidentale? La sociologie des religions a toujours été un angle important de recherche pour Max Weber mais en s'intéressant à la pensée confucéenne et son impact sur l'organisation sociale chinoise il découvre un lien entre la pratique de cette éthique, la façon dont les

provient à la fois de la psychologie expérimentale et de la sociologie des organisations, véritable réaction de fonds à l’OST parce qu’elle est 3 - devenue l’école des relations humaines. Dans les années 30, sous l’intuition en particulier de ELTON MAYO et de F.ROETHLISBERGER, le thème central de cette école est la recherche de la satisfaction du travailleur. La troisième approche est la plus récente, et elle prend ses racines dans la sociologie des organisations, la théorie des groupes avec K. LEWIN

administrative. Gabriel TARDE, magistrat grand fondateur de la criminologie moderne, n'a pas eu l'inscription dans le champ universitaire, contrairement à DURKHEIM intégré au système universitaire ce qui lui a permis d'avoir des disciples et de développer la sociologie. Apparition de la science politique, de l'étude des phénomènes politiques est récente. On constate depuis la fin de l'Antiquité un intérêt notable qu'atteste, un intérêt notable pour les questions politiques, que l'on retrouve chez PLATON, MACHIAVEL

la distinguant du collectif, les individus de l'ordinaire opèrent dans d'autres sphères et sous d'autres logiques que nous spécifierons plus largement ultérieurement. Sans tomber dans les courants de l'individualisme méthodologique, ou dans une sociologie individualiste des relations internationales, nous nous arrêterons ici sur la pertinence de l'individu comme unité d'analyse et comme vecteur de transformations mondiales. L'enjeu est ainsi de relier des ordres de grandeurs faisant parti de l'incommensurable :

mouvement des chômeurs en la rapportant à une combinaison de motivations pragmatiques et de réinvestissement de savoirs de militants de P. Favre, 1991, La manifestation, Paris, Presses de la Fondation de Sciences Po. P. Bourdieu, 1998, Contre-feux, Paris, Raisons d’agir. 17 J. Faniel, “Belgian unemployed and the obstacles to collective action”, papier présenté à la 2ème conférence ECPR Marbourg, 2003. 18 O. Fillieule, 1997, Sociologie de la protestation: les formes de l’action collective, Paris, L’’Harmattan

Tarde M.Dougall : le groupe n’est qu’un système de relation entre les individus. B. Vraie ou fausse opposition ? On doit mettre l’action sur les relations individuelles ou collectives G.Gurvitch (1894-1965) : La vocation actuelle de la sociologie (1963) : propose 3 niveaux : ← Macroéconomiques : s’intéresse aux ensembles sociaux qui peuvent prendre en charge les besoins de leur membre (ex : l’Etat) ← Groupements qui composent les sociétés globales (classes sociales, groupe de parenté…)

critique confrontée aux sciences humaines * lire avec la psychanalyse * les textes fondateurs * Charles Mauron et la méthode psychocritique * la textanalyse de Jean Bellemin-Noël ou le texte « hors l’auteur » * perspectives 3) littérature et sociologie * définitions * la sociocritique * héritages et courants sociocritiques * les critiques de la réception * prolongements Chapitre IV : le texte comme langage 1) critique et linguistique : un dialogue discontinu 2) principe de l’analyse

Introduction I/ L’affirmation de la sociologie face à la philosophie 1) La différence entre sociologie et philosophie Définition : La sociologie, c’est l’étude des phénomènes sociaux mais avec une prétention particulière qui fonde son existence par rapport à la philosophie. C’est éviter de porter des jugements de valeur, (de dire si ce que l’on observe est bien ou mal), ceci au risque d’une subjectivité importante qui risque de déformer la réalité. La sociologie, elle, affirme qu’il est possible

sorte d’observer de près les pratiques de coopération quotidiennes. Les théories marxistes, qui structurent le champ de l’analyse sociologique des conflits, considèrent le conflit de classe comme l’élément moteur de la dynamique sociale. Mais la sociologie des organisations (Crozier) ainsi que les théories dits de l’individualisme sociologique (Boudon) élaborent de fait des théories du conflit basé paradoxalement sur un postulat équivalent : en effet, chacun considère la présence de conflits comme