Socrate Thrasymaque

Mais sur quoi repose cette évidence du vrai ? Pour la vérité première, l’accord ente la pensée et la réalité est intrinsèque, mais pour toutes les autres vérités, il faut que quelque chose justifie cette évidence de la vérité. Paradoxe énoncé par Socrate dans le Menon : on ne peut en fait chercher la vérité, car soit on sait ce que l’on cherche, mais dans ce cas, pourquoi la chercher ; soit on ne sait pas en quoi consiste à dire qu’on ne peut reconnaître que ce que l’on a déjà connu, or, dans le cas

Le Banquet, Platon I : Problème central de l’œuvre. Dans ce récit d’un banquet, rapporté par Apollodore, auquel vont prendre part plusieurs grands noms de la Grèce antique tels que Socrate ou Aristophane, nous sommes les témoins d’une tache plus que délicate. Cette tache consiste en un éloge à Eros, dieu de l’amour, dans un premier temps, puis en une recherche de ce qu’est l’amour, une tentative de définition de l’amour et du désir. Chaque convive, guidé par ses propres désirs, fera partager aux

contraire du travail qui étymologiquement parlant veut dire « torture ». La philosophie est le plaisir de rechercher la vérité, elle se révèle n'ont pas être quelque chose d'utile pour l'homme mais plutôt comme quelque chose de nécessaire. Ainsi, pour Socrate chaque homme est philosophe mais il faut le faire accoucher de sa facultés philosophique. De plus, Descartes dis « Donc je doute, je pense, je vis. », pour ce philosophe le doute qui est l'essence même de la philosophie renvois au fait de vivre. Il

Socrate est le fils d'un tailleur de pierre et d'une sage-femme, né à Athènes au siècle de Périclès. On sait peu de chose de sa jeunesse. Il a un enfant de sa femme Xanthippe et deux autres d'un second mariage. Socrate participe aux combats de la guerre du Péloponnèse contre Spart. Sa physionomie est présentée comme celle d'un satyre. : sa laideur, perçue comme un signe d'intempérance et de vice, scandalise les athéniens pour qui la beauté physique est le symbole de la beauté morale. Socrate

des esclaves qui travaillaient pour lui et lui permettaient ainsi de jouir d’une oisiveté qui lui donnait la possibilité de s’adonner à la politique ou à la philosophie. Mais aussi, on ne peut manquer de songer à la relation de Platon à son maître Socrate, lui ouvrant les voies de la vérité et de la liberté. Le maître peut donc être pris en mauvaise ou en bonne part selon qu’on l’envisage dans sa relation à l’esclave ou au disciple. Faut-il alors reconnaître quelqu’un comme son maître ? Etrange question 

du bon fonctionnement de la Cité. Il estime que des enfants bien éduqués seront des bons citoyens dans le futur et que si les jeunes gens sont bien élevés, ils auront à leurs portée de bonnes valeurs et seront raisonnables. La citation citée par Socrate : « Une éducation et une instruction honnête créent de bons naturels » nous montre que Platon attribut un rôle non pas de connaissances mais de valeurs à l’éducation et est pour lui le commencement de toute formation d’un bon être humain qui fera

» Cet apophtegme montre pertinemment l’aporie que constitue tout discours ou toute appréhension de soi à soi. Que veut dire la notion de pouvoir, et en quoi réside ce pouvoir ? Si pouvoir être soi, réside justement, dans le fait de se connaître (Socrate : « connais-toi toi-même »), ou bien dans le fait que le moi est lui-même une difficulté ; difficulté liée à autrui et liée au regard que tout être est amené à porter sur lui-même. Premiere Partie : Si on n'aime chez soi que ses qualités, alors

Condamné à mort par l’assemblée démocratique d’Athènes après avoir été accusé de corruption de la jeunesse et de négation des dieux ancestraux, Socrate entame une discussion avec Criton portant sur le devoir. Malgré toutes les tentatives d’argumentation de Criton, Socrate refuse tout de même de s’échapper. D’ailleurs, Socrate avait-il raison de refuser à Criton de s’enfuir? Selon moi, il avait tout à fait raison de refuser de s’enfuir comme proposer par Criton afin de garder sa dignité et sa fierté

GRANDS PHILOSOPHES DE L’ANTIQUITE : Socrate (-470 à -399) Philosophe de la Grèce antique considéré comme le père de la philosophie occidentale et l'un des inventeurs de la philosophie morale. Il n'a laissé aucune œuvre écrite ; sa philosophie s'est transmise par l'intermédiaire de témoignages indirects (en particulier par les écrits de son disciple Platon). Socrate pensait que toute personne a pleine connaissance de la vérité ultime contenue dans l’âme et seulement nécessite être stimulée

Le risque du politique, c'est de se substituer à la morale ou, pire, à la religion, en prétendant transformer l'homme. Le politique pèche là même où il est grand, dans son exigence (irréalisable) de parfaire l'individu. Si les institutions sont en quelque sorte l'occasion privilégiée de la réalisation du mal, c’est que le faire de l'institution prétend rabattre la visée sur l'accomplissement et porter la fin au niveau de la réalisation, méconnaissant ainsi la distance irréductible entre