Solstice

Isaac Lerutan, XXème siècle L’aventure est d’abord humaine L’aventure est d’abord humaine Océan de vie, océan de paix L’aventure est d’abord humaine Cris de temps passé aux lisières des prés L’aventure est d’abord humaine Comme tous les solstices qui ont précédé L’aventure est d’abord humaine Fleuve d’harmonie, fleuve d’éternité L’aventure est d’abord humaine Alchimie d’amour, désirs d’Absolu L’aventure est d’abord humaine Désespoirs palpables, vifs, jaunes, crus L’aventure est d’abord

un archétype ou une idée de force. C’est une synthèse induisant un effet conceptuel sans qu’interviennent des influences extérieures. A l’inverse du talisman un pantacle peut être exécuté à tout moment (hormis peut être les dates d’équinoxe et de solstice) Ainsi le pantacle est un correcteur d’ambiance, une connexion avec des forces cosmiques, plus essentiel qu’existentiel. Alors qu’un talisman est soumis, aux lois naturelles, un pantacle, agit immédiatement sans inertie, son action se distille peu

avant qu’elle ne survienne. Les Mayas avaient plusieurs calendriers réunis dans un grand calendrier qui s’étend sur une période de 5126 années. Selon les spécialistes, ce grand calendrier aurait commencé en 3114 avant JC et il devrait s’achever au solstice d’hiver 2012, plus exactement le 21 Décembre 2012. Pour les Mayas la fin du monde signifie la mort du soleil. D’après eux, avant le soleil sous lequel nous vivons se sont succédé quatre autres soleils qui ont disparu lors de grandes catastrophes

l’observation quant à la place centrale de la Terre dans l’Univers. Par l’utilisation rituelle des points cardinaux, nous ouvrons et fermons nos travaux. Aidés par cette science, nous observons les mouvements des astres, calculons et fêtons les solstices. Cet art nous permet de comprendre la grandeur des corps célestes. Dans tous nos temples, les travaux s’effectuent sous la voûte étoilée, de l’immensément grand à l’immensément petit, nous voilà en relation spirituelle entre le haut et le bas

STONEHENGE. Monument datant ème du6 millénaire av. J.-C. Le monument consiste en un double cercle de pierres levées, réunies deux à deux par un linteau de pierre. La voie d'accès au monument, bordée de menhirs, est orientée vers le Soleil levant, au solstice d'été. On voit donc dans ce vaste complexe, un sanctuaire voué au culte du Soleil. La construction de tels ensembles a exigé l'emploi d'une main-d'œuvre bien commandée : certains des blocs, lourds de 5 tonnes, viennent en effet d'une carrière située

dans une perpendiculaire fantasmée – et repos qui permet une expression de l’inconscient et du rêve, qui nous sert à répandre les vérités acquises. - A l’échelle universelle par les cycles journaliers, mensuels des lunaisons et annuels des solstices qui symbolisent la vie et la mort, la renaissance et le recommencement, l’évolution. C’est le cycle du Vénérable maître qui progressant de l’orient vers l’occident devient passé maître et couvre notre temple. Lune et soleil englobent également

Peu à peu les jours s’allongent, les nuits raccourcissent, jusqu’au moment ou les jours et les nuits on la même durée : c’est l’équinoxe de printemps. Le Soleil continue à se lever de plus en plus tôt monte plus haut se couche plus tard. Jusqu’au solstice d’été (le jour le plus long ; durant quelques jours sa trajectoire se modifie très peu). A partir de la les jours raccourcisses les nuits rallongent pour arriver a notre point de départ. -Chaque jours, le Soleil se levant à l’Est et allant se

même à près de 82 mètres de hauteur. Mais le point le plus élevé est l'ange du clocher situé à 87 mètres. L’orientation de la cathédrale est selon un axe Sud-Ouest Nord-Est. La cathédrale est donc orientée non pas vers l'Orient, mais dans l’axe du solstice d'été. Statuaire : La cathédrale de Reims a une très riche statuaire qui est supérieure à celle de toutes les autres cathédrales européennes. Le nombre de statues qui l'ornent, s'élève en effet à 2303. On peut observer notamment sur le portail

à 76, près du Great Bassin Desert en Utah, est sans doute son œuvre la plus connue. Ce sont quatre buses de 6 mètres de long et de 2,5 m de haut qui se font face par paires et qui s’organisent autour d’un espace vide. Orient ées en fonction des solstices d’été et d’hiver, elles doivent procurer au spectateur la sensation d’appartenir au Cosmos, effet renforcé par les trous creusés à la surface des cylindres de manières à former des constellations. Dans les figures du land art, on pourrait également

d'autres des figures géométriques de plusieurs kilomètre de long. Ces dessins, connu depuis 1926, ne furent réellement Re-découvert qu'en 1939 par Paul Kosak alors qu'il survolait la région dans un petit avion. Le hasard voulu qu'il effectua ce vol au solstice d'été et qu'il remarqua que la direction d'un des tracés d'oiseaux était aligné avec les rayons du soleil couchant ce qui fit qu'il baptisa la plaine, "le plus grand livre d'astronomie du monde".  Les lignes Nazca ont été tracées, il y a de cela