Sommes Nous Ce Que Nous Pensons être

 PEUT ON NE PAS ETRE SOI-MEME ? Être soi-même c'est avoir conscience de soi, de notre « moi » qui nous définit aux yeux de tous et de nous même, de notre identité. Instinctivement nous sommes tous d'accord pour dire que nous pouvons ne pas être nous même dans certaines circonstances mais est-ce vrai ? ou utilisons nous ceci comme une excuse pour justifier des actes. Dans ce cas, c'est que nous avons conscience de nous même mais que nous ne voulons pas l'assumer. Ce qui

raisonnemment ammène un quetsionnement; Peut-ont être a la fois sujet et objet de sa propre pensée? Sachant qu'être sujet recouvre la capacité d'un individu à avoir conscience de lui même et a se donner des objets de pensé sur le monde, les autres et sur soi même. Mais nécessairement, il existe des limites a cette penser comme le coma ou le troule dissociatif de l'identité. Et sans ce sens de l'identité ou cette état d'inconscience peut on encore prétendre être sujet? Peut-on se qualifier de sujet même

l'opinion comme « personnelle » alors qu'elle est d'abord une pensée collective. De nos jours, nous avons pris l'habitude que d'autres pensent à notre place et quand une décision importante doit être prise, notre réflexe est souvent d'aller consulter ce que d'autres pensent (avant de nous demander ce que nous en pensons nous-mêmes). Alain met en cause une paresse de la pensée, et cette tentation constante d'un repli dans l'opinion commune. Qu'est-ce que l'opinion? Est-elle d'abord une prise de parti personnelle

Etre libre, est-ce agir spontanément ? Commencez par vous demander pourquoi on vous pose la question afin de déterminer le problème du sujet. On considère généralement qu’être libre c’est agir sans contraintes, c’est faire ce qu’on a envie de faire, ce qui nous plait. Vous pouvez ainsi partir d’image simples : on dira d’un animal qu’il est libre lorsqu’il peut circuler à sa guise dans la nature, on parle de l’air libre pour signifier qu’elle ne rencontre aucune limite et on va opposer l’homme libre

GOISBEAU Bonjour, je m’appelle Elsa DUFRESNE Nous sommes en 1èreS2 au lycée Saint Joseph à Bruz et nous allons vous présenter notre projet de TPE. Au vu des thèmes proposés et après une concertation collective, nous avons choisi de travailler sur le thème « Environnement et progrès ». Ce thème ne correspond pas à celui que nous avions initialement choisi. Pour Juliette et moi-même, nous pensions travailler sur le thème de la « Santé et Bien-être ». Romain et Aurélien avaient eux de leur côté commencé

PHILOSOPHIE - DISSERTATION Qu’attendons-nous pour être heureux ? (note: 16/20) Nous ne sommes pas heureux. Du moins, c’est ce que nous soupirons assez souvent en notre for intérieur. Il y a tant de choses que nous désirons et qui pourraient nous rendre heureux… Nous avons tous sensiblement les mêmes; que ce soit du désir le plus « superficiel » (la richesse) au plus raisonnable (une bonne santé par exemple). Mais malgré tout cela, nous sommes toujours en train d’attendre que le bonheur vienne

confronter à celle d'autrui. Posons cependant une condition : la réalité vécue doit être accessible et exprimable. En effet, que dire de ce que l'on ignore ou de ce qui ne nous atteint pas ? Cet obstacle pourrait être malgré tout contourné. La linguistique nous montre à quel point le langage est malléable : au cours des siècles, les mots apparaissent, disparaissent et se transforment ; en définitive, tout semble pouvoir être dit, grâce à cette faculté extraordinaire. A objets nouveaux, termes nouveaux

que nous pensons avoir de nous-même, elle nous apprend que autrui est nécessaire, nous nous connaissons, apprenons à nous connaître à travers les yeux d'une autre personne. Mais, ne sommes nous pas capable de nous connaître sans lui ? C'est justement pour prouver que non, qu'Aristote a écrit ce texte. Il veut montrer que la proximité d'autrui est obligatoire pour enrichir la connaissance de soi, puisque, notre regard sur nous-même était trop subjectif, nous ne voyons que ce que nous pensons voir, ou

à quoi nous pensons lorsque nous pensons à la mort ? Nous pouvons uniquement répondre que nous songeons à cette idée intuitivement comprise par tous sous le nom de « mort ». La mort semble être une notion nulle, méconnaissable puisqu’elle est irréalisable par excellence. Pour que la mort puisse être un objet de réflexion pour notre pensée, il faudrait que nous puissions la juger et nous la représenter en esprit. Le problème est donc qu’une fois la mort venue nous ne pouvons pas être les témoins de

devrait-on tous vivre dans des tentes au fond du jardin ? Certainement pas. Nous pensons même qu’il est mieux de se servir de ces exemples pour être conscient de la chance que nous avons à vivre aisément. Et, peut-être qu’en pensant à ces non-chanceux, nous pourrions mettre de côté un instant nos petits soucis de la vie quotidienne. Pour conclure, oui il y a plus malheureux que nous mais cela n’empêche pas que nous pouvons être heureux. Cependant, peut-on savoir si les autres sont malheureux ? Qu’est-ce