Sommes Nous Ce Que Nous Pensons être

3                        Nous   nous   sommes   décidés   pour   notre   sujet   de   Travaux   Pratiques   Encadrés,   un   mercredi   après-­‐midi,   alors   que   nous   jouions   au   ping-­‐pong   !   Nous   nous   sommes   alors   tous   demandés  quelle  pouvait  être  la  trajectoire  de  la  balle...  Après  plusieurs  aménagements

nous nous demanderons si, au contraire, le langage est indissociable de la pensée, s'il rend possible la pensée ? Développement : Dans certaines circonstances, il nous arrive parfois d'éprouver le sentiment de ne pas pouvoir dire ce que nous pensons comme on le voudrait, de ne pas réussir à trouver les mots juste et représentatif de notre pensée propre. Le langage n'est alors pas toujours en relation avec l’interprétation de nos pensées. Autrement dit, il y a des pensées que le langage ne nous

A O N Y N O M S U R .F SCIENTOLOGIE = DANGER Nous sommes Anonymes/France Nous combattons la scientologie, parfois depuis des années. Nous sommes divers. Nous sommes étudiants, travailleurs ou privés d’emploi. Certains d’entre nous croient au ciel et d’autres n’y croient pas. Certains ont des opinions politiques classées à gauche et d’autres à droite. D’autres encore n’ont pas d’avis sur ces questions. Nous considérons que la scientologie est une association internationale de malfaiteurs

défendre notre pensée face à une opinion dominante ? Leur opinion nous influence-t-elle réellement ? Le fait que leur opinion soit dominante change-t-il quelque chose sur la liberté de notre pensée ? Dans quels cas la pensée libre peut elle réellement être entendue ? Peut-elle se taire tout en restant active ? Ce qui nous conduit à une question principale et évidente : La pensée libre peut-elle résister à l’opinion dominante ? L’enjeu de cette problématique repose sur bien des domaines comme la

ensuite les autres font partit de nos pensées et enfin nous associerons la pensée avec la notion de liberté. I) Tout d’abord, penser est une activité à proprement personnelle, nos pensées nous sont propres, nous sommes les seuls à les voir se construire par étape dans notre esprit et nous sommes les seuls à les reconnaître. C’est le philosophe Descartes qui décrit la pensée comme « tout ce qui se fait en nous de telle sorte que nous l’apercevons immédiatement en nous-même ». Le même philosophe écrit

choses, elle, dépend du monde extérieur qui nous entoure. La connaissance de soi est elle plus facile que la connaissance des choses? N'apprenons nous pas plus des savoirs que nous apportent les choses que de notre propre personne? D'un côté, nous pensons nous connaître nous même parfaitement mais de l'autre, nous apprenons des savoirs de la connaissance des choses. Si la connaissance de soi semble plus facile car elle est personnelle, n'est elle pas en réalité plus subtile? Dans un premier temps,

1-a / Nous sommes parfois amenés, bien que nous ne le desirions pas, a penser a l'encontre de nos propres idées. cela peut se faire de facon volontaire et consciente, soit pour repondre a un certain conformisme que nous impose la societe da,s laquelle nous vivons, soit pour se proteger d'une menace quelquonque. Par exemple, nombreuses ont été les personnes qui, durant la seconde guerre mondiale, ont collaboré avec les allemands. Non pas que leurs idées eussent été particulierment nazistes, mais

notre parole. Contrairement aux animaux, nous sommes en tant qu’humain dotés de la faculté d’exprimer nos pensées à travers un langage acquis grâce à notre éducation. L’homme est le seul être vivant capable de parler, de discourir car il est le seul à pouvoir penser (« Et seul parmi les animaux l'homme est doué de parole » Aristote). S’il possède cette faculté de parole (transmettre du sens) c’est bien pour dire les choses. L’homme est un être de parole. Grâce à nos mots, au langage que l’on nous

Si tout le monde fait quelque chose alors ça doit être la bonne chose à faire ! C’est complètement faux et surtout en finance. On le voit bien sur les marchés, quand une majorité attend quelque chose c’est très souvent l’inverse qui se produit pour punir tout le monde.3. Le biais de confirmation (smiley

alors notre soi-même . Pourtant cette question :  « peut-on penser contre soi-même » ne nous offense pas car nous pensons être capable de se remettre en question. Mais le mot « contre » a de forts sens, associé à l’adversaire, il nous impose tout de suite l’idée de rivalité guerrière qu’il peut y avoir entre la pensée et le soi-même. Mais qui favoriser ? Notre pensée ou notre être ? mais si les deux nous paraissent égaux, faut-il alors se battre contre ce que l’on est ? Le soi-même et la pensée