Sommes Nous Esclaves De Nos Désirs

a peur du noir évitera à tout prix de se retrouver dans le noir en allumant la lumière par exemple. De même si l’Homme se met à avoir peur de ses désirs, il y mettra fin d’une façon ou d’une autre. S’il est largement préférable de ne plus écouter son désir par peur, le bonheur consisterait-il à ne plus rien désirer ? Et doit-on satisfaire tous ses désirs ? On pourrait penser que dès lors que l’on satisfait un désir, la plénitude nous apparaît. En réalité, le désir n’est-il pas obtenu après mélange

sont des désirs qu'Épicure dans la Lettre à Ménécée, qualifiera de «non nécessaires», et auxquels il recommande de renoncer si nous voulons trouver la quiétude et le bonheur. En effet dans son ouvrage il met en relation deux types de désir. Le premier est basé sur les désirs vains qui sont inutiles et qui doivent être réprimés. Il répertorie l’envie de la richesse excessive, de la luxure, de l’immortalité, de la gloire, de l’amour, de la domination… ces désirs là nous rendent esclaves de ce qu'ils

est raisonnable ou non de les perdre. I- Nous sommes capables de perdre nos illusions et il est raisonnable de les perdre Il nous faut perdre nos illusions parfois pour connaître la vérité, la réalité et pour ainsi prendre conscience du monde qui nous entoure. Il nous faut démasquer les illusions qui nous donnent une vision erronée du monde. Quand on ne connait pas la vérité on se condamne à la subir aveuglement et à devenir esclave de nos désirs. Ainsi, dans Madame Bovary de Gustave Flaubert

de la liberté humaine, si tant est qu’elle soit possible. Dans le langage courant, la liberté renvoie au pouvoir que possède tout homme de n’obéir qu’à lui-même, qu’à sa propre volonté, et d’agir uniquement en fonction de ses désirs, indépendamment de toute contrainte ou de toute pression extérieure. Tout homme se sent donc spontanément libre, tout simplement parce qu’il se croit capable de faire des choix de petite ou de grande importance, de prendre des décisions, de petite

Vaut-il mieux vivre dans des plaisirs illusoires plutôt que d’affronter la réalité avec lucidité ? 1. Les illusions heureuses a. Illusion & Lucidité Illusion = apparence trompeuse ; pas forcément conforme aux désirs (ex illusion d’optique) + Freud L’avenir d’une illusion adhérer à illusion en raison de la satisfaction qu’elle procure, illusion motivée par désir Lucidité = capacité de dissiper apparence, ne pas se laisser emporter par illusions b. Avantages & Inconvénients

seulement rien au monde ne saurait véritablement nous satisfaire (puisque ce que j'ai m'indiffère et que je ne désire que ce que je n'ai pas), mais plus la quête du plaisir nous pousse à combler nos désirs et plus nous faisons dépendre notre bonheur des circonstances extérieures : plus j'ai satisfait de désirs et plus j'ai accumulé de choses qu'à présent je ne remarque même plus, mais dont je ne saurais me séparer sans douleur ; or plus mes possessions s'étendent et plus le risque de la perte (donc de

guerre civile des États-Unies, selon James McPherson, un auteur célébré, «a commencé en raison des différences entre les États libres et esclaves sur le pouvoir du gouvernement national pour interdire l'esclavage dans les territoires qui étaient pas encore devenus États3.» Le Canada, qui tolérait la présence des afro-américain, qui ne les prenait pas comme esclaves a évité une guerre civile, que les États-Unis ont subits. Finalement, l'organisation qui s'appelle Institute for Economics and Peace,

d'entropie, la nature tente de s'organiser afin de survivre. Ainsi tout être vivant, conscient ou pas, travaille par "le tri" Platon : nous sommes contraint de travailler car nous sommes démunis : nous n'avons pas de caractère spécifique pour vivre dans la nature, (cf le mythe de Prométhée : la nudité humaine nous force à travailler pour survivre). Sartre : Nous sommes condamnés à être libre et tout homme qui se cache derrière un déterminisme fait preuve de mauvaise foi (Sartre est un philosophe existentialiste)

Dissertation de Philosophie Sujet : Sommes-nous maîtres de nos pensées ? Observations : Les pensées peuvent par moment échapper à notre contrôle et donc venir et partir à leur guise, faisant de nous de vulgaires pantins. Cependant, ces moments de liberté pour celles-ci peuvent être réduits grâce à l'apprentissage, c'est à dire, développer la capacité de contrôle de soi-même, passant par la conscience, source des pensées humaines, grâce

empire »).  • On ne peut pas ne pas être libre, qu'on soit ignorant ou savant.  —> Pensez à Rousseau (« Notre essence est liberté »)  —> Pensez à Descartes (« Le plus bas degré de liberté, c'est encore de la  liberté »)  —» Pensez à Sartre (« Nous sommes condamnés à être libres ») Cette persistance de la pierre dans le mouvement est une contrainte, non parce qu'elle est nécessaire, mais parce qu'elle doit être définie par l'impulsion d'une cause extérieure. Et ce qui est vrai de la pierre il faut