Sommes Nous Gouvernés Par Notre Inconscient

Pascal, Montaigne et les baroques ont abondamment exploité. L’apologiste, après eux, montre la légèreté et la frivolité des comportements humains. Frivole est la politique : ainsi, pourquoi choisit-on pour gouverner un pays le fils aîné du roi précédent, puisqu’« on ne choisit par pour gouverner un vaisseau celui des voyageurs qui est de la meilleure maison » (fr 64). Frivole est le goût de la chasse et du jeu de paume (ancêtre du football) : « Les hommes s’occupent à suivre une balle et un lièvre

participant à une communauté, par l’affectivité (amour, crainte, espoir, hostilité), par imitation, par imprégnation (immersion dans le milieu). Le simple fait de vivre avec d’autres, à leur contact, en les imitant (y compris de la façon la plus inconsciente), en aimant tel ou tel et en n’aimant pas tel autre, en aimant ceci et en fuyant cela, nous apprend quantité de choses, constitue un savoir, un savoir-faire, un savoir-vivre, concernant notamment les réalités les plus proprement humaines ; sauf

expérience de la relation que partagent tous les membres d'un groupe. Elle est le fondement du lien groupal, car elle ne relie pas seulement chacun à tel être particulier, mais à tous. Elle reste le plus souvent obscure, cachée, inconsciente. C'est elle cependant, à nos yeux, qui gouverne la vie du groupe..  » Pagès, 1975 Selon les premiers théoriciens des groupes, le fondement du lien qui réunit les individus dans un groupe et les unit à leur leader est avant tout affectif (Freud, 1921). Le Bon (1895)

§384. M ais nous allons mieux le comprendre en prêtant attention aux textes qui suivent. 5 3 idées et de la considérer selon des idées. Mais la seule idée qu’apporte la philosophie est la simple idée de la Raison – l’idée que la Raison gouverne le monde et que, par conséquent, l’histoire universelle s’est elle aussi déroulée rationnellement. Cette conviction, cette idée est une présomption par rapport à l’histoire comme telle. Ce n’en est pas une pour la philosophie. Il y est démontré

Girard : on désire ce que les autres désirent (pub) : le désir est mimétique Hegel : l’H veut la reconnaissance par autrui de ce qu’il est : le plus grand désir d’obtient auprès d’autrui. L’ART Art : dimension universelle de la csc humaine car nous y sommes tous sensibles. Œuvre : qui n’est pas consommé mais destiné à durer dans le temps De tt temps, l’art a été le reflet de la société dont il émanait .Art rimait avant avec technique : « beaux-arts » ne se distinguaient pas d’ « arts et métiers » :

de sociétés dont la naissance est marquée par un métissage biologique d’une ampleur inouïe, inconnue ailleurs, on peut se demander à quoi tient cette absence. Cette situation est souvent pensée, de l’extérieur, comme l’occultation, consciente ou inconsciente, de leur « vraie » identité. Or, ne peut-on pas se demander si le fait biologico-historique du métissage est réellement leur fondement identitaire ? Ne serait-ce pas, au contraire, ceux qui le mettent en avant qui se leurrent ? Le

Créatrice ©2007, www.archimagie.com pour la mise à jour et la présentation de cette édition spéciale. Tous droits réservés pour tous pays. 1La Puissance de l'Imagination Créatrice Introduction Napoléon a dit : “L’imagination gouverne le monde”. Sachez bien que votre imagination gouverne votre vie. Certains vous diront : “Ce sont les romanciers, les poètes, qui vivent d’imagination. Moi, je ne m’intéresse qu’à la réalité.” Ceux-là se trompent. Nous ne voyons le réel qu’à travers notre imagination.

humain. L’individu, qui les ingère, n’expérimente pas une « psychose toxique » sans rapport avec la manière dont fonctionne son esprit dans des 16 circonstances normales ; il s’engage plutôt dans un fantastique voyage intérieur au royaume de son inconscient. Ces drogues révèlent donc et permettent d’observer de manière directe un éventail large de phénomènes autrement occultés qui représentent les capacités intrinsèques de l’esprit humain et jouent un rôle important dans la dynamique mentale normale

vouloir naturaliser ce qui est de l’ordre de la culture et de l’éducation en prétendant qu’il s’agit de choses subjectives, naturelles. C’est important de ne pas oublier que nos goûts et nos valeurs sont les produits d’une éducation, que nous sommes nous-mêmes le produit de notre éducation et donc de notre milieu social et de notre société. Pourquoi est-ce important ? Car la prétendue subjectivité naturelle de nos goûts engendre des effets de discrimination sociale comme des effets d’auto-exclusion

caractérisent une activité informationnelle sur le web. Si la formulation « d’environnement socio-cognitif » est nouvelle, le concept ne l’est pas. A partir du moment où l’on pense à l’Autre, nous sommes dans un contexte d’évaluation socio-cognitif. A partir du moment où l’on situe l’Autre par rapport à soi, nous sommes dans l’évaluation d’un environnement socio-cognitif. Sur le web, lors d’une recherche, les premières questions qui nous viennent sont « Qui écrit ? Qui est-il par rapport à moi ? Qui suis-je