Sommes Nous Maitre De Notre Bonheur

le temps de développer l’existentialisme et par la suite, le christianisme. En deuxième lieu, on va comparer c’est deux concepts et nous terminerons avec la synthèse. Premièrement, l’existentialisme considère que chaque personne est unique et maître de soi. Non seulement de ses propres actes et de son destin, mais aussi, pour le résultat des décisions que chaque individu aura choisi d’adopter. Selon l’existentialisme, l’homme n’est pas définissable car au départ, il n’est rien. Il ne sera qu’ensuite

autres, et c’est, pour ainsi dire, de leur seul jugement qu’il tire le sentiment de sa propre existence. ». Dans le chapitre premier du Contrat social, Rousseau précisera d’ailleurs sur les rapports de maître à esclave la subjectivité des rapports entre hommes, qui vivent en société : « Tel se croît le maître des autres, qui ne cesse pas d’être plus esclave qu’eux. » D’un état de nature où l’homme se trouvait libre, il est désormais esclave des propres règles de société, qu’il s’est fixé. Ainsi l’homme

surmonter des obstacles qui nous auraient semblé insurmontables si nous avions été indifférents. D’où le problème : les passions, en tant qu’elles peuvent être aliénantes, doivent-elles nécessairement être combattues pour que nous soyons libres et maîtres de nous-mêmes, ou au contraire le « feu » de la passion peut-il être un allié dans la réalisation de notre liberté ? 1. Oui, il faut combattre les passions pour être libre A. Les passions nous ôtent notre liberté car elles se substituent à la

personne ne sait de façon certaine où sont la vérité et la justice. L’imagination porte une lourde responsabilité dans cette situation, elle « dispose de tout, elle fait la beauté, la justice et le bonheur qui est le tout du monde ». Nous vivons au passé et au futur, mais jamais au présent. Nous sommes très peu capables de définir le juste et l’injuste si bien que la sagesse consiste à suivre les lois et les coutumes de son pays avec tout ce qu’elles ont d’arbitraire. III. Misère (fr. 49-71) Après

essentiellement la quête du bonheur, à laquelle on peut accéder en valorisant des qualités morales telles que l’amitié et l’entraide. Fondé sur la frugalité, le désintérêt du politique, l’égalité, le système philosophique épicurien proclame enfin le droit de philosopher, accordé à tout un chacun. L’épicurisme est né dans une période de troubles politiques où le projet philosophique est avant tout de construire une sagesse morale pour parvenir au bonheur. Mais qu’est-ce que le bonheur ? Peut-on l’atteindre 

par leurs maîtres >> marque de la dépendance des futurs mariés vis à vis de leurs maîtres. Cette chambre n'est donc pas si intime que ça (on y entend la sonnette). Non seulement Suzanne et Figaro sont logés d'office mais en plus ils sont meublés, et Figaro n'en est pas mécontent > utilisation d'un vocabulaire positif. Figaro n'est finalement pas si révolutionnaire que ça: il est content de la chambre > il accepte la dépendance, il ne remet pas en cause l'ordre social maître/valet. Pour

vide, impossible à remplir. Mais alors, si nous sommes ainsi condamnés au désir et à l’agitation, comment atteindre la sérénité, c’est-à-dire, pour la philosophie antique, le bonheur ? Tel est le problème qu’ont cherché à résoudre ces deux écoles de la sagesse antique que sont le stoïcisme et l’épicurisme. Tous deux proposent une morale du renoncement, ou en tout cas de la sobriété, et voient dans l’usage réglé de nos désirs la condition du bonheur. Pour le stoïcisme, il s’agit de régler nos désirs

au stoïcisme, philosophie hellénistique (de la période hellénistique) qui prône la sagesse, le bonheur et la liberté, et ouvre même son école à Rome, avant d’être exilé en Corse en 41. Pendant sa carrière et son exil, il écrira de nombreuses oeuvres telles que De la colère, De la vie heureuse ou encore De la brièveté de la vie. Dans cette dernière, traité philosophique visant à atteindre le bonheur, Sénèque s’adresse à Paulinus, son beau-père. Il explique qu’afin d’être heureux, il faut se concentrer

enfants de la liberté: Le monde est envahie de rupture, la foi en l’homme et au bonheur est en crise. Nous sommes en pleine guerre froide, le mur de Berlin est en construction, la seconde guerre mondiale à largement mis à mal la notion d’humanité. Mais en France c’est la prospérité, l’espoir renait. Les familles se recomposent nous ne sommes plus dans les conflits. Un vent de liberté souffle sur les mœurs. Nous sommes enfin LIBRE. La télévision et la pilule en sont les symboles. Dans cet optimisme

est le centre du désir : est-il dans la conquête (le plaisir de Dom Juan) ou bien dans la possession ? (Pensons au mécanisme- psychologique- de la vente aux enchères sur EBay : pendant que l’enchère est en cours, le désir fonctionne à plein : nous sommes dans l’excitation de la conquête ≠ une fois l’enchère remportée : satisfaction…suivie de près par le doute)                 Quand on parle de conquête, quand on parle de possession, quand on parle de Dom Juan, on est au plus près de parler du