Sommes Nous Responsable De Notre Bonheur

monde, il existe une religion. Dans le pays d’Eldorado, il y a qu’une seule et unique religion qui est commune à tous. Cette religion défend la simple idée que Dieu a crée le monde et permet de le faire subsister. En effet, Dieu est juste le responsable pour avoir créer la terre, mais il n’a plus aucun rôle en dehors de celui-ci. Les habitants de l’Eldorado lui sont reconnaissants pour leur création et le montre dans ces divers passages, je cite : «[…] nous le remercions sans cesse. » (p.107, l

(Acte I, SCÉNE IV) d’Albert Camus  LE VENT A DJÉMILA, Noces de Albert Camus  Le monde de Sophie de Jostein Gaarder, 1995  L’absurde et le suicide ,Un raisonnement absurde, Le mythe de Sisyphe, d’Albert Camus, Folio essais, 2010  La quête du bonheur permet-elle de réussir sa vie ? SEANCE 1 : Qu’est-ce qui nous empêche d’être heureux ? On demande aux élèves de créer pour cette séquence un  « journal de séquence ». Celui-ci leur permettra de conserver une trace de leurs lectures et réflexions

l’espoir de découvrir un jour le chemin qui se révélera être une pure œuvre d’art… Un chemin sans aucuns buts, un chemin qui me sera destiné, un chemin crée uniquement afin d’être là. « On est seul responsable de sa vie. Il ne faut blâmer personne pour ses erreurs. On est soi-même l'artisan de son bonheur, et on en est aussi parfois le principal obstacle. Je ne peux te donner qu'un conseil : Écoute, écoute la petite voix en toi avant de t'engager sur ton chemin. Et le jour où tu entendras cette petite

donner un sens à sa vie c'est aussi être responsable de ses actes car cela fait de nous notre « personnalité ». Mais nos actes ont aussi une influence sur l'humanité car par des mauvais choix nous pouvons aller à la destruction de celle-ci. Hors au XXIème siècle, je ne pense pas que l'humain fasse attention aux conséquences de ses actes. Jour après jour nous nous dirigeons vers la destruction de l'humanité. Ainsi, cela prouve que l'homme n'est pas responsable et donc par conséquent il ne donne plus

pas d'excuse : il n'est déterminé ni par une essence, ni par un inconscient, ni par son passé, ni par un destin ou une volonté divine. Il n'est que ce qu'il fait (« l'existence précède l'essence »). Il est donc totalement responsable de ses actes et de ses pensées : « Nous sommes seuls, sans excuses » (L'Existentialisme est un humanisme, Sartre, 1946). CLa liberté vue comme un fardeau En conséquence, la liberté peut être vue comme un fardeau plutôt que comme une chance. C'est ce qui est exprimé

dans notre société, la maladie sera plutôt vécue comme une injustice de la vie. La médecine moderne responsabilise l’homme, ce qui peut justifier une certaine forme d’individualisme des citoyens entre eux, face à la maladie. Si l’homme est responsable de sa santé, il ne s’agit plus d’injustice, donc pourquoi avoir un système de santé commun à tous? Une manière de penser plus libérale permettrait d’avoir une bonne influence sur les comportements humains et aurait des répercutions plus positives

raison par les philosophes, sceptiques ou dogmatiques : le pessimisme philosophique est le symptôme d’un Mal étrange et inintelligible, qui consiste en l’humiliation de soi, contre l’élan du cœur, en un refus de reconnaître et d’aimer ce que nous sommes, la place qui nous est faite, p.70 : »pour moi qui n’ai point de système à soutenir, moi, homme simple et vrai…, content de la place où Dieu m’a mis, je ne vois rien, après lui, de meilleur que mon espèce ; et si j’avais à choisir ma place dans l’ordre

..................................................................... 1 Poison nº 1 • Décider par avance d’une idée de bonheur pour soi .......................................................................... Poison n°2 • Ne pas s’aimer soi-même ............................................. Poison nº 3 • Nier qu’il puisse y avoir pour soi une possibilité de bonheur .................................................................... Poison nº 4 • Entretenir et alimenter les émotions douloureuses

pour paraître juste, il faut être injuste : « ce qu’il faut accepter, c’est de ne pas être homme de bien, mais qu’il faut en avoir l’air ». Adimante : « L’opinion fait violence à la vérité même et est souveraine maîtresse de bonheur. Pour peu que nous voulions notre bonheur, c’est dans cette voie de la dissimulation qu’il faut s’engager. Il faudra recourir tantôt à la persuasion, tantôt à la force pour nous avantager impunément au détriment d’autrui. » Le bien est antérieur à la justice selon Platon

et sociale. Diderot y traite des sujets aussi divers que la religion, le bonheur, le génie, le travail, la relation entre maîtres et valets, la décadence de la société. ➢ Le roman sensible ( l’émotion et la subjectivité sont plus important que la raison. ( la question essentielle est celle du bonheur que l’homme ne peut trouver qu’en étant en relation avec autrui et la nature