Sommes Nous Responsable De Notre Inconscient

 Responsable mais pas coupable De qui est de quoi sommes-nous réellement responsables ? Est-ce que le fait d’obéir à la loi est un acte plus responsable que d’y désobéir ? Dans le langage courant la responsabilité est définie comme le devoir de répondre de ses actes, toutes circonstances et conséquences comprises. Pourtant on peut se poser la question de la culpabilité de la personne qui émet un acte pensé comme responsable et qui ce transforme en abus ou crime. Cette question de la culpabilité

tenir pour libre et responsable de ses passions ? L’homme peut-il encore se penser comme l’auteur et le fondement de ses actes et de ses représentations ? Où « ça » parle, le sujet existe-t-il encore ? I/ L’inconscient de Descartes à Freud. A-Dès le XVII° siècle, grâce à Leibniz est formulée l’objection d’après laquelle, la conscience étant finie, elle ne peut remarquer ou faire attention à tout. Certaines de nos idées, perceptions, souvenirs ou volontés restent inconscients, soit parce qu’ils

nous sommes toujours maîtres de ce que l’on fait, et cela d’autant plus que nous sommes, nous les hommes, les seuls à décider, librement. Cette conception écarte tout déterminisme religieux. Même si les dieux existent, ceux-ci n’ont que faire des affaires humaines, comme le pensait Epicure. Plus près de nous, les Modernes ont remis les hommes au centre du monde, après l’intermède moyenâgeux. Dieu n’est plus de la partie pour ce qui est de fixer le destin de chacun. L’homme est responsable de ses

contre cette idée, essaye de démontrer que l'hypothèse de l'inconscient peut se révéler dangereuse, qu'elle permet à l'homme de se décharger de ses responsabilités en mettant ses fautes sur le compte de cet autre Moi et que, si l'homme pense, il est responsable. Pour affirmer cette thèse, il adopte un plan en deux parties, exposant d'abord que deux Moi ne peuvent aller de pair en expliquant que, la pensée étant liée à la conscience, elle va à l'encontre de l'inconscient, puis dénonçant ensuite le fait

normal; nous sommes tous différents, ayant chacun notre parcours singulier et original. L'idée c'est de ne pas se nuire, d'avancer ensemble pour une cause commune telle que la préservation de nos libertés remises en question aujourd'hui par la LOPPSI 2 et la politique de sécurité intérieure des gouvernements successifs Aussi dans le but de construire des réseaux plus forts et plus denses de résistances et d'alternatives, et de faciliter l'organisation de ce mouvement autogéré nous nous sommes installés

silence, en permettant à la personne de verbaliser sa douleur et sa souffrance. Phase de colère : la personne exprime sa révolte face à ce qui lui a été imposé : « Pourquoi moi ? ». Elle peut-être agressive face à son entourage en cherchant le responsable à son malheur. Il est donc important de laisser cette colère s'exprimer. Phase de marchandage : la situation est acceptée, mais la personne tente de gagner du temps. Elle peut ainsi prier, promettre, en échange d’une prolongation de la vie. Phase

sans que jamais nos deux modes d’existence puissent se rejoindre. Si je n’étais qu’un corps et lui aussi, aucune communication ne serait possible (2 tables à côté) et nous resterions fermés l’un à l’autre. Heureusement tel n’est pas le cas et nous sommes même souvent sensibles au jugement, au regard d’autrui sur nous. Pour être considéré comme un être humain à part entière, la reconnaissance d’autrui nous est essentielle. Il y a deux extrêmes qu’il faut éviter : vivre sous la dépendance des autres

dépend pas forcément de l'opposition. Enfin nous verrons que s'opposer pour être libre est techniquement possible mais difficilement réalisable. L'opposition est nécessaire à l'acquisition de la liberté et ceci car nous sommes libre de nos choix, de nos action, nous sommes donc libre de nous opposer. Pour Descartes il y a trois degrés de liberté. Tout d'abord la liberté d'indifférence qui est le degré le plus bas, cette liberté est nécessaire à la vie, on en fait usage tous les jours sans en avoir

ses pensées et qui ne met jamais la main à la pâte.Pourtant, une action inconsciente n’en est pas une : elle est bien plutôt une simple réaction digne tout au plus d’une bactérie ou d’un insecte.Dès lors, on peut se demander si la conscience peut être un obstacle pour l’action.La conscience apparaît en nous cette capacité à nous rendre compte de ce que nous faisons. Elle est une composante de l’action. Car un être inconscient n’est pas dit agir. Le vivant sans conscience comme l’huître ou la bactérie

de ses émotions et qu’il a beau faire, c’est « plus fort que lui ». Jalousie normale ou pathologique ? De nombreuses personnes estiment qu’après tout, il est « normal » d’éprouver un peu de jalousie à l’égard de celui ou de celle qu’on aime. Nous sommes liés et donc, j’en déduis que l’autre m’appartient un petit peu. D’autant plus si je le considère comme ma moitié. La frontière entre le normal et le pathologique n’est donc pas toujours simple à poser en matière de jalousie. La jalousie amoureuse