Sommes Nous Responsable De Notre Inconscient

dans notre quartier. Je sentais cet effet de stimulation monter en moi. Je nous imaginais déjà avec exaltation en train de parcourir la noirceur de ce souterrain. Je m’empressai d’enfiler mes bottes à tuyau et de prendre ma lampe de poche puis nous sommes partis. Tommy s’imaginait déjà des scénarios étranges ou des dangers qui pourraient nous faire face lors de notre conquête mais je refusais d’admettre que cette aventure soit dangereuse car quelque chose me poussait à découvrir cet endroit. La journée

l’inconscience = l’irresponsabilité (celle de l’automobiliste qui conduit en état d’ivresse). Ce sens n’est pas en cause ici, il faut absolument bannir ce terme : l’inconscient n’a rien à voir avec l’“inconscience”. Deux usages du mot “inconscient”: 1 • Comme adjectif, ce terme qualifie l’état de ce qui ne peut pas être conscient (les petites perceptions, Leibniz) ou l’état de ce qui n’est plus conscient (un souvenir auquel on ne pense pas, Bergson) : c’est tout ce qui échappe à notre

des interlocuteurs.Par contre, quand je me mens à moi même, je refuse de m’accepter tel que je suis ou encore je nie une vérité et donc je fais preuve de mauvaise fois. Ainsi, chancun d’entre nous peut être victime d’une manipulation dont nous sommes nous même l’auteur. Néanmoins, cela possède de nombreuses ambiguité et est meme impenssable. Pour me mentir à moi-même, il faudrait que je sois à la fois conscient et convaincu par la fausse proposition dont j’essaierai de me persuader. Cela nous

arbres, les montagnes et l’univers entier mais aussi a moduler nos actes et savoir que nous sommes mortel Par exemple Blaise pascal que le fait d’avoir une conscience nous permettait de réfléchir non seulement a nos actes humains , mais aussi a leur conséquence ,cette conscience pour lui est un cadeaux empoisonnée car elle permet de savoir que nous allons mourir un jour ou l’autre et que nous sommes misérable , donc elle sert donc pour réguler nos actes pour être sur d’aller plus tard au paradis

nous rendons alors compte que ce que notre conscience nous donne à observer ne constitue qu’une illusion, tributaire de notre propre point de vue, de nos projections et de nos fantasmes. Dans ce premier cas, nous avons donc l’impression que nous ne sommes pas ce que nous avons conscience d’être, chaque confrontation avec autrui nous donnant l’occasion de mesurer l’écart entre la connaissance que nous avons de nous-mêmes et notre moi profond et véritable. - enfin, nous avons parfois le

    L’homme s’est toujours considéré comme un être parfaitement conscient, responsable de la totalité de ses actes. Mais Freud, plus tard, contredit cette pensée en prouvant l’existence de l’inconscient chez l’homme. Cet inconscient serait une partie du psychisme humain dans laquelle se retrouvent les désirs, les sentiments, les souhaits refoulés par l’homme. Cependant, un tel aspect chez la personne humaine n’influence-t-il pas sa liberté ? Si la présence de l’inconscient a bien un impact sur la

gratuit ne prouve pas qu’il le soit tellement car il peut être déterminée par des motifs inconscients. Spinoza remarquait déjà : « l’illusion du libre arbitre vient de la conscience de notre action jointe à l’ignorance des causes qui nous font agir. » Les actes un peu bizarres dont nous ignorons les motifs sont les moins libres de tous, car ici nous sommes agis par des mobiles inconscients dont sommes d'autant plus les esclaves que nous les ignorons. 4°) La conscience morale Mais si

: mon statut de sujet en dépend. C’est bien cette faculté de se déterminer de façon autonome qui m’institue sujet de moi-même donc personne responsable… Cette « liberté intérieure » est-elle bien une forteresse imprenable ? - La contrainte n’est pas seulement externe, elle peut être interne également. A cet égard les passions ou les mobiles inconscients ne constituent ils pas une menace pour la pensée libre ? Allons plus loin : je pense être libre car j’ai conscience de désirer et d’agir ; mais

libre ? Il s’agit de l’absence de contraintes. Faire ce que l’on veut ? Cela signifie, agir sous la conduite de nôtre volonté. D’après Descartes, il n’y a rien de mécanique dans les comportements humains donc cela signifie que nous sommes toujours responsable de ce que nous faisons et toutes actions est issu d’une volonté. Selon lui, la volonté, présente seulement chez l’homme, n’est soumise à aucune contraintes et parait donc libre et sans limites. Par conséquent, cette volonté humaine est une

d’utiliser les capacités qui nous sont offertes. Coluche introduit également une notion de responsabilité. Être responsable signifie que nous devons répondre de nos actes. La phrase nous dit donc que notre physique, tout comme notre inné, ne dépend pas de nos actes ni de nos choix. Ils nous ont été transmis à la naissance et nous ne pouvons pas les changer. Par contre, nous sommes seuls garants de la gueule que nous faisons, des émotions que nous montrons et exprimons sur notre visage ou avec