Sommes Nous Responsable De Notre Inconscient

employée afin de marquer le mauvais usage de la conscience par un individu. Cette expression renvoie à l’adjectif « inconscient », ainsi qu’à son corrélatif « inconscience », utilisé autrefois par les philosophes afin de décrire la « non-conscience ». Aujourd’hui, le mot « inconscient » évoque immédiatement la découverte Freudienne de l’inconscient, en tant que substantif. Cet inconscient renvoie lui à une zone psychique étrangère à la conscience. Il introduit alors un aspect conceptuel de l’inconscient

nous-même ? Après tout on sait qu’on est nous-même, faute de quoi on n’aurait pas poursuivi notre vie jusqu’ici. Mais qu’est-ce que c’est être soi-même ? Selon Leibniz, si le moi se réduisait à la conscience présente et passée, nous ne serions pas responsables des actes que nous avons oubliés et notre petite enfance ne ferait plus partie de notre identité. Il faut donc reconstituer la continuité du moi en y intégrant les témoignages des autres sur les épisodes oubliés de notre existence. Soi-même renvoie

idées et une conscience prouve que moi, sujet pensant, j'existe. Par conséquent, la seule certitude est que j’existe et que je suis conscient. Si je suis conscient alors j’existe, or l’inconscient est ce qui n’est pas conscient, donc si je suis inconscient je n’existe pas. Ainsi l’existence de la conscience implique la non-existence de l’inconscient. J’ai conscience de moi-même, mais pourtant, est-ce que je peux me connaitre ? Car avoir la conscience d’être un humain ne s’équivaut pas à la

Qui suis-je réellement ? Nous nous sommes tous (ou presque) posé cette question. Nous possédons tous une identité personnelle complexe, et difficile à définir et à cerner. Un homme peut-il être identifié par son statut social, son opinion politique, ses biens, ou son travail ? Il est possible, pour tenter de mieux discerner son identité personnelle, de faire appel à des tests psychologiques. Ces questionnaires ont généralement pour but de mettre en valeur nos traits de caractère, ou notre tempérament

à chacun, qui sont invertis chez les droitiers et les gauchers. Plus précisément, chez un droitier, nous verrons les fonctions abstraites dominantes suivantes ; qui sont invertis chez les gauchers. L’hémisphère gauche : Il est majoritairement responsable de tout raisonnement logique et verbal. Par exemple, les calculs mathématiques, le processus de parler,ou de choisir sont tous contrôlés par cet hémisphère. Aussi, chez un droitier, cet hémisphère voit les détails. Le test « les lettres Navon »

Alain, contre cette hypothèse de l’autre Moi, refuse l’utilisation de l’inconscient dans ce sens-ci, car l’homme se défait donc de toutes responsabilités en mettant ses fautes sur le compte de ce second Moi, et l’homme, étant doté de la pensée, est responsable. De plus, il expose que l’inconscient est corps, c’est à dire matériel, il serait donc impossible qu’il nous pousse à faire quelque chose. Il est donc loisible de se demander quelle vision de l’inconscient développe Alain dans ce texte ? L’auteur

intellectuel engagé qui ne croit plus en Dieu après les horreurs de la Deuxième Guerre Mondiale et présente une conception existentialiste qui cherche une prise de conscience sociale. Elle se définit en affirmant que Dieu n’existe pas et que nous sommes que la somme de nos actions. Nous devons cesser, selon lui, de chercher à inventer un déterminisme organique ou psychologique pour justifier nos gestes. Dans ce texte, nous le verrons à travers une conception psychanalytique et une conception existentialiste

Commmentaire du texte d’Alain: Le thème général du texte est la différence entre conscience et l’inconscient. De « Qu’est-ce qu’un inconscient ……je sais ce que je veux » Le texte définit ce qu’est un inconscient. C’ est celui qui ne se pose pas de question, celui qui agit par impulsion, dans la précipitation ou par passion. De « Pour prendre conscience….et ne saura jamais ce qu’il a fait », le texte décrit ce qu’est la conscience ou l’action consciente. Il faut se diviser soi-même, se

morale. Mais pour ce qui est de l’être humain, est-il libre où est-il déterminé Selon Jean-Paul Sartre, grâce à notre raison, nous sommes parfaitement libres de nos décisions et de notre propre construction intérieure. Au départ je suis, ensuite je suis quelque chose. Et ce quelque chose, je suis seule à pouvoir le composer. Nous sommes donc pleinement responsables de ce que nous voulons et de ce que nous faisons de ce vouloir. « Être libre, c'est choisir. Être libre, c'est même être obligé de choisir

permet d’enchaîner des questions faisant apparaître le problème central. A. Or comment savoir si nous en sommes bien les causes si l’inconscient, étant une autre partie du psychisme, échappe par nature à la conscience ?B. Mais ii on admet son existence, doit-on pour autant exclure la notion de liberté car après tout, nous sommes bien capables de faire des choix et même si un tel inconscient existe, dès lors qu’on le reconnait, on peut être libre juger de ce que l’on pense et veut faire.C. La notion