Sommes Nous Toujours Libres Dans Nos Décisions

notre deuxième point qui est l’entendement, en d’autres mots la raison. Comment l’entendement peut être une caractéristique qui nous différencie? En raison que l’humain est capable de reconnaître une chose peu importer la forme qu’elle prend. Nous sommes en mesure de nous créer des idées qui restent imprégnées dans notre mémoire. De sorte que lorsque l’objet en question se transforme ou se métamorphose, nous pouvons nous rappeler de ce qu’il est, grâce à la reconnaissance de la forme de départ

événements du monde extérieur. Pour les grecs c’est ne pas être soumis à quelqu’un d’autre. Le déterminisme est une notion philosophique qui a poussé au débat des philosophes qui considèrent que nous ne sommes pas vraiment libres de nos actes. En effet, les déterministes estiment que chaque actions et décisions sont déterminées par une multitude de « forces » extérieures. Néanmoins on distingue une autre école philosophique qui vient à l’encontre: les partisans du libre arbitre. Ces derniers croient en une

dans un monde où tout est régi, jusque dans les plus imperceptibles détails, par des lois fixes et invincibles. Mais nous sommes obligés d’admettre bien d’autres choses que nous ne comprenons pas et que nous sommes incapables d’expliquer. La liberté de l’homme est un fait ; nous devons constater ce fait. On ne peut expliquer comment ni pourquoi nous sentons, nous pensons, nous sommes. Ce sont là des faits qui s’imposent à nous, et nous traiterions de visionnaires ou de mauvais plaisants ceux qui mettraient

déduisent de la conception du bien qu’ils admettent, sont précisément les devoirs moraux. Définition du concept d’action : agir consiste à mettre en œuvre certains moyens pour atteindre certaines fins. Plus précisément, une action est le résultat d’une décision venant clore une délibération rationnelle visant à déterminer la meilleure manière de satisfaire un désir. Toute action se caractérise donc par une certaine fin et par certains moyens (Aristote, Ethique à Nicomaque). Ex. : supposons que nous soyons

répondrait à un rapport avec nous même comme si la volonté était une puissance qui s’exercerait seule sans être contrainte. C’est d’ailleurs ce qui distingue les êtres humains des animaux, la volonté est l’unique commencement de nos actes et nous ne sommes en aucun cas déterminés selon Descartes. Il propose donc une considération de la liberté en terme de degrés, en exerçant notre libre-arbitre nous serions donc à notre plus haut niveau de liberté et notre volonté serait infinie tout comme celle de

liberté consisterait ici à prendre une décision sans l’appui d’autre personne que soi même. Etre libre revient donc à être autonome, c'est-à-dire être capable de penser et d’émettre un jugement par soi même et non pas d’être dans un conformisme aveugle et suivre la majorité. L’homme décide d’être libre, néanmoins il est responsable de sa liberté, il est responsable de ce qu’il est et de ce qu’il va devenir. Nos actes sont les seuls facteurs de ce que nous sommes. Chacun sent en lui la possibilité

on obtient un meilleur résultat en groupe ! --> Il y a plus dans 5 cerveaux que dans un seul. Ce n’est pas pour autant que la majorité à toujours raison ! - Si je pense avoir raison tout seul contre tous : je prends du recul et je m'interroge sur la pertinence de mes arguments. - Par ailleurs, l'histoire nous montre que la majorité n'a pas toujours eut raison ! Ex.: Hitler, Galilée, ... ➢ b) La Démocratie : - Dans une société traditionnelle : la vérité est

croyance ou conception erronée, qui ne correspond pas à la réalité́. En effet, il semble que nous soyons réellement libres de faire ou ne pas faire telle ou telle chose ; nous pouvons par exemple nous saisir d’un objet ou nous déplacer d’un endroit à un autre parce que nous l’avons décidé́. Toutefois, nous pourrions aussi penser que nous croyons être libres alors qu’en réalité́ nous sommes contraints sans le savoir, programmés à agir comme ceci ou à penser comme cela. C’est ce que peuvent nous suggérer

des bienfaits d’un gouvernement représentatif, il est curieux et utile de rechercher pourquoi ce gouvernement, le seul à l’abri duquel nous puissions aujourd’hui trouver quelque liberté et quelque repos, a été presque entièrement inconnu aux nations libres de l’antiquité. Je sais que l’on a prétendu en démêler des traces chez quelques peuples anciens, dans la république de Lacédémone, par exemple, et chez nos ancêtres les Gaulois ; mais c’est à tort. Le gouvernement de Lacédémone était une aristocratie

Sartre cite le cas d'un homme qui décida de s'engager dans les ordres suite à des drames familiaux doublés d'échecs sociaux et sentimentaux. Son acte résulte de la façon dont il a librement interprété sa situation car il aurait pu prendre une autre décision. Il s'ensuit que rien ne l'a déterminé si ce n'est sa propre conscience c'est-à-dire sa liberté. Il est donc entièrement responsable de son choix. 2. Le concept d'inconscient A. L'inconscient n'est pas l'inconscience Dans ce contexte, quel peut