Sommes Nous Toujours Libres De Nos Choix

Va-t-on s’en satisfaire ? Il le faut bien : on s’y résigne donc. Est-il satisfaisant que les choses soient comme elles sont ? La réponse semble aller de soi, c’est celle que l’on fait à l’enfant qui voudrait rêver sa vie : la terre est ronde, nous sommes des êtres vivants, tout cela va de soi. Ces évidences ne posent pas vraiment problème, elle ne réclament pas notre assentiment. Il n’est pas vraiment satisfaisant que deux et deux fassent quatre : c’est un fait avéré, indépendant de nos désirs et

de barrière morale. Mais pour ce qui est de l’être humain, est-il libre où est-il déterminé Selon Jean-Paul Sartre, grâce à notre raison, nous sommes parfaitement libres de nos décisions et de notre propre construction intérieure. Au départ je suis, ensuite je suis quelque chose. Et ce quelque chose, je suis seule à pouvoir le composer. Nous sommes donc pleinement responsables de ce que nous voulons et de ce que nous faisons de ce vouloir. « Être libre, c'est choisir. Être libre, c'est même être

Peut on avoir peur d’etre libre ? Selon l'opinion commune, être libre consiste à faire tout ce qui nous plaît. En effet, rien ne peut alors faire entrave à nos envies, à nos désirs, lorsque nous sommes libres. La peur, quant à elle, est un sentiment souvent incontrôlé, involontaire. Avoir peur de quelque chose nous pousse donc à fuir celle-ci. La notion de possibilité suppose qu'il soit possible, mais pas nécessaire, de faire telle ou telle chose. En

librement, lorsque nous faisons ce que nous voulons : nous sommes devant une situation, nous jugeons de ce que nous pouvons faire (tout n'est pas possible : je ne peux pas courir à la vitesse d'un TGV…) et en fonction de ce pouvoir, nous choisissons et nous agissons. Ainsi se décompose l'auto-détermination. Telle est la liberté d'agir. Du moins, avons-nous le sentiment d'être libre… Nous ne pouvons pas prouver que nous sommes libres, mais nous en avons le sentiment, c’est pour nous une évidence

si la motivation entre en jeu, nous devons faire des choix qui eux guideront les conséquences. Nous sommes amenés tout au long de notre vie à prendre des décisions qui peuvent changer notre futur. La psychanalyse nous apprend que nous devons prendre une part de liberté quant à notre vie, nous pouvons la mener à notre manière 4) Quelle est la conception de Merleau Ponty à propos de la liberté ? Merleau Ponty nous montre que nous ne sommes pas « déterminés », nous naissons chacun dans un contexte

Etre libre est-ce n'obéir à rien? Dans notre société, des règles ont été mises en place afin que les hommes demeurent libres et égaux, d'où la devise de la France qui est adoptée officiellement au cours de la troisième République, à la fin du XIX ème siècle : « liberté, égalité et fraternité ». On voit avec cette illustration un raprochement des notions de « loi » et de « liberté », ce qui peut nous amener à soulever une question : être libre est-ce n'obéir à rien? Nous allons donc définir les

expliquer ou atténuer une faute. La passion atténue-t-elle notre responsabilité ? Constitue-t-elle une limite à notre liberté ? L'enjeu du problème se situe dans l'origine que l'on va attribuer à la passion. Si cette origine est extérieure, nous sommes dépendants sans pouvoir nous libérer et la passion est alors une excuse. Si l'origine est intérieure, tout dépendra de quelle intériorité il s'agit. Le corps reste maîtrisable mais l'inconscient l'est beaucoup moins. Le sujet sous-entend le caractère

Sommes-nous libres de nos opinions? « Les gens exigent la liberté d’expression pour compenser la liberté de pensée qu’ils préfèrent éviter. » écrivait le philosophe danois Kierkegaard au XIXe siècle. La liberté d’opinion et d’expression est acquise depuis le XVIIIe siècle en France, et fait la fierté du peuple français. I. oui = pensée propre· choix individuels qu’aucune autorité ne peut contraindre (religion, préférence politique, adhésion parti politique)· liberté d’opinion est un droit fondamental

Dissertation : Tout choix est-il une mutilation ? La question « tout choix est-il une mutilation ? » ne nous invite pas à nous interroger sur le fait qu’un choix entraîne une mutilation mais plutôt à se demander si la mutilation est systématiquement présente lorsqu’on à le choix. Choisir est l’acte d’une volonté indépendante à toute contrainte, extérieure comme intérieure, qui décide par et pour elle-même de ce qui est juste ou vrai. Choisir c’est se déterminer en faveur d’une option contre une

mais non des causes qui nous déterminent à désirer. Dès lors, parce que nous avons conscience de nos désirs, nous pensons librement désirer alors que nous sommes déterminés par des causes qui nous dépassent. Ainsi, ce que nous prenons pour de la spontanéité n’est peut-être qu’une détermination ignorée. Là où nous croyons agir spontanément, nous sommes poussés par des causes qu’on qualifierait de nos jours d’inconscientes. A partir de là, vous pouvez vous demander si la liberté ne suppose pas avant tout