Sommes Nous Tous Encore Keynésien

l’expression aussi bien dans le préambule de la Constitution française de 1946 que dans la loi fondamentale de la RFA de mai 1949. C’est en Angleterre que l’on a la définition la plus large du Welfare State qui a cinq objectifs majeurs : garantir à tous et en toute circonstance un niveau de vie décent, sans que le revenu minimal soit obligatoirement le produit d’un travail, cela grâce à la double notion d’assurance et d’assistance ; protéger chaque citoyen contre les accidents de l’existence (maladie

(ex : états, régions) mais aussi tous les établissements publics (nationaux, locaux, adm, industriels et commerciaux…). Cela concerne aussi les organisations internationales (ex : UE). On distingue deux conceptions des finances publiques. La première est une conception classique selon laquelle les finances publiques sont l’étude des moyens par lesquels l’état se procure les ressources nécessaire à la couverture des dépenses publiques et en répartie la charge entre tous les citoyens. C’est la conception

séparément : Etat Providence 1 www.economie-cours.fr Chapitre 9 : L’Etat providence Sommaire du cours 0 – Introduction Entre 1945 et 1973, les pays occidentaux ont connu une phase de croissance et de prospérité, caractérisée par un climat keynésien d’intervention massive de l’Etat dans l’économie. Il est fréquent de considérer que cette période s'achève avec l'arrivée au pouvoir de Ronald REAGAN aux Etats-Unis en 1981 et de Margareth THATCHER au Royaume-Uni en 1979. Cependant, une crise importante

publiques concernent des flux financiers, ce qui entre et ce qui sort des caisses de l’Etat et des autres personnes morales publics. Il s’agit donc de l’étude de toutes les ressources et charges des personnes publiques. Les finances publiques concernent aussi des sommes dont bénéficient des personnes privées (traitement des fonctionnaires, subventions aux associations, marchés publics). Le cours de Finances Publiques est aussi l’étude du lien entre ces phénomènes et le citoyen, qui est aussi contribuable[1]. Certains

fondateurs de l’analyse économique moderne : Adam SMITH, David RICARDO et MALTHUS en particulier. La naissance de l’école néo-classique ainsi que les courants socialistes sont également étudiés. Puis la crise de 1929 est étudiée en prélude à l’analyse keynésienne et plus généralement la pensée économique dans l’entre-deux guerres. Les grands courants de l’analyse macroéconomique de la fin du 20ème siècle sont enfin brièvement présentés conjointement au cadrage sommaire de l’évolution économique des grandes

des années 1920, Nikolaï Kondratief a émis l'hypothèse de l'existence de cycles longs à partir de séries chronologiques des prix de gros au Royaume-Uni et aux États-Unis de 1790 à 1920. Kondratief est devenu célèbre pour sa thèse de cycles récurrents tous les 30 à 60 ans (17921850, 1850-1896, et 1896-1940) dont la phase ascendante est caractérisée par une forte croissance et une prise de risque élevée des entreprises, qui se multiplient (entreprises de type familial). La phase B ou descendante (appelée

pertinente au moment où elle a été formulée, les pièces et les billets formant alors l’essentiel de la masse monétaire, mais aujourd’hui, à partir du moment où ce sont les banques et le crédit qui assurent le principal financement de l’économie, peut-on encore lui accorder un réel crédit (sans jeu de mot) ? Citations « Il n’est de richesses que d’hommes. » Jean Bodin, philosophe et théoricien politique français, qui en 1568 a énoncé les premières bases de ce qui deviendra la théorie quantitative

dépenses publiques en cas de ralentissement) b. La critique de la fonction de stabilisation discrétionnaire (hors SA) _cette critique se fonde, particulièrement en Europe, sur l’observation de l’affaiblissement du multiplicateur keynésien (cf. cours de N. Payelle), lié au contexte de mondialisation et d’ouverture croissante des économies (le taux d’ouverture de l’économie française s’est ainsi accru de 1à sur les vingt dernières années. _cette ouverture croissante, si elle atténue

L’inflation par les structures B- L’explication monétaire de l’inflation : 1- La théorie quantitative de la monnaie 2- Les mécanismes de transmission d’un choc monétaire 3- Les responsables de l’inflation IV- Les effets de l’inflation A- Vision keynésienne : les effets positifs d’une inflation modérée 1- L’inflation augmente la dépense globale 2- L’inflation élève la rentabilité des entreprises 3- L’inflation met de l’huile dans les rouages de l’économie B- Vision monétariste : les coûts de

l’analyse économique moderne : Adam SMITH, David RICARDO et MALTHUS en particulier. • La naissance de l’école néo-classique ainsi que les courants socialistes sont également étudiés. • Puis la crise de 1929 est étudiée en prélude à l’analyse keynésienne et plus généralement la pensée économique dans l’entre-deux guerres. • Les grands courants de l’analyse macroéconomique de la fin du 20ème siècle sont enfin brièvement présentés conjointement au cadrage sommaire de l’évolution économique des grandes