Sommes Nous Tous égaux Devant La Mort

comme au Yémen où une de ces manifestations à dégénérés : l’ambassade américaine fut attaquée, prise d’assaut pour ensuite leur arraché leur drapeau américain pour ensuite le déchirer en pleine rue. Cette manifestation a fait un mort et 5 blessés. Des émeutes au Caire, devant l’ambassade américaine envers ce film, ont causés les blessures de 13 Égyptiens. Les prières en lieu public Selon le Coran, chaque musulman, dans sa journée, doit effectuer cinq prières obligatoires tournés vers la qibla qui

au cours des siècles, devant les nombreuses boucheries et les horreurs, les philosophes et les moralistes s’interrogèrent sur les motivations qui menèrent aux innombrables guerres. Quelle excuse était assez vertueuse pour permettre une guerre? Pour quelle cause un peuple devrait-il se sacrifier sur les champs de bataille? Malgré les raisons qui, à première vue, semblent infinies, les penseurs se questionnèrent sur le bien-fondé de celles-ci. Gagner un conflit vaut-il la mort de milliers d’êtres humains

mortels ; il n’y aura plus de remède à leurs maux ». Citation cours  : « Nulle faveur n’ira plus à qui respecte son serment, au juste et au bon, on honorera plutôt le fauteur de crimes et l’homme-démesure ». CCL : La Grèce archaïque se pensait comme devant faire perpétuellement un choix entre l’eunomie qui caractérise la cité en paix et l’hybris le régime de violence, d’outrages et de démesure de la cité en crise et en guerre civile. L’interprétation sociologique de Durkheim et son utilisation par

pose c’est qu’on ne sait pas si le tenancier de cette terre est bien mort ou si les ayant-droit sont morts ou pas. Qu’est ce qu’il se passerait si l’ayant-droit de cette terre réapparaissait ? Elle a été réaccensée, que deviendrait l’ayant-droit originel ? Le roi de France va en définitive maitriser le processus, CAD que le réaccenssement, CAD le fait de concéder à cens une parcelle dont on ne connaît pas si le propriétaire est mort ou pas, doit être autorisé par le roi. CAD que le roi se considère

pas trop gardé ma parole, ni lui la sienne; mais ni lui ni moi ne promîmes d’obéir. Sommes-nous donc des esclaves? N’est-ce pas assez qu’un homme, après m’avoir épousée, ait le droit de me donner une maladie de neuf mois, qui quelquefois est mortelle? N’est-ce pas assez que je mette au jour avec de très grandes douleurs un enfant qui pourra me plaider quand il sera majeur? Ne suffit-il pas que je sois sujette tous les mois à des incommodités très désagréables pour une femme de qualité, et que, pour

penser librement lorsqu’on n’a ni abri, ni eau, ni nourriture, ni accès aux soins de santé ou à l’éducation ? Développement : Thèse : * Vit-on dans une société qui respecte l’intégrité mentale de l’homme ? * Protection sociale appliquée à tous pour permettre cette intégrité mentale ? Antithèse : * Libéralisme sans protection * La loi du plus fort gagne et empêche les plus faibles de vivre librement. * Ce ne sont pas les conditions matérielles qui empêchent l’homme de vivre

Les 4 documents traitent tous de la condition féminine mais àtravers différentes stratégies argumentatives : Tout d’abord on remarque que les textes de Voltaire, Olympe de Gouges et Simone de Beauvoir sont des discours argumentatifs alors que le dessin de Plantuest une caricature. Voltaire, Olympe de Gouges et Plantu sont impliqués et font de leur argumentation l’expression de leur avis personnel. De nombr0eux modalisateurs sont utilisés dans les textes deVoltaire et de Olympe de Gouges qui montrent

écrite par un Camerounais sur la vie dans une société anonyme du Sud. Le contexte qui a inspiré cette œuvre est celui de la discrimination raciale. Cette pièce de théâtre soulève alors des problèmes vitaux c’est-à-dire qui conditionnent la vie et la mort dans cette ville raciste du Sud célèbre ou rendue célèbre par l’application des théories politico-raciales basées sur des considérations pseudo-scientifiques. Partout dans cette ville du Sud, l’homme est immergé dans le non-humain, réifié, intégré

écrite par un Camerounais sur la vie dans une société anonyme du Sud. Le contexte qui a inspiré cette œuvre est celui de la discrimination raciale. Cette pièce de théâtre soulève alors des problèmes vitaux c’est-à-dire qui conditionnent la vie et la mort dans cette ville raciste du Sud célèbre ou rendue célèbre par l’application des théories politico-raciales basées sur des considérations pseudo-scientifiques. Partout dans cette ville du Sud, l’homme est immergé dans le non-humain, réifié, intégré

le juge qui prononce un jugement et dont on dit d’ailleurs qu’il rend la justice ne fait pas autre chose. La justice, comme institution, a pour fonction d’abord de dire le droit, puis de corriger l’injustice commise, de réparer un dommage subi. Dans tous les cas, qu’il s’agisse de la justice entendue comme valeur, ou de la justice entendue comme institution, il y a refus de s’en tenir au fait accompli. C’est toujours contre un ordre existant, qu’il soit naturel ou institué, que la justice proteste