Songe De Platon

n’avons que des fragments, notamment le célèbre « songe de Scipion » (dans cette partie du livre VI, disparu pour le reste, Scipion l’Africain apparaît en songe à son descendant Scipion Emilien, lui annonce l’avenir et l’exhorte à la vertu. Le récit donne aussi des indications sur la conception cicéronienne de l’univers, empruntée aux philosophes grecs). L’œuvre dont le texte est tiré : Le De Republica de Cicéron fait écho à la République de Platon. L’ouvrage de Cicéron comportait 6 livres. Il se

de Platon ", si l'on me permet de pasticher le titre de la thèse d'un éminent helléniste (1) réserve des surprises. Homère n'y reçoit pas que des louanges. Assez curieusement, PLATON manifeste un certain mépris à l'égard des poètes. On se gardera bien, dit-il, de déformer l'esprit des jeunes par la lecture d'Homère ou par l'audition de musiques langoureuses. PLATON a pour les Beaux-Arts des sévérités qu'il partage avec les théoriciens puritains des régimes sacerdotaux et militaires. PLATON commettait

chronologie de la vie et de l''"uvre de l'auteur (étonnants classiques) Document video : « Shakespeare in love » Madden -début et fin II- A l'origine de l''"uvre 1) Les sources antiques Documents : « Pyrame et Thisbé », Ovide - Le songe d'une nuit d'été Shakespeare V,1 2) Les sources italiennes Documents : extraits des nouvelles de Da Porto et Bandello ( ellipse) 3) Le travail de Shakespeare III- Diffusion et réception de l''"uvre 1) L'établissement du texte

images peut être assimilé à un tableau du monde réel, mais un tableau qui représenterait une fausse image du monde réel. L’image peut donc être trompeuse pour l’homme. Comme souvent en philosophie, tout commence avec PLATON dont la méfiance vis-à-vis des images est bien connue. On songe évidemment à la caverne platonicienne où les hommes enchaînés voient des ombres projetées sur les parois et les prennent pour le réel, ignorant qu'il ne s'agit là que de leurres. Cette invitation à se dégager du monde

droites. Cette vérité essentielle oblige, contraint l'esprit à donner son assentiment. Cependant en quoi cette contrainte peut-elle s'opposer à la libération de l'esprit ? Le vrai aliène-t-il la pensée ? N'est-ce-pas plutôt le faux qui, comme l'indique PLATON dans La République , (livre VII), qui entrave la liberté ? IV - UNE DEMARCHE POSSIBLE A - LA VERITE EST CONTRAIGNANTE La vérité possède une force qui lui est propre. On peut certes la dissimuler à ses propres yeux par toute sorte de ruses

Grèce antique La peinture compte 58 personnages Platon et Aristote sont au centre et au point de fuite de la peinture. Ils portent la toge romaine et ont une attitude majestueuse. Platon tient à la main un des ses Dialogues, le Timée, tandis qu'Aristote à son Ethique à la main Platon idéaliste tend la main vers le ciel, le monde des idées Aristote empiriste désigne la terre Xénophon (en bleu) discute avec Socrate, le maître de Platon ;Euclide Socrate conversant avec des jeunes gens

nous avons précédemment partiellement démontré que la politique pouvait, d'un certain point de vue s'apparenter à un art, Platon, ne serais-ce qu'à travers son dialogue « Le politique » nous montre qu'il n'est pas envisageable de considérer la politique comme un art, mais plutôt comme une technique, une science qui peut révéler une grande exactitude. Ce dialogue de Platon tourne autour d'un mythe que l'on peut ainsi brièvement résumer. Il existe deux états du monde: un monde dirigé par Cronos

plus souvent immorales comme les politiques par exemple. Ils exploitent les faiblesses de la vision en les manipulant à leur guise pour créer une sorte de démagogie ancrée dans les apparences. Adversaires redoutables dans de nombreux dialogues de Platon, ils permettaient à ce dernier de réaliser ses joutes verbales, son ironie (ironie Socratique, c'est à dire questionnement) afin d'exposer ses idées. Parfois l'activité consciente tombe en quelque sorte au-dessous de zéro et disparaît dans l'inconscient

que de cités.! ! Platon : lois fondées sur une morale transcendante, expression de la Sagesse divine.! Sophistes (positivistes juridiques) : le pv doit être remis à des hommes capables de promouvoir ce qu’ils croient être le bien.! ! HESIODE + PLATON : l’idéal politique est l’harmonie.! ! Utopie : Soit « eu-topos » = le meilleur lieu (qui existe) —> modèle! ! Soit « ou-topos » = le lieu de nulle-part. —> rêve! ! Catastrophisme constitutionnel (Platon) manifestant l’anacyclosis

La notion de genre : 4. Poétique des genres : Aristote Cours de M. Antoine Compagnon Quatrième leçon : Poétique des genres : Aristote Chez Aristote, à la différence de Platon, le terme le plus large embrassant l'« art poétique », ou poiètikè, est celui de mimèsis (47 a 13), traduit traditionnellement par imitation, plus récemment par représentation, par R. Dupont-Roc et J. Lallot, ou par fiction, par Käte Hambuger, Gérard Genette et Jean-Marie Schaeffer. Dans le commentaire de la Poétique