Sonnet 21 Du Bellay

définis. De la même façon, le lyrisme ni la littérature d’idées n’entretiennent un rapport direct et immédiat avec le roman, ou avec l’autobiographie, et il ne va donc vraiment pas de soi de faire intervenir le Pascal des Provinciales ou le du Bellay des Regrets. Deux remarques découlent de ces flottements génériques. Tout d’abord, rappelons que le CAPES est un concours d’enseignement de la langue et de la littérature française et que pas plus que la grammaire, la littérature et son histoire

......................................................................15 L’expression de l’opposition ...............................................................18 L’expression de la condition ou de l’hypothèse ..................................21 L’expression de la comparaison .........................................................24 Les mots outils ou mots de liaison.............................................................27 TECHNIQUE DE LA DISSERTATION.........................

..............................................15 1.1.5 L’expression de l’opposition ...............................................................18 1.1.6 L’expression de la condition ou de l’hypothèse ..................................21 1.1.7 L’expression de la comparaison .........................................................24 1.2 2 Les mots outils ou mots de liaison.............................................................27 TECHNIQUE DE LA DISSERTATION...

philologue. Parmi ses élèves il y avait : Ronsard et Baïf, qui assistaient au collège de Coqueret, où Dorat enseignait. Aussi étaient Belleau, Jodelle, Du Bellay et Pontos de Tyard, qui deviendront disciples de Ronsard. Ils avaient pensé de s’appeler « La Brigade », mais par la suite à l’histoire littéraire ils ont pensée à « La Pléiade ». Ce sera Du Bellay qui va présenter le manifeste poétique du groupe dans La Défense et Illustration de la Langue Française, surtout à cause du latin, en 1549. C’est

conforme cette fois à la vraisemblance, veut que le grand Tourangeau ait commencé ses études à l'abbaye bénédictine de Seuilly, voisine de la Devinière, et ! 10 — VIE DE RABELAIS continuées au couvent de la Baumette, près d'Angers, les frères du Bellay et Geoffroy d'Estissac. Mais le renseignement est vague et autant vaut dire que nous ne savons rien de certain sur les années d'enfance et de jeunesse de Rabelais, avant 1520. A cette date, il a revêtu la robe de cordelier au couvent de Fontenay-le-Comte

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même son à la fin de deux ou plusieurs vers : • La répétition : d'une part, la rime peut être pauvre si on répète un seul son (vu / su) à la fin du chaque vers. On parle, d'autre part, de rime suffisante quand on répète deux sons (sourd / amour). Et 21 finalement on parle de rime riche si on répète trois ou plus sons (mer / aimer). • Le genre : on distingue la rime féminine, si le vers se termine par un « e muet », et la rime masculine dans tous les autres cas. • La disposition : on distingue

voix décorative d'une chair inconnue et secrète", "un langage autarcique qui ne plonge ses racines que dans la mythologie personnelle et secrète de l'auteur, dans cette hypo physique de la parole, où se forme le premier couple des mots et des choses" (21). Grâce aux "thèmes", proches parents des "étymons spirituels" de Spitzer, la diversité des plans de l'œuvre trouve à s'unifier : par quelque voie que l'on y pénètre, on rencontre une même conscience, présente dans le texte qu'elle a engendré et qui

souverains : Louis XIV, Henry VIII ; attention : François Ier, Catherine Ire. Se composent en chiffres romains, petites capitales : – les petites divisions d’ouvrages : chapitres, chants, couplets, épîtres (littéraires), leçons, odes, satires, scènes, sonnets, stances, strophes : on lit au chapitre XIV ; Dictionnaire général, III, II (= « tome III, chapitre II ») ; Acte III, scène II ; la strophe III. Remarque : dans un titre de chapitre en tête dudit chapitre, on préférera les grandes capitales, par

raison, en estimant qu' « avec un esprit d'une portée plus ambitieuse... il n'eût fait que s'élancer un peu plus tôt que Ronsard vers ces hauteurs poétiques, inaccessibles- encore » i. Cf. Tableau de la poésie française au xvi" siècle, p. 21 et suiv. 2. Cf. Histoire de la littérature française, t. I, p. 270 et suiv. downloadModeText.vue.download 138 sur 922 LES SUCCESSEURS DE MAROT 121 III. — Les successeurs de Marot. L'école de Marot. — Marot eut-il une école? C'est une