Sonnet Au Lecteur De Musset

écrit : « J’ai dit ce que j’ai vu et ce que j’ai senti. » Par l’utilisation du pronom « je », le poète se place en position centrale et représente la condition humaine en exprimant ses sentiments, en particulier, dans ce poème, la souffrance. De même, Musset a ainsi pu écrire : « D’un sourire, d’un mot, d’un soupir, d’un regard. Faire un travail exquis, plein de crainte et de charme. Faire une perle d’une larme ». Il considère donc que la poésie est essentiellement lyrique, et qu’elle est reliée à des

offrent des œuvres multiples et encore proches de nous, particulièrement dans le domaine de la poésie (avec Lamartine, Vigny,Musset, Hugo, Baudelaire, Rimbaud, Verlaine, Mallarmé…) comme dans le domaine du roman (avec Stendhal, Balzac, Dumas, Hugo, Flaubert, Zola, Maupassant, Verne…) et dans une moindre mesure au théâtre avec le drame romantique et ses épigones (avec Musset, Hugo, Edmond Rostand…). Siècle très riche aux œuvres encore proches de nous, le xixe siècle reste pour la littérature française

sur lui. C fait parler sa maîtresse. C’est-à-dire qu’elle a un tel pouvoir sur lui que le je deviens parfois le je de elle. Elle lui ôte même sa parole poétique.  « Le sonnet à Sir Bob »p63 => l’auteur devient le chien de sa maîtresse. Braque = nom de chien de chasse mais également fou. Il dit au chien de prendre son sonnet sa poésie et lui prendrait son collier. Majuscule à Son dans dernier vers marque la domination. Le corps est très présent ce qui dés idéalisé l’image de l’amour commune notamment

Lorenzaccio, Alfred de Musset Sommaire Introduction 1. Alfred de Musset, biographie 2. Lire – Écrire : la genèse d’une œuvre 3. Écrire – Publier  : un spectacle dans un fauteuil, une œuvre au genre  mal défini 4.  ublier – Lire : les interprétations des critiques et des metteurs en P scène Séquence 3 – FR01 1 © Cned - Académie en ligne I ntroduction A Édition recommandée L’édition que vous devez vous procurer est celle des éditions GF : Musset, Lorenzaccio, présentation

comme un art imposant des règles rigoureuses mais fécondes Cependant, cette poésie garde les marques du Moyen-Âge par : Ses structures répétitives Son recours fasciné à l’abondance et à l’excès verbal La nouveauté vient avec Marot (introduction du sonnet, en France ; et cela même s’il continue les efforts des ces prédecesseurs en faveur des formes fixes telles que rondeau, ballade, …). En effet : Il est concepteur et patricien d’une poésie simple Au vocabulaire correct mais usuel Aux lignes rythmiques

; tu/je), et les verbes se font écho (ignore/tu ne sais ; fuis/vais), « Il faut manger pour vivre, et non pas vivre pour manger » (MOLIERE, L’Avare, III, 1), « Un roi chantait en bas, en haut mourait un Dieu. » (Hugo). Chute : dernier vers d’un sonnet, ou conclusion inattendue dans un texte en prose. Comparaison : figure qui rapproche deux termes, le comparé et le comparant (qui ont un ou plusieurs points communs) grâce à un outil grammatical : comme, pareil à, ressembler, tel que ... Elle peut

activement comme l’on ferait volontairement une expérience sur soi-même). Le spleen est plus proche de la folie, donc plus sombre et angoissant que le « mal du siècle », la mélancolie des romantiques (c’est tout à fait vrai si l’on compare avec Musset et Lamartine, un peu moins avec Nerval qui a succombé à la folie). Baudelaire va plus loin que les romantiques (sauf Nerval) dans l’exploration des abîmes, des « gouffres amers » (cf « L’Albatros ») du moi. Il est moins complaisant que les romantiques

l’avait le plus inspiré est écartée. C’est une comédie de mœurs épurée de toute compromission avec la farce. Est-ce à dire que Molière ne cherche plus à faire rire ? Telle est la lecture qu’on a souvent proposée de la pièce. Rappelons-nous la phrase de Musset sur Le Misanthrope « lorsqu’on vient d’en rire, on devrait en pleurer ». Dans cette pièce le comique est montré par le langage des personnages, en particulier le personnage d’Alceste. Il est comique de par son langage, ses excès sont poussés au ridicule

Verlaine - « Initium » 2. Victor Hugo - « Aimons toujours ! Aimons encore » 3. Arthur Rimbaud - « Sensations » 4. Théophile Gautier - « Cher ange, vous êtes belle » Élégie VII. 5. Victor Hugo - « Demain dès l’aube » 6. Alfred De Musset - « À mon ami Alfred T. » ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! Page 1 Préface: ! Ce florilège s’adresse aux personnes sensibles au beau langage qu’exprime la poésie. La poésie est, selon moi, une imitation de l’amour. En effet, elle est (tout

« Je est un autre » (Rimbaud) : le bateau cherche l’union avec l’eau, avec cet élément qu’il devait exclure dès sa construction ; il veut être ivre pour qu’il puisse perdre son usage original de bateau, c.v.d. il cherche à dissoudre son Moi comme lecteur, on n’assiste pas à un développement d’un jeune homme mais à un ouverture extrême pour l’Autre ; le bateau se donne aux flots, aux vents, il jouit sa situation, il regarde sa propre désagrégation, il n’éprouve pas de répulsion pour les lichens et