Soubrette

Costume : difficile de s'identifier à quelqu'un qui porte une fraise et en perruque (VS le jean !). • Au théâtre => les personnages sont définis par leur statut social (Les Bonnes, Le Bourgeois gentilhomme...). Évoquez la vraie différence entre les soubrettes et les maîtresses (Cf. Marivaux qui inverse même les rôles dans L'Ile aux esclaves).  • Très difficile de représenter le réel car on n'est jamais objectif. L'auteur peut utiliser la pièce afin de mettre en  scène une réalité (défaut par exemple)

Espiègle et ingénieuse Comtesse qui aura la joie d'entendre son mari lui demander pardon (II,19 ; V,19) -Suzanne n'est pas une servante quelconque, elle est " spirituelle, adroite et rieuse ... mais non de cette catégorie presque effrontée de nos soubrettes corruptrices... Dans tout son rôle, il n'y a pas une phrase, pas un mot qui ne respire la sagesse et l'attachement à ses devoirs." Définie par Figaro, c'est "une charmante fille ! Toujours riante, verdissante,pleine de gaieté, d'esprit, d'amour

par chacun. Il ne fallait mieux pas passer dernier pour ce mime ! Geneviève nous a attribué nos rôles en nous demandant de lire un extrait d’une œuvre pour déduire au son de la voix et à l’intonation notre rôle entre jeune première, maîtresse, soubrette et entremetteuse et pour les garçons jeunes premier, maître, valet, etc. L’après-midi on a remixé les groupes en fonctions des rôles pour préparer les pièces qui seront joués au spectacle. Les rôles ont été attribués dans notre groupe par Rico

d'effarements dans la salle : quelques-uns, au fond, se dressent debout sur les banquettes... Il y a de quoi ! En tenue consacrée de soubrette, le petit tablier et le bonnet de rubans flottants, une grande, trop grande fille qui dépasse d'une bonne tête les proportions ordinaires, surtout dans l'emploi, c'est déjà quelque chose pour surprendre. Ce n'est rien : cette soubrette d'extradimension est une négresse, une négresse pour de vrai, une mulâtresse tout au moins, incontestable : le blanc écrasé à paquets

Son costume : il était tout vêtu de noir (le costume et le masque) http://i63.servimg.com/u/f63/11/53/16/00/commed10.jpg Colombine : fille adoptive de pantalon elle a les cheveux noirs, un nez retroussé des yeux vifs. Elle incarne la soubrette vive et délurée, souvent l’amoureuse ou l’épouse d’Arlequin elle parle en dialecte vénitien comme celui qui la élevé et la dorloté, comme ses pigeons d’où son nom qui signifie « petite colombe ». Pantalon veut la mariée à des hommes riches mais

personnages en jouant sur les cliches type. *L’Homme est présenté en bleu, alors qu’à l’inverse les femmes sont en rose et en violet. Leurs 2 tenues se servent également de clichés. *Celui de Morvianne en rose s’appuie sur l’image de la « soubrette » provocatrice, il est court, décolleté… *Celui d’Apostasie est à l’inverse, jupe et tailleur, elle incarne la femme plus stricte, la femme, à l’opposé de la maitresse. Ainsi à travers cette pièce les personnages se déshabillent partiellement comme

aussi déterminer le type de rôle joué par l’acteur simplement grâce à son costume : on distinguera alors le valet (ou l’esclave, tout dépend de l’époque) grâce sa tenue de travail, et l’on en déduira leur rôle de confident. Il en va de même pour la soubrette, que son costume promet franche et gaie comme Suzanne dans Le Mariage de Figaro. Les différents changements de costume d’un personnage nous permettent de suivre son évolution et nous révèlent au passage des éléments supplémentaires sur sa personnalité

lors de la représentation sont : • Un spectateur, un garde, Bertrandou le Fifre, le capucin, deux musiciens, les pages, Sœur Marthe, Lise, La distributrice des douces liqueurs, Mère Marguerite de Jésus, la duègne, Sœur Claire, une comédienne, la soubrette, la bouquetière, un espagnol, une dame, une précieuse, une sœur et foule constituée de tous ces types de personnages. L’action : Cyrano de Bergerac est un turbulent mousquetaire de la compagnie des Cadets de Gascogne. Il est amoureux de sa

la Comtesse qui réoriente la conversation après la parenthèse concernant le page : cf. points de suspensions qui équivalent à un ordre de parler : "mon époux à fini par te dire ?…" (l. 28-29) • En //, Suzanne apparaît comme un personnage de soubrette traditionnelle : fidèle à sa maîtresse, mais sachant garder la spontanéité et l’espièglerie de son rôle : fidélité à sa maîtresse (cf le ruban), rapporteuse de la scène => Une relation maîtresse/servant qui a priori se situe sur un terrain assez

perpétuellement pour n’être la bonniche de personne, moi qui avais gagné plus d’un million de dollars et qui m’étais imposée comme chanteuse, moi qui avais du goût et de la dignité, je me retrouvais dans une galère : aller à Hollywood jouer les soubrettes ». Dans ce cas, Billie est entrain de vivre un de ses plus beaux rêves : jouer dans un film à Hollywood. Mais son rôle n’était pas exactement ce qu’elle imaginée: être une bonne. Cette phrase nous démontre qu’il faut achever ses rêves mais avec