Souffrance Animal

notamment quand on se venge uniquement dans le but de répondre aux provocations d’un tel ou d’une telle, uniquement dans le but d’affliger l’autre davantage. Aussi est-elle connue pour une chose qui peut libérer d’un mal qui nous accable, d’une souffrance continue, nous rongeant jusqu’à la moelle. Quelque chose donc de bienfaiteur, qui pourrait nous débarrasser d’une rage incontrôlable. Dans d’autres cas, la vengeance peut être totalement négligée, laissant place à l’oubli, ici synonyme d’avancer

I. Description de la misère physique et déchéance de Fantine A.Fantine est démunie -elle vit dans la précarité « elle n’avait plus de lit »champs lex. De la médiocrité « pauvre, se courbant -elle vie dans la souffrance et la haine, sans plaintes elle haïssait, passait des nuits à pleurer se sentait traquer B. elle se fait surexploiter-fantine consacre sa vie au travaille « aucun repos » « 17 heures de travail » , en effet elle mène une vie inhumaine. Les gens qui l’entourent la dévalorise incessamment

Le désir I] Le désir, souffrance et satisfaction Dans tout désir, il y a un manque: on désir ce que l'on a pas. Mais tant qu'un désir n'est pas réalisé, il y a une souffrance. Tout comme le désir, le besoin s'appuie sur une souffrance et cette souffrance du besoin non satisfait est similaire à celle du désir, mais le besoin est un manque objectif alors que le désir est un manque subjectif Le désir est un manque qui n'existe que dans mon esprit→ c'est un manque de l'esprit Le besoin est

groupe de Pietà.   Tombé symboliquement entre les têtes du taureau et du cheval, sur une table, (ou sur l'autel du sacrifice ?) un oiseau, sobrement dessiné sur fond de grisaille, est blessé à mort par une arme triangulaire, énorme pour ce petit animal, arme éclairée par la lumière quasi céleste qui descend d'en haut. C'est la colombe biblique, le symbole séculaire de paix. Sa mort signifie les jours sombres de la guerre. Comme les autres victimes il exprime sa douleur, tête levée vers le ciel,

aptitudes acquisent par l’étude ou l’experience. Ici, on dira qu’il signifie plus précisément « avoir conscience de ». A première vue, il semble donc que l’homme sait ce qu’il désire puisqu’il a l’idée de ce manque et le ressent psychiquement comme une souffrance. Cependant, n’y a-t-il pas une part de désirs inconscients que lui-même ignore ? L’homme a-t-il connaissance de ses désirs, ou bien au contraire ne lui sont-ils pas inconnus ? En d’autres termes, est-il possible pour l’homme de determiner quels

- Champ lexical des sensations tactiles, visuelles et auditives => insiste sur l’inconfort produit par la chaleur, il souligne l’intensité, être humain animalisé ; il subit son travail, atmosphère angoissante - Champ lexical du corps => souffrance physique - Aucun dialogue => travail prend tout le temps c) Une peinture de la condition ouvrière du XIX siècle : - Hyperbole => conditions intolérables - Tournures négatives => dévalorisation et critique, population démunie, dépouillée

''canevas''. On accepte cette souffrance, le gens se laissent habiter par les démons petit a petit; sans rien dire. ''Monstre glapissant'' = animaux terrible ''L'ennui'' = l'ogre. III/ Un lyrisme provocateur Un lyrisme noir, une vision sombre de l'homme. Le spleen responsable. Une idée philosophique = le vide de l'homme. L'homme est sadique et insensible. L'homme se dirige tout droit vers ''l'échafaud'', Il s'agit la de sadisme et de masochisme, une souffrance, qui nous fait plaisir

enfant. Donc on peut dire qu’ils sont privés de leur enfance. Ensuite l’auteur fait une description de la vie dans l’usine lorsqu’il emploie les mots « sombre » et « ombre » au vers 7 et 8. Puis quand il y a une personnification des machines avec des animaux dangereux, féroces au vers 7 « sous les dents d’une machine ». Et il y a une insistance sur la peur des enfants, face à d’horribles machines, grâce à la métaphore filée au vers 8 « monstre hideux qui mâche on ne sait quoi dans l’ombre ». Egalement

intentionnellement afin de lui éviter l’agonie, dans le cas où les souffrances des patients atteints de maladies incurables (cancer en phase terminale…) sont difficiles, voire impossibles à apaiser à l'aide des soins palliatifs. L’euthanasie s’oppose donc totalement à l’acharnement thérapeutique qui consiste en la réalisation d’actes médicaux dans le but de maintenir obstinément la vie d’une personne incurable. L’euthanasie animale est couramment pratiquée, alors que l’euthanasie humaine n’est autorisée

bien, ça c’est bien. », p.50.( ≈ parodie de l’univers hospitalier que Beckett connaît bien) cf. égalt discussion entre Nagg et Nell à propos de leur « sciure » remplacée par du « sable » qui n’a pas été « changé » par Clov. ( → personnages // animaux). - la sexualité est également présente. La « scène » de la puce en utilise pleinement les ressorts comiques : Clov se gratte le pubis puis déboutonne sa braguette et se verse « frénétiquement » de la poudre insecticide + le fait que la « puce